A priori c est dans la boite... mais tellement complexe que si qq'un comprend quoique ce soit...
en fait ca coute plus cher car la methode serre ceinture a tellement bien marché que la recession est proche de 7%
allez savoir ce que le marché va en penser.... il y a accord... mais qui lit l'accord?
en attendant l'euro se reprend.. et généralement quand il monte... ca baisse pas
Grèce-Un supplément d'aide pour les objectifs de dette-Rapport
lundi 20 février 2012 21h34 Imprimer cet article [-] Texte [+]
BRUXELLES, 20 février (Reuters) - Il faudra à la Grèce un supplément d'aide si elle doit ramener sa dette à 120% du PIB d'ici 2020, et si elle ne confirme pas sa volonté de mener à bien les réformes structurelles, sa dette pourrait atteindre 160% du PIB d'ici 2020, montre un rapport sur la dette grecque rédigé par la troïka.
La troïka regroupe l'Union européenne, le Fonds monétaire international et la BCE.
Le scénario de base est que la Grèce ramènera sa dette à 129% du PIB d'ici 2020 contre 160% actuellement, soit au-dessus de l'objectif officiel qui est de 120%, suivant l'analyse de neuf pages préparée pour l'Eurogroupe (ministres des Finances de la zone euro).
"Les résultats montrent un besoin d'aide supplémentaire de la part des secteurs public ou privé pour infléchir vers le bas la trajectoire de la dette", lit-on dans ce rapport daté du 15 février et obtenu par Reuters.
Le rapport estime que la dette pourrait être ramenée de 129 à 120% en restructurant les intérêts cumulés des obligations grecques, ce qui retrancherait 1,5 point à la dette.
Abaisser les taux d'intérêt sur les prêts bilatéraux à la Grèce accordés suivant le premier plan de renflouement retrancherait encore 1,5 point.
Restructurer les portefeuilles d'obligations grecques détenues par les banques centrales de la zone euro enlèverait 3,5 points, tandis que si la Banque centrale européenne renonçait à encaisser tout profit sur ses propres obligations grecques rachetées depuis 2010, 5,5 points seraient à leur tour retranchés de la dette.
(Jan Strupczewski, Wilfrid Exbrayat pour le service français)
© Thomson Reuters 2012 Tous droits réservés.
Grèce-Accord sur une dette à 123/124%, négociations pour 120%
lundi 20 février 2012 23h27 Imprimer cet article [-] Texte [+]
BRUXELLES, 20 février (Reuters) - Les ministres des Finances de la zone euro sont parvenus à un accord sur les moyens de réduire la dette grecque à 123-124% du PIB d'ici à 2020 mais poursuivent les négociations afin de parvenir à l'objectif initial de 120%, ont indiqué deux sources proches des négociations en cours à Bruxelles.
Selon ces sources, des accords de principe ont déjà été trouvés sur une réduction des taux d'intérêt des prêts qui seront consentis à la Grèce et sur la participation des banques centrales nationales de la zone euro à un échange de dette permettant d'atteindre le chiffre de 123/124%.
Deux autres pistes sont désormais explorées.
Des négociations se déroulent en parallèle de la réunion de l'Eurogroupe avec les représentants des créanciers privés, représentés par les responsables de l'Institut de la Finance Internationale, Charles Dallara et Jean Lemierre.
Par ailleurs, les discussions se poursuivent sur une redistribution des bénéfices réalisés par la Banque centrale européenne sur ses titres obligataires grecs mais ce point reste très difficile, ont indiqué ces sources. (Julien Toyer et Annika Breidhardt, édité par Jean-Loup Fiévet)
en fait ca coute plus cher car la methode serre ceinture a tellement bien marché que la recession est proche de 7%
allez savoir ce que le marché va en penser.... il y a accord... mais qui lit l'accord?
en attendant l'euro se reprend.. et généralement quand il monte... ca baisse pas
Grèce-Un supplément d'aide pour les objectifs de dette-Rapport
lundi 20 février 2012 21h34 Imprimer cet article [-] Texte [+]
BRUXELLES, 20 février (Reuters) - Il faudra à la Grèce un supplément d'aide si elle doit ramener sa dette à 120% du PIB d'ici 2020, et si elle ne confirme pas sa volonté de mener à bien les réformes structurelles, sa dette pourrait atteindre 160% du PIB d'ici 2020, montre un rapport sur la dette grecque rédigé par la troïka.
La troïka regroupe l'Union européenne, le Fonds monétaire international et la BCE.
Le scénario de base est que la Grèce ramènera sa dette à 129% du PIB d'ici 2020 contre 160% actuellement, soit au-dessus de l'objectif officiel qui est de 120%, suivant l'analyse de neuf pages préparée pour l'Eurogroupe (ministres des Finances de la zone euro).
"Les résultats montrent un besoin d'aide supplémentaire de la part des secteurs public ou privé pour infléchir vers le bas la trajectoire de la dette", lit-on dans ce rapport daté du 15 février et obtenu par Reuters.
Le rapport estime que la dette pourrait être ramenée de 129 à 120% en restructurant les intérêts cumulés des obligations grecques, ce qui retrancherait 1,5 point à la dette.
Abaisser les taux d'intérêt sur les prêts bilatéraux à la Grèce accordés suivant le premier plan de renflouement retrancherait encore 1,5 point.
Restructurer les portefeuilles d'obligations grecques détenues par les banques centrales de la zone euro enlèverait 3,5 points, tandis que si la Banque centrale européenne renonçait à encaisser tout profit sur ses propres obligations grecques rachetées depuis 2010, 5,5 points seraient à leur tour retranchés de la dette.
(Jan Strupczewski, Wilfrid Exbrayat pour le service français)
© Thomson Reuters 2012 Tous droits réservés.
Grèce-Accord sur une dette à 123/124%, négociations pour 120%
lundi 20 février 2012 23h27 Imprimer cet article [-] Texte [+]
BRUXELLES, 20 février (Reuters) - Les ministres des Finances de la zone euro sont parvenus à un accord sur les moyens de réduire la dette grecque à 123-124% du PIB d'ici à 2020 mais poursuivent les négociations afin de parvenir à l'objectif initial de 120%, ont indiqué deux sources proches des négociations en cours à Bruxelles.
Selon ces sources, des accords de principe ont déjà été trouvés sur une réduction des taux d'intérêt des prêts qui seront consentis à la Grèce et sur la participation des banques centrales nationales de la zone euro à un échange de dette permettant d'atteindre le chiffre de 123/124%.
Deux autres pistes sont désormais explorées.
Des négociations se déroulent en parallèle de la réunion de l'Eurogroupe avec les représentants des créanciers privés, représentés par les responsables de l'Institut de la Finance Internationale, Charles Dallara et Jean Lemierre.
Par ailleurs, les discussions se poursuivent sur une redistribution des bénéfices réalisés par la Banque centrale européenne sur ses titres obligataires grecs mais ce point reste très difficile, ont indiqué ces sources. (Julien Toyer et Annika Breidhardt, édité par Jean-Loup Fiévet)
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