Depuis la reprise technique, je lis beaucoup de commentaires sur le manque de volumes, la faiblesse des volumes, la prise en compte des volumes dans les mouvements en cours....
Ma reflexion est la suivante:
"La reference au niveau des volumes se fait sur la base des niveaux moyens des volumes qui a accompagné le marché haussier jusqu'en 2007, puis sur la base des volumes exceptionnellement elevé qui a accompagné la baisse des marchés ces derniers mois.
Or il est indéniable que la psychologie a changé, il est indéniable également que nombre de liquidités disponibles ont été investis dur d'autres marchés et/ou pour d'autres opérations pour laisser passer l'orage et que la plupart des investisseurs individuels ont deserté pour le moment les marchés, en attendant des jours meilleurs...
Dès lors, la masse de liquidités disponibles à investir sur les marchés financiers est moindre...
D'ou ma question:
"la référence aux volumes et à leur faiblesse en référence à une activité et une psychologie qui appartient au passé et qui a radicalement changé, est-elle toujours judicieuse?
Ne devons nous pas avoir une autre référence quant aux volumes dans les mois qui viennent, qui doivent s'adapter à la psychologie actuelle? et ce que nous appelons faible volumes, dans un marché haussier, a-t-il la même incidence dans le marché que nous vivons actuellement?
Ceux qui ont l'experience des années 2000 peuvent peut être à ce sujet, nous apporter quelques eclaircissements?
Lorsque le cadre change, devons nous garder les mêmes references et ordre de grandeur?
Ma reflexion est la suivante:
"La reference au niveau des volumes se fait sur la base des niveaux moyens des volumes qui a accompagné le marché haussier jusqu'en 2007, puis sur la base des volumes exceptionnellement elevé qui a accompagné la baisse des marchés ces derniers mois.
Or il est indéniable que la psychologie a changé, il est indéniable également que nombre de liquidités disponibles ont été investis dur d'autres marchés et/ou pour d'autres opérations pour laisser passer l'orage et que la plupart des investisseurs individuels ont deserté pour le moment les marchés, en attendant des jours meilleurs...
Dès lors, la masse de liquidités disponibles à investir sur les marchés financiers est moindre...
D'ou ma question:
"la référence aux volumes et à leur faiblesse en référence à une activité et une psychologie qui appartient au passé et qui a radicalement changé, est-elle toujours judicieuse?
Ne devons nous pas avoir une autre référence quant aux volumes dans les mois qui viennent, qui doivent s'adapter à la psychologie actuelle? et ce que nous appelons faible volumes, dans un marché haussier, a-t-il la même incidence dans le marché que nous vivons actuellement?
Ceux qui ont l'experience des années 2000 peuvent peut être à ce sujet, nous apporter quelques eclaircissements?
Lorsque le cadre change, devons nous garder les mêmes references et ordre de grandeur?
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