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[ Eutectique ] : La Tectonique des vagues
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          • en cas de gap haussier



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            • L'Italie adopte un plan de rigueur anti-crise très sévère :


              Silvio Berlusconi et son ministre des Finances Giulio Tremonti donnent une conférence de presse à Rome le 12 août 2011

              Le gouvernement Berlusconi a adopté vendredi un nouveau plan de rigueur draconien de 45,5 milliards d'euros sur deux ans, dans l'espoir de mettre un terme aux attaques spéculatives contre l'Italie, rattrapée par la crise de la dette dans la zone euro.

              Les nouvelles mesures, qui s'ajoutent à une cure d'austérité de 48 milliards d'euros sur trois ans adoptée à la mi-juillet par le Parlement, permettront de récupérer "20 milliards en 2012 et 25,5 milliards en 2013", a déclaré Silvio Berlusconi devant la presse.

              Le Premier ministre italien s'est dit "affligé" de devoir imposer de tels sacrifices à son pays, mais satisfait" car le texte -- un décret-loi qui devra être ratifié dans 60 jours par le Parlement -- a été adopté "à l'unanimité du conseil des ministres".

              Le plan répond, a-t-il souligné, aux demandes des partenaires européens et de la Banque centrale européenne qui a conditionné le soutien à Rome par le biais de rachat d'obligations d'Etat à l'adoption de nouvelles mesures de rigueur. La BCE a énuméré ses conditions dans une lettre "secrète".

              "Après s'être concentrée sur la Grèce, la spéculation était en train de viser l'Italie" qui doit renouveler pour 250 milliards d'euros d'emprunts publics cette année, s'est justifié M. Berlusconi.

              Grande nouveauté, le Cavaliere, 74 ans, a annoncé une "taxe de solidarité" sur deux ans pour les revenus les plus élevés (5% pour ceux supérieurs à 90.000 euros par an, 10% au-dessus de 150.000).

              Silvio Berlusconi entouré de ses ministres, le 10 août 2011 au Palais Chigi, à Rome
              © AFP Vincenzo Pinto

              "Mon coeur saigne alors que le gouvernement se vantait de ne jamais avoir mis la main à la poche des Italiens", a-t-il soupiré, en qualifiant ces mesures d'"inévitables".

              Selon les commentateurs, son allié clé de la Ligue du Nord l'a convaincu qu'il fallait trouver un équilibre entre les sacrifices demandés aux plus riches et à la classe moyenne.

              En butte à des attaques spéculatives, l'Italie, qui ploie sous une énorme dette (plus de 1.900 milliards d'euros, 120% du PIB), s'était engagée vendredi dernier à revenir à l'équilibre budgétaire dès 2013 au lieu de 2014. Le plan de rigueur a été mis au point en seulement sept jours, a fait remarquer le ministre de l'Economie, Giulio Tremonti.

              M. Berlusconi a souligné vouloir réduire "les coûts de la politique", allusion à une demande pressante de l'opinion publique, furieuse des privilèges de "la caste" comme est désormais surnommée la classe politique. La taxation des revenus parlementaires sera par exemple sensiblement accrue.

              Rome prévoit aussi d'éliminer les provinces les moins habitées (moins de 300.000 habitants) et de fusionner les communes de moins de 1.000 habitants. Selon le gouvernement, plus de 50.000 postes d'élus locaux seront supprimés.

              Les ministères devront aussi se serrer la ceinture et économiser 8,5 milliards sur deux ans.

              Les transferts aux collectivités locales seront amputés de 9,5 milliards d'euros, ce qui a provoqué une levée de boucliers des élus qui ont qualifié le plan de rigueur "d'inique et de dépressif" pour la croissance car il les obligera à augmenter les impôts locaux.

              Le plan de rigueur suit aussi les recommandations de la BCE sur la libéralisation de l'économie, la privatisation des sociétés municipales et l'assouplissement du droit du travail (licenciements, recours aux contrats à durée déterminée).

              Le gouvernement a en outre annoncé un renforcement de la lutte contre l'évasion fiscale, la hausse de la taxation des gains financiers (de 12,5% à 20%) et le transfert des jours fériés au lundi pour accroître la productivité. L'âge de la retraite pour les femmes du secteur privé devrait augmenter progressivement à 65 ans à partir de 2016 au lieu de 2020 prévu initialement.

              Pour Fabio Fois, analyste de Barclays Capital, le plan va "dans la bonne direction" mais les mesures "risquent d'avoir un effet négatif sur la consommation en ralentissant la croissance l'an prochain" et il faudrait "des réformes structurelles pour augmenter la croissance potentielle et offrir plus de garanties pour le remboursement de la dette à long terme."

              L'Italie connaît une croissance poussive d'un maximum de 1% par an depuis une décennie.

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                  • * AFP le 13/08/2011 à 17:36



                    Les marchés financiers sur le qui-vive, minés par une crise de confiance :



                    De New York à Paris, les marchés financiers restent sur le qui-vive après une folle semaine qui s'est terminée dans une relative accalmie, mais les craintes persistantes sur la croissance mondiale minent la confiance des investisseurs.

                    C'est dans ce contexte d'extrême nervosité que le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel se rencontrent mardi à Paris pour évoquer la gouvernance économique en zone euro.

                    Les investisseurs attendent du couple franco-allemand, pilier de l'Union monétaire, des mesures concrètes pour éviter que la crise de la dette publique ne s'étende à de grands pays comme l'Italie et l'Espagne, troisième et quatrième économies de la zone euro.

                    Mais la tâche s'annonce délicate pour Paris et Berlin. Alors que les marchés financiers poussent pour une adoption le plus tôt possible du second plan de sauvetage de la Grèce, annoncé le 21 juillet, le parlement allemand a averti samedi qu'il lui serait "pratiquement impossible" de le faire dans les délais prévus.

                    "Le gouvernement allemand ne peut rien décider qui coûte ne serait-ce qu'un cent sans l'aval du Bundestag", a prévenu son président Norbert Lammert.

                    "On a fini la semaine là où on l'a commencée: les incertitudes sur la solidité de la zone euro et l'économie américaine sont toujours là. Rien n'a changé", commente Henry Blodget, analyste au site spécialisé The Business Insider.

                    Après avoir frôlé le krach, la plupart des places financières ont limité la casse sur la semaine. A New York, l'indice vedette, le Dow Jones, a seulement perdu 1,53%, Paris 1,97%, Milan 0,87% et Madrid 0,28%. La baisse a été plus nette à Tokyo (-3,61%) et surtout à Francfort (-6,5%), tandis que Londres a survécu (+1,39%).

                    "Les investisseurs ont encore en mémoire la crise de 2008 et leur argent parti en fumée, donc ils vendent d'abord et se posent des questions après", souligne François Duhen de CM CIC. "La peur a pris le dessus et va continuer de dominer", ajoute-t-il.

                    La semaine avait débuté par un coup de tonnerre après la dégradation historique par l'agence de notation Standard & Poor's de la note de crédit des Etats-Unis, soulevant un doute sur la capacité du pays à rembourser sa dette.

                    Mercredi, un vent de panique avait balayé les places boursières après des rumeurs spéculatives visant la solvabilité de la France et la santé des banques françaises avant deux séances de rebond.

                    Les investisseurs craignent qu'une crise du secteur financier européen ne s'exporte aux Etats-Unis car les banques occidentales sont interconnectées.

                    La banque française Société Générale, qui fait l'objet de rumeurs de faillite, joue un rôle de premier plan dans le marché des dérivés des actions, produits financiers permettant aux établissements financiers des pays développés de se protéger des chutes des Bourses, selon le New York Times. En conséquence, son effondrement déstabiliserait l'ensemble du système financier mondial.

                    "Nous sommes au début d'une tempête nouvelle et différente, ce n'est pas la même crise qu'en 2008", juge le président de la Banque mondiale, Robert Zoellick.

                    Avec la Grèce et le Portugal assommés par leur dette et d'autres pays menacés, et sans possibilité de dévaluation, c'est en effet non seulement l'économie de la zone euro qui est menacée, mais l'existence même de la monnaie européenne, met-il en garde.

                    L'Italie, qui est dans le collimateur des agences de notation, ne prévoit pas de réviser "pour le moment" ses prévisions de croissance après l'adoption vendredi d'un nouveau plan de vigueur chiffré à 45 milliards d'euros en deux ans, a assuré samedi le ministre de l'Economie Giulio Tremonti.

                    Sur l'autre rive de l'Atlantique, le président américain Barack Obama a reconnu que son pays faisait face à "des défis économiques très durs": "la réponse de Washington a été récemment la division partisane et les blocages qui n'ont fait que miner la confiance du public et gêner nos efforts en faveur de la croissance économique", a-t-il déclaré samedi.

                    "Ce qui se passe actuellement est une crise de gouvernement", dénonce l'analyste Joe Weisenthal, déplorant les tensions et les divergences entre dirigeants européens et l'absence de consensus politique aux Etats-Unis.

                    "La panique et les soubresauts des marchés illustrent la fragilité de la confiance des investisseurs dans le monde occidental", fustige samedi l'agence chinoise Chine nouvelle. Pékin est le premier créancier étranger des Etats-Unis.

                    Les ministres de l'Economie des pays d'Asie du sud-est ont indiqué samedi que la crise de la zone euro menace leur croissance.

