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Les "chimpanzés" meilleurs que les hommes pour investir en Bourse:
Un chimpanzé
Les indices boursiers constitués de façon aléatoire, "ce qui revient à évaluer les capacités d'un chimpanzé en matière d'investissement", sont plus performants que les indices pondérés par capitalisation boursière, selon la Cass Business School de Londres lundi.
"Nous avons réalisé une simulation informatique consistant à sélectionner et à pondérer aléatoirement un échantillon de 1.000 actions, ce qui revient à évaluer les capacités d'un chimpanzé en matière d'investissement sur le marché", explique le professeur Andrew Clare, co-auteur de l'étude, cité dans un communiqué.
L'étude, basée sur des données collectées tous les mois aux Etats-Unis de 1968 à 2011, a répété cette procédure aléatoire 10 millions de fois pour chacune des 43 années étudiées, précise le chercheur.
En conclusion, "la quasi-totalité des 10 millions de chimpanzés-gestionnaires de fonds ont réalisé de meilleures performances que les indices pondérés par capitalisation", poursuit le communiqué, citant M. Clare.
L'étude, publiée sous forme de deux articles par le cabinet Cass Consulting de la Cass Business School, qui fait partie de la City University de Londres, portait sur les méthodes alternatives de construction d'indices boursiers, précise le communiqué.
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c'est bien aussi sur cette file
Le bon stress n'existe pas !
(en effet)
Seul rempart : développer son intelligence adaptativeL'état des recherches en Neurosciences permet désormais de décoder les subtilités du fonctionnement du cerveau et les situations perturbantes pour tout être humain, voire insupportable si elles persistent. Ce qui permet à un individu de vivre au mieux est lié à sa capacité d'adaptation située dans le néocortex préfrontal. "A condition organisationnelle ou managériale égale, le niveau de stress d'un individu est d'autant plus faible que sa capacité à solliciter son "intelligence adaptative" est élevée. Mais pour solliciter cette forme d'intelligence, il faut admettre son incompétence, ses erreurs et ses limites et éviter de se verrouiller en mode "je suis compétent". C'est adopter un état d'esprit alliant curiosité, souplesse, nuance, prise de recul et de hauteur, réflexion logique et opinion personnelle pleinement assumée", souligne Jacques Fradin. Bref, c'est lâcher prise plutôt que de s'accrocher coûte que coûte à sa façon de faire, et parvenir à ne pas dramatiser les situations. Un constat que Socrate n'aurait pas démenti avec son aphorisme "je sais que je ne sais rien". Moralité : le stress est donc d'autant plus faible que l'on est capable de solliciter cette fameuse intelligence adaptative, ce qui revient à une forme de résilience aboutie. Un doux mélange entre action et acceptation chères à Epitecte.
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