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  • pardon 180 points......dur de suivre...
    journée à 300 points visiblement.....;

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    • non, Ben va filer un coup de main a 20h

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      • ils doivent manger le pétrole aux USA..Le riz est trop cher

        -5 millions de baril pour le gasoil et le crude.....génial....on se dirige vers 120 puis 150 $

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        • on croirait entendre au loin le bon vieux Charles (Trenet): boum!...

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          • Même Merrill Lynch est à la hausse !

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            • Forcément, ça ce fête une telle réussite, depuis 94 ans qu’on attendait ça…

              …. Le Wall Street Journal, qui cite des sources proches du dossier, fait remarquer que cette annonce portera à plus de 30 milliards de dollars le montant total des provisions passées par Merrill Lynch depuis le mois d'octobre.
              Cela signifie que Merrill fera état de sa troisième perte trimestrielle d'affilée, soit sa plus longue série depuis sa création il y a 94 ans', précise le Wall Street Journal.

              Le titre Merrill Lynch était en hausse de plus de 2% mercredi matin à Wall Street.

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              • La production industrielle américaine a augmenté de 0,3% en mars par rapport à février, selon les chiffres publiés ce mercredi par la Réserve fédérale. La production manufacturière a progressé de 0,1% en mars.

                Le taux d'utilisation des capacités est ressorti à 80,5% en mars, en amélioration de 0,2 point.
                L’inflation ressort à 3.1% annualisés sur les 3 derniers mois.
                Les résultats des entreprises ressortent mieux que prévu.
                Le marché obligataire était en baisse. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans montait à 3,597%, contre 3,570% mardi, et celui à 30 ans à 4,439%, contre 4,405%.

                C’est pas idyllique ça ?

                Maintenant, en ce qui concerne l’inflation, le CPI non saisonnalisé ressort pour mars à 0.9% contre 0.3% saisonnalisé, ce qui n’est pas tout à fait la même chose.
                Dans la brochure « explicative » du CPI, il est indiqué que certains événements exceptionnels peuvent donner lieu à ajustements :

                De plus, je n’ai pas trouvé les coefficients de saisonnalité.

                Intervention analysis seasonal adjustment. Some index series
                show erratic behavior due to nonseasonal economic
                events (called interventions) or methodology changes.
                These events, which can be one-time occurrences or recurring
                events that happen at infrequent and irregular intervals,
                adversely affect the estimate of the seasonal component of
                the series.
                Intervention analysis seasonal adjustment allows nonseasonal
                economic phenomena, such as outliers and level
                shifts, to be factored out of indexes before calculation of
                seasonal adjustment factors. (An outlier is an extreme value
                for a particular month. A level shift is a change or shift in the
                price level of a CPI series caused by an event, such as an
                excise tax increase or oil embargo, occurring over 1 or more
                months.) An index series whose underlying trend has experienced
                a sharp and permanent shift will generate distorted
                results when adjusted using the standard X-12-ARIMA procedure.
                X-12-ARIMA’s regression techniques are used to
                model the distortions and account for them as part of the
                seasonal adjustment process. The result is an adjustment
                based on a representation of the series with the seasonal
                pattern emphasized. Intervention analysis seasonal adjustment
                also makes it possible to account for seasonal shifts,
                resulting in a better seasonal adjustment in the periods before
                and after the shift occurred. Not all CPI series are adjusted
                using intervention analysis seasonal adjustment techniques.
                However, for affected series, the resulting seasonal
                factors better represent the true seasonal pattern than factors
                calculated without these techniques. These seasonal
                factors are applied to the original unadjusted series. Level
                shifts and outliers, removed in calculating the seasonal factors,
                remain in the resulting seasonally adjusted series.
                In recent years, BLS has used intervention analysis seasonal
                adjustment for various indexes—gasoline, fuel oil, new
                vehicles, women’s and girls’ apparel, educational books and
                supplies, electricity, utility (piped) gas service, water and
                sewerage maintenance, nonalcoholic beverages and beverage
                materials, and whiskey at home. Series are adjusted
                using intervention analysis techniques when interventions
                are clearly identified. After a number of years, series may
                revert to adjustment using standard methods. In addition,
                for some series, intervention analysis is used and the resulting
                series does not show a clear and stable seasonal pattern.
                In these cases, the series is not seasonally adjusted

                http://stats.bls.gov/news.release/cpi.nr0.htm

                Si tout le reste est traité en ajustements !!!


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                • Dow Jones +255 pts aujourd hui

                  Ca fait plaisir de voir que les US sont toujours dans la 4eme dimension...

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                  • Me disais aussi que j'etais plutot performant après 22h.....

                    15 avril 14:00 - WASHINGTON (AFP) - Les courtiers ayant un taux élevé de testostérone, la principale hormone sexuelle mâle, sont plus enclins à prendre des risques et réalisent davantage de gains boursiers, révèlent des chercheurs britanniques dont les travaux sont parus lundi aux Etats-Unis.
                    La testostérone dope les gains boursiers des courtiers

                    Cette recherche permet aussi d'expliquer des décisions irrationnelles responsables de bulles spéculatives et de krachs boursiers, selon ces chercheurs de l'Université de Cambridge.

                    Ils ont suivi 17 courtiers de la City à Londres pendant huit jours ouvrés consécutifs et mesuré leur niveau de testostérone deux fois par jour à 11H00 du matin, en pleine activité boursière, et à 16H00, la fin de la séance, en prélevant des échantillons de leur salive.

                    Chaque fois qu'ils mesuraient le niveau de testostérone, les pertes et gains boursiers étaient enregistrés.

                    En comparant les données recueillies, les chercheurs ont pu déterminer que les gains réalisés étaient beaucoup plus importants que la moyenne quotidienne lorsque les courtiers avaient des niveaux de testostérone nettement plus élevés.

                    S'appuyant sur des études précédentes, ces scientifiques pensent que ce phénomène s'expliquerait par le fait que la testostérone accroît la confiance en soi et le goût du risque.
                    La testostérone dope les gains boursiers des courtiers

                    L'influence des stéroïdes, spécifiquement la testostérone et le cortisol ou hydro-cortisone, pourraient aussi expliquer pourquoi des acteurs des marchés confrontés à des bulles spéculatives ou à un krach boursier ont le plus grand mal à agir rationnellement, exacerbant les crises financières.

                    La testostérone est une hormone déterminante pour le comportement sexuel et la compétitivité en agissant sur l'agressivité. Cette hormone augmente chez un athlète avant une compétition et continue à croître en cas de victoire mais diminue s'il perd.

                    "L'augmentation des niveaux de testostérone et de cortisol prédisposent les courtiers à prendre des risques", relève le Dr John Coates de l'université de Cambridge, co-auteur de ces travaux et ancien courtier.

                    "Cependant si la testostérone devient excessive dans l'organisme comme cela peut facilement se produire dans des situations de bulles spéculatives, le goût du risque peut devenir obsessionnel", ajoute-t-il.

                    Cela rappelle une situation décrite par Alan Greenspan, l'ancien président de la Réserve fédérale américaine, qui avait tenté en 1996 de mettre en garde les marchés contre une spéculation excessive. Il avait alors parlé "d'exhubérance irrationnelle".

                    Mais ajoute le Dr Coates, "un niveau extrême de cortisol -- l'hormone libérée par le stress--, lors d'un krach peut également créer une aversion durable du risque".

                    "Dans la crise actuelle du crédit, les investisseurs pourraient bien ressentir la nausée résultant d'un excès chronique de cortisol qui les plonge dans un état psychologique de désespoir", selon ce chercheur.

                    "Quand une telle situation se produit, les banques centrales peuvent baisser les taux d'intérêt autant que possible sans pouvoir persuader les courtiers d'acquérir des actifs risqués", expliquent les auteurs de ces travaux.

                    Dans une telle situation économique, "il est nécessaire de prendre en compte non seulement la rationalité des acteurs mais aussi leur état physiologique et psychologique", estiment-ils.

                    "Les courtiers en bourse travaillent avec des pressions extrêmes et les conséquences de leurs décisions peuvent les affecter profondément et avec eux l'ensemble des marchés", selon le professeur Joe Herbert, du centre sur le cerveau de Cambridge qui estime que les facteurs émotionnels et hormonaux devraient être davantage pris en compte.

                    L'étude paraît dans les Annales de l'Académie nationale américaine des Sciences (PNAS) datées du 14 avril.

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                    • c est beau non ?? j avais dit 300 points...mais 256.8 feront l affaire....
                      j espere que ca vous amuse et vous distrait aussi...mes FXP et BX font la gueule..
                      le PDG de JP Morgan declare que le marché immo devient pire (pas moi..le PDG) et que meme les meilleurs emprunteurs ont du mal à payer ..le prix des maisons devrait baisser de 9% selon eux...(DB dit 26%)
                      Meme le PRIME est touché avec 3.2 % des emprunteurs défaillants

                      IBM et EBAY pas mal.....