                    Les banques centrales, la BCE en Europe et la Réserve fédérale aux Etats-Unis (Fed), sont pourtant sorties de leur rôle en prenant des mesures exceptionnelles comme des rachats de titres de dette publique pour la première et de nouvelles mesures de relance pour la seconde.

                    Seul hic, "les marchés ont pris conscience que si la situation empire, ils ne doivent plus compter sur les gouvernements", confie Joe Weisenthal.

                    Cependant, pour freiner les ravages des rumeurs, les autorités boursières en France, Italie, Espagne et Belgique ont décidé d'interdire temporairement la pratique spéculative des ventes à découvert sur les valeurs financières.

                    L'Allemagne réclame pour sa part des mesures à l'échelle européenne, mais Londres lui a opposé une fin de non-recevoir car l'activité de la City, première place financière d'Europe, serait lourdement pénalisée par une telle interdiction.

                    "En 2008, cette interdiction s'est mal passée, surtout aux Etats-Unis où les titres financiers ont chuté. Pour qu'on en arrive là, c'est qu'il y a un vrai malaise", rappelle Waldemar Brun-Theremin, analyste chez chez Turgot Asset Management.

                    Signe de cette crise de confiance, les investisseurs ont transféré 50 milliards de dollars cette semaine des Bourses vers des actifs considérés plus sûrs, selon le Financial Times, soit plus que pendant la faillite de la banque américaine Lehman Brothers en 2008.

                    Le prix de l'or, valeur refuge, a dépassé pour la première fois les 1.800 dollars l'once cette semaine.


                    Copyright © 2011 AFP. Tous droits de reproduction et de représentation réservés.
                    Toutes les informations reproduites dans cette rubrique (dépêches, photos, logos) sont protég
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                      • bsr chef,si on suit le graph dax hebdo sa va booster très haut pour la 5 jaune,sa donnerai quoi pour le cac?si on passe de mémooire les 3534 bien sur

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                        • AH AHHHH JE L'AI TROUVER CE GRAPH AVEC CE 2 ROUGE,JE SAVAI BIEN QUE JE L'AVAI VU Y'A TRES PEU DE TEMPS.


                          Citation de : Eutectique (au 10-08-2011 10:45:11)




                          je verrais bien un range horizontal 3000-4000 pendant encore un an ou 2.

                          Vous en pensez quoi ?





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                          • BJR A TOUS,SI LES CALCULS APRES ENQUETE NE SONT PAS BON ET MEILLEUR QUE STANDARD A COMMUNIQUE SA VA BOOSTER GRAVE

                            Le gendarme boursier américain enquête sur les méthodes de Standard & Poor's :


                            Le siège de l'agence de notation Standard & Poor's à New York
                            © AFP/Archives Stan Honda

                            Le régulateur boursier américain, la SEC, a lancé une enquête sur les méthodes de calcul employées par l'agence Standard & Poor's (S&P) pour abaisser la note de solvabilité des Etats-Unis, a affirmé samedi le Wall Street Journal.

                            Selon le quotidien des affaires, qui cite des sources proches du dossier, la Securities and Exchange Commission a lancé une vaste enquête sur les pratiques de l'agence d'évaluation, dont celles utilisées pour décider de retirer le "AAA" de la première économie mondiale le 5 août.

                            Les enquêteurs du régulateur étudient notamment les modèles de calcul employés, contestés par le Trésor américain, qui a notamment relevé une erreur de 2.000 milliards de dollars dans les projections budgétaires de S&P, explique le journal.

                            Ils cherchent par ailleurs à déterminer quels employés de l'agence étaient au courant de sa décision et son annonce imminente, afin d'établir un possible délit d'initiés, poursuit le Wall Street Journal.

                            Des rumeurs concernant un possible abaissement de la note des Etats-Unis avaient parcouru le marché dans la journée de vendredi, provoquant un bref décrochage des indices boursiers américains. L'annonce a été rendue publique après la fermeture de Wall Street pour le week-end.

                            Un porte-parole de S&P interrogé par le Wall Street Journal a déclaré que tous les employés informés étaient "soumis aux pratiques et procédures concernant le traitement d'informations confidentielles et d'échanges de titres".

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                            • Citation de : Eutectique (au 13-08-2011 21:13:11)






                              Bonsoir,si on fait le 5 bleu,je pense qu'on aura du mal à faire le 6 bleu car on aura cassé les 3000,ce qui devrait nous emmener 1100 points plus bas environ (4100-3000) par effet de balançoire . On en saura plus quand on pourra tracer un canal baissier hebdo (si on n'a pas de V bottom : peu de chances vu le contexte).

                              Je verrais bien un décompte du genre :
                              1:2900
                              2:3500
                              3:2300
                              4:2900
                              5:1700=fin de la baisse long terme!
                              6:2900

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                              • En formation avec Junior (c'est lui qui me forme)
                                Peu dispo.


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