Tweet
Greenspan - Un déficit courant à 6% du PIB ne peut pas durer
WASHINGTON, 3 novembre (Reuters) - Le président de la Réserve fédérale Alan Greenspan a estimé jeudi que le fait que les Etats-Unis affichent un déficit courant représentant 6% du PIB était le résultat de la mondialisation rapide mais que le pays ne pouvait pas continuer indéfiniment sur cette tendance.
"La grande question que tout le monde se pose est de savoir comment il est possible que les Etats-Unis aient un déficit des paiements courants de plus de 6% du PIB. C'est l'une des principales interrogations", a déclaré Greenspan devant la Commission économique mixte du Congrès.
"Le pense que c'est un phénomène de marché qui reflète la mondialisation. Cela ne peut se poursuivre indéfiniment comme je l'ai précédemment indiqué", a-t-il ajouté.
"A un certain moment, la mondialisation ralentira, mais nous sommes dans une période où il y a une expansion extraordinaire et qui a eu des effets qu'il nous reste encore à comprendre pleinement."
Greenspan estime que l'augmentation des portefeuilles d'obligations internationaux, comprenant notamment de grosses quantités de la dette américaine, explique en partie la faiblesse inattendue des taux d'intérêt à long terme aux Etats-Unis au cours de l'année écoulée.
/DRO
Sans commentaire . A suivre......
WASHINGTON, 3 novembre (Reuters) - Le président de la Réserve fédérale Alan Greenspan a estimé jeudi que le fait que les Etats-Unis affichent un déficit courant représentant 6% du PIB était le résultat de la mondialisation rapide mais que le pays ne pouvait pas continuer indéfiniment sur cette tendance.
"La grande question que tout le monde se pose est de savoir comment il est possible que les Etats-Unis aient un déficit des paiements courants de plus de 6% du PIB. C'est l'une des principales interrogations", a déclaré Greenspan devant la Commission économique mixte du Congrès.
"Le pense que c'est un phénomène de marché qui reflète la mondialisation. Cela ne peut se poursuivre indéfiniment comme je l'ai précédemment indiqué", a-t-il ajouté.
"A un certain moment, la mondialisation ralentira, mais nous sommes dans une période où il y a une expansion extraordinaire et qui a eu des effets qu'il nous reste encore à comprendre pleinement."
Greenspan estime que l'augmentation des portefeuilles d'obligations internationaux, comprenant notamment de grosses quantités de la dette américaine, explique en partie la faiblesse inattendue des taux d'intérêt à long terme aux Etats-Unis au cours de l'année écoulée.
/DRO
Sans commentaire . A suivre......
Commentaire