                      Petrole..rien de grave....euro .;tout va bien aussi..on devrait attaquer demain les 1.60

                      La presidente de la FED de San Francisco dit que la FED ne devrait pas laisser les taux bas trop longtemps....sinon inflation en vue..juste 6/7 ans pour que le marché immo reprenne..ca devrait aller....on fera le CPI avec le grille baguette coreen...on se débrouillera.....

                      BREF LES DEMENTS VONT ENCORE MIEUX CE SOIR......

                      qui sait comment ca va finir......

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                      • et j'ajoute le coup des allocs!
                        histoire d'en rajouter une couche sur la deprime a venir et peut etre le coup fatal pour un joli ralentissement de la conso ....
                        il en faut pas plus pour ralentir encore un peu plus la machine de la consomation ....tiens le jour ou on nous annonce 3.6% ....
                        si ya pas un message la dedans .....

                        en tt cas le menage moyen francais va commencer a regretter son bulletin de vote ...

                        le gouvernement sent il que les hausses de salaires (le fameux deuxieme tour de trichet) sont ineluctables ....

                        et oui je sais que je vais me faire taper sur les doigts mais moi l'inflation je suis pour ...si si!
                        avec des salaires indexés sur les prix et non les gains de productivités.
                        les seconds ne regardant que les entreprises
                        et le premier étant de leur responsabilités (mat 1eres compris !)

                        et peut etre cette derive inflationniste est peut etre une chance de tt changer un jour
                        mais bon je m'egare et je vais me faire taper vraiment fort !

                        en tt cas , fou ces marches !
                        toujours un gap a 5081 du 18/01....
                        j'y croyais pas ....

                        fo arreter de croire ....

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                        • par ailleurs,il est 23.05...et je voudrais vous présenter mes excuses

                          J ai ouvert cette file dans l intention d alerter sur les risques d investir sur les marchés en ce moment....Mon analyse des faits s est révelé d une exactitude troublante....mais j ai commis une enorme erreur de sous évaluation des réactions des banques centrales et de la psychologie des marchés....

                          Il est évident que le marché US ne veut pas baisser..donc il devrait monter bientot....donc le CAC devrait suivre.....donc mon avis de tout vendre n est tout simplement pas correct...je voudrais m en excuser si je vous ai induit en erreur....

                          je passe donc "Neutre" sur les marchés....il ne faut pas etre trop borné...des forces supérieures à la logique et l intelligence sont à l oeuvre...

                          La question "est ce durable ?" est difficile à juger....peut etre.....en tout cas,l analyse sur le DJ diverge trop de la réalité....je vais donc copier l objectif de Marc Faber...qui n en a pas... à cause des interventions diverses et variées...

                          je ne pense pas qu un complot soit possible.....peut etre sont ils tous plus intelligents que moi ....ou bien tous abrutis....

                          On verra bien....en tout cas,à partir de ce soir....je suis "Neutre"

                          mais je continuerai cette file avec plaisir..et exceptionnellement,je prie désormais pour un effondrement complet.....

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                          • prenez 5 minutes pour lire ceci...Issu de slate.com

                            Last month, the California Realtors' association (folks who in October managed to "project" that prices would fall 4 percent in 2008) reported that, actually, California house prices in February fell 26 percent from a year ago. In the places where the foreclosure boom has hit hardest, it's worse.
                            A quick, almost random survey of some foreclosure prices in Southern and Central California:
                            In San Bernardino, a house bought for $310,000 in 2005 is now being offered by the bank for $199,900.
                            A 2,000-square-foot ranch house in Rancho Santa Margarita is down from $775,000 to $565,000.
                            A starter home in Sacramento, sold for $215,000 in 2004, is now down to $129,900.
                            These are not sale prices. They are asking prices. Don't doubt that they are negotiable.
                            Unfortunately, when it comes to the California crash, these striking numbers are not the end. They are the beginning. (To give Paulson his due, he said that, too.) Which brings us to the other scary part of the California story: a coming wave of interest-rate resets in prime loans given to people with good credit that are just as bad, or worse, than we've seen in subprime.
                            The most common subprime loans were known as "2/28" in the industry: 30 years, including a two-year teaser rate before the interest rate rose. Now these loans have reset, and we're seeing the fallout.
                            But prime borrowers, too, got loans that started out with low payments; if you bought or refinanced your house in the last few years, it's not unlikely that you have one. With an "option ARM" loan you have the "option" (which most borrowers happily take) of paying less than the interest; the magic of "negative amortization." The loan grows until you hit a specified point—the exact point varies with the lender; with Countrywide, it'll come after about four and a half years—when the payment resets to close to twice where it was on Day 1.
                            Just two banks, Washington Mutual and Countrywide, wrote more than $300 billion worth of option ARMs in the three years from 2005 to 2007, concentrated in California. Others—IndyMac, Golden West (the creator of the option ARM, and now a part of Wachovia)—wrote many billions more. The really amazing thing is that the meltdown in California is already happening and virtually none of these loans have yet reset.
                            Option ARM loans were heavily marketed to upper-tier home buyers in California. It's hard to know how bad the option ARM crisis will be before it actually happens, but Moe Bedard, an advocate in Southern California who advises homeowners on foreclosure and blogs about the crisis at Loansafe.org says that the difference in the time until the rate rises is the main reason that upper-middle-class Orange County (now facing foreclosures at a rate merely twice the national average) hasn't yet been hit as badly as places like Riverside.
                            When those dominoes start falling next year, we may or may not have a subprime bailout plan, and the discussion will start about how to bail out this next tranche of borrowers. The bailout plans on the table now, such as the one put forward by Barney Frank (one of Congress' genuinely cogent financial minds), are reasonably based on the principle of bringing payments down to a point that homeowners can afford.
                            But where prices fall 40 percent to 60 percent, all that goes out the window. Why? Because in expensive locales like San Diego, tens of thousands of people with 100 percent loan-to-value mortgages and option ARMs are living in homes in which they have no equity and on which they owe a lot more than the house is worth.
                            In these places, accepting a government "bailout" that pays them, say, 90 percent of the value of the house to keep from foreclosing will be very tough for lenders, who (if the appraisers don't fudge the numbers) could be forced to take 36 cents or 45 cents on the dollar for their loans. On the other hand, any plan that makes them pay more if they can afford it is hugely disadvantageous for the borrowers, who have option ARMs about to reset and are much better off handing the keys to bank—and maybe even scooping up the foreclosed house down the street.
                            If you're one of the "homedebtors" (a fantastic neologism coined by the anonymous blogger IrvineRenter on the Irvine Housing Blog) in this position, you might start thinking very seriously about just how attached you are to the wisteria vine snaking over the basketball hoop on your garage. That's what a lot of other California borrowers will be doing.
                            The luckiest of those are the ones who used option ARMs to buy a house. For them, walking away is easy: Their loans are "nonrecourse," and the lenders can't go after them for more than the value of the house. The choice is harder for those who used the loans to refinance. The quirks of real-estate law regarding refi loans make it possible (though not necessarily easy) for lenders to try to get back more money even after taking the house.
                            If you think, however, that should make lenders a lot happier, forget it. LoanSafe's Bedard says that even in this group, most of the option ARM borrowers he talks to—some of them living in $800,000 houses—are already considering walking away from their deeply depreciated homes as soon as the rates reset.
                            Bet on this: Whatever moral qualms are being urged on borrowers to keep them from walking away from their mortgages, they'll count for a lot less than the economic reality facing borrowers whose homes have fallen in value by half. Lenders had no reservations about selling borrowers loans with rising payments that would be poisonous in a rising market. Now it seems borrowers have no reservations about leaving those lenders with the risks they begged to take.
                            Consider, too, that, yes, going through a foreclosure kills your credit rating and makes it a lot harder to buy a new house—but as more and more prime borrowers go into foreclosure, it's perfectly possible that buying a new home a year later will in the near future be as routine and unsurprising as the once inconceivable idea that you can get a whole batch of new credit cards two years after a bankruptcy.
                            Of course, all those people stuck between rising mortgages and falling prices are free to follow Paulson's advice: Keep making payments on an outsized mortgage, and take a bullet for the greater economic good. Fortunately for them, and perhaps unfortunately for the economy, a lot of them will come to the realization that they just don't have to.

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                            • MOODYS dit que JP Morgan va perdre plein plein plein d argent ..8M minimum...

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                              • C'est plus la plunge team ! c'est la Prozac team ! ils ont reussit a mettre les marches en etat euphorisant en depit de tout
                                Ben is a genius .... ! "Merci Ben"
                                bah on aiguisse toujours ses shorts (en tous cas pour moi !)je reste liquide !(faudra bien eponger les pertes a un moment ou un autre, quoi non ? ..... )
                                DJ + 2%, Nasdaq +2.8 % c'est les pauvres qui vont etre content ! allez tournee de BUD pour tous les expulses

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