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Quelle différence existe t-il entre le rating et la certification MSI 20000 ?
Contrairement au rating qui existe depuis plus de 150 ans ; à l’origine, les 3 plus célèbres agences américaines Standard&Poor’s, Fitch et Moodys ; les certifications dans leur globalité, reste relativement récente (on parle d’une trentaine d’année). Ceci est d’autant plus vrai pour les certifications financières, qui voient définitivement le jour après la crise des subprimes.
Concernant l’analyse et l’évaluation établie autour de la certification MSI 20000 ; elle est en soit très proche de celle utilisée lors d’un rating. Les éléments et critères repris dans le cahier des charges du standard MSI 20000 sont pour la plupart identiques à ceux utilisés lors d’un rating.
2 principes diffèrent réellement d’un rating classique :
-D’abord, les procédures d’audit conduisant à la certification.
En effet, la méthodologie imputer à l’audit conduisant au standard MSI est construite sur les fondamentaux d’une norme ISO ou SA.
-Ensuite, l’outil d’appréciation in-fine.
En effet, un audit de rating conduit à l’attribution d’une note pouvant aller en générale de AAA à DDD, alors qu’un audit de certification conduit à l’attribution symbolique d’un certificat officiel de conformité. Les supports communiqués, ne sont donc pas les mêmes, et bien que ces diagnostics financiers sont généralement employés en B to B, une certification est davantage assimilable pour l’opinion public qu’une note qui reste technique. Ce qui en fait une information financière accessible à tous, apprécier par tous et considérer dans ce sens.
Pour résumé, dans la forme, la certification diffère du rating, mais dans le fond l’étude autour de l’audit et l’analyse issu de l’audit, sont relativement semblables.
Nous avons tendance à éviter de placer les certifications financières en antagonisme ou en opposition au rating, ou les présenter comme une éventuelle alternative, mais plutôt comme 2 outils complémentaires.
Les informations collectées et traitées pour la construction des ratios de sélection pour la certification : Sont-elles efficientes ? Font-elles l’objet d’un système de vérification ?
Les critères utilisés sont issus de ratios et de modèles financiers fiables et concrets. Il s’agit des critères les plus couramment utilisés, des indicateurs reconnus, ayant fait leur preuve à travers le temps, qu’il s’agisse d’indicateurs fondamentaux ou spécifiques. A l’évidence tout travaux, aussi rationnel et cartésien soit-il, même bâti sur une science exacte, a ses limites. Le travail d’un certificateur fait l’objet d’un système de vérification en continu selon la norme ISO 17021. Des procédures et une méthodologie qui maximise la fiabilité des rapports et de comptes rendus.
Concrètement et en quelques mots que signifie être certifié MSI 20000 pour une société ?
En une phrase, être certifié MSI 20000 est synonyme de solidité et de performance financière à un moment donné et sur la base dans états financiers (certifiés par les commissaires aux comptes) des 3 ou 5 dernières années (variable selon le secteur d’activité).
Quels sont le profil des sociétés certifiables ?
En théorie toute société, tout secteur d’activité confondu, répondant rigoureusement aux exigences du cahier des charge du référentiel et sans non-conformité majeure, peut se prévaloir du standard MSI 20000.
Privilégiez-vous des sociétés en particulier ?
Nous avons tendance à privilégier en priorité les sociétés cotées en bourse, pour la raison évidente que ce profil de société trouve un intérêt majeur et immédiat lors d’une certification. Ce type de société est en relation continue avec les acteurs et opérateurs de marché, la corrélation est directe.
A quoi sert cette certification pour une société certifiée ?
Cette certification sert de manière directe et indirecte à rapporter de l’argent aux sociétés certifiées.
Elle concerne tous les acteurs de la finance (actionnaires, investisseurs, intermédiaires, créanciers, banques d’affaire, fonds). Le principe est de valoriser l’activité financière d’une structure, à travers un certificat de conformité reconnu, délivrer par un organisme de certification indépendant et agrémenté.
Qui a crée ce standard ?
L’idée de créer ce référentiel est née d’une élite d’acteurs de la finance de marché moderne et internationale, trader, broker et courtier en bourse issus des marchés anglo-saxons et exerçant au sein des plus grandes institutions et établissements financiers.
Quand ?
Il y a une dizaine d’année, dans les années 2000, après le cas ENRON et suite à la frilosité récurrente et inexpliquée des marchés financiers. La crise des subprimes viendra définitivement légitimer ces certifications.
Pourquoi ce référentiel ?
A l’origine l’objectif était de rassurer les intervenants directs de marchés (actionnaires et investisseurs) en singularisant les valeurs les plus sur selon 2 critères : la solidité et la performance financière.
A quoi sert-il ? Quel est concrètement son utilité ?
Il sert de repère, de référence. Il constitue clairement un outil d’aide à la décision et un argument fort dans ce sens.
Quel est l’implication de l’Institut de la Bourse de Paris dans cette norme ?
L’Institut a tout de suite compris après la crise des subprimes, l’importance des certifications financières, suite à l’effondrement continu des actions par effet « boule de neige » et effet « moutonnier » ; l’importante d’un standard de qualité, objectif et fiable, venant rassurer le marché en appuyant et donnant de la contenance aux meilleurs titres des différentes places financières, devenait primordiale.
En quoi a consisté l’action de l’Institut de la Bourse de Paris dans ce projet ?
A l’origine de ce projet : des institutions anglo-saxonnes issues essentiellement de place financières américaines. L’Institut a relayé leur activité en Europe, en important ce projet et en le mettant à la disposition des institutions financières européennes. L’implication de l’Institut dans ce projet fut totale puisque au-delà d’accompagner les activités outre-Atlantique, l’Institut travail activement sur ce chantier en développant une cellule d’analyse financière au sein même de l’Institut, regroupant les compétences requises à la collecte et l’harmonisation des données issues des places européennes, pour l’élaboration continue du cahier des charges.
Qu’entendez-vous par « élaboration continue » du cahier des charges ?
MSI 2000 est un projet collectif établit sur des règles de fonctionnement simples. Tout financier peut y apporter sa touche, en joignant un critère, propre à un indicateur, un ratio ou un modèle. Le cahier des charges est modelable à l’infini à condition qu’il soit in-fine approuvé par une commission régissant le standard. Ce comité composé de professionnels du secteur financier, d’entreprise et de marché, se réunit une fois par an.
L’objectif est d’offrir dans l’absolu, un contenu fiable et concret, construit sur des repères objectifs, reconnu de tous et actualisé en continu.
Comment expliquez-vous ce retard dans les « Certifications Financières » ?
Ce retard, je ne l’explique pas ; ce que je sais c’est que les certifications financières sont longtemps restées tabou. Ce que nous savons aussi c’est qu’il existe des certifications de conformité dans tous les domaines et cela sans quasi exception. De nos jours tout devient réglementer, qu’il s’agisse de norme ou de standard sur des produits ou sur des services.
A titre d’exemple, la norme qui concerne la qualité du « Management » d’une structure est le standard ISO 9001, il a été crée il y a plus de 20 ans. Entre temps, jusqu’aux années 2000 aucun référentiel n’est venu réglementer la qualité de l’activité « Financière » d’une structure. Le standard MSI 20000 a pris de nombreuses appellations et est longtemps resté en veille, avant de récemment refaire surface.
Quelle reconnaissance ce référentiel a-t-il ?
Le standard MSI 20000 est reconnu des professionnels du secteur financier, qu’il s’agisse de finance d’entreprise ou de marché. Les institutions financières internationales ont eu connaissance du système « Market Standard Indicator » et de son cahier des charges évolutif depuis 2000, et beaucoup d’entre elles y ont participé.
Que vaut-il ?
Ce référentiel est construit sur les mêmes fondamentaux d’une norme. C’est précisément sur la base de la dernière version de la norme ISO 9001, et à l’identique de ce standard que c’est édifié le cahier des charges, suivi des procédures.
Pourquoi n’étendons-nous pas, tant que ca, parler des certifications financières ?
Les certifications liées à l’activité financière, sont restées longtemps tabou.
Il a fallu la crise des subprimes pour les remettre d’actualité.
De plus, à l’image des autres référentiels, norme ISO, SA, OHSAS ou encore HACCP, les certifications financières restent relativement récentes. On parle respectivement d’une trentaine et vingtaine d’année pour les uns et à peine une dizaine pour le plus connu des référentiels financiers, le standard MSI 20000.
Comment expliquer cet engouement ?
Face à un environnement fort concurrentiel et une mondialisation accrue, les meilleures structures, dont l’activité financière est bonne, saine, solide et performante, veulent faire valoir ces atouts majeurs.
Les certifications ont précisément cette vocation. Elles sont un outil incontournable au développement, procure un avantage concurrentiel indéniable et sont un passeport pour l’international, offrant un formidable effet de levier. On a pu remarquer que la médiatisation des normes et standards en général, est plus importante dans les pays émergents que dans les pays développés. Les référentiels MSI et ISO ne font pas exception.
En quelques mots, qu’est-ce que l’Institut de la Bourse ?
L’Institut de la Bourse est leader en Europe, dans les activités suivantes :
- Conférences et séminaires (500 à travers le monde)
- Formation et initiations des particuliers aux marchés financiers internationaux (30000 membres)
- Formations professionnelles (5000 Traders)
- Publications d’ouvrages spécialisés (trading, bourse, analyse financière)
- Enseignement et consulting en analyses financières
- Fédère les bourses internationales, les banques d’affaires et les plus grands noms de la finance de marché moderne.
Contrairement au rating qui existe depuis plus de 150 ans ; à l’origine, les 3 plus célèbres agences américaines Standard&Poor’s, Fitch et Moodys ; les certifications dans leur globalité, reste relativement récente (on parle d’une trentaine d’année). Ceci est d’autant plus vrai pour les certifications financières, qui voient définitivement le jour après la crise des subprimes.
Concernant l’analyse et l’évaluation établie autour de la certification MSI 20000 ; elle est en soit très proche de celle utilisée lors d’un rating. Les éléments et critères repris dans le cahier des charges du standard MSI 20000 sont pour la plupart identiques à ceux utilisés lors d’un rating.
2 principes diffèrent réellement d’un rating classique :
-D’abord, les procédures d’audit conduisant à la certification.
En effet, la méthodologie imputer à l’audit conduisant au standard MSI est construite sur les fondamentaux d’une norme ISO ou SA.
-Ensuite, l’outil d’appréciation in-fine.
En effet, un audit de rating conduit à l’attribution d’une note pouvant aller en générale de AAA à DDD, alors qu’un audit de certification conduit à l’attribution symbolique d’un certificat officiel de conformité. Les supports communiqués, ne sont donc pas les mêmes, et bien que ces diagnostics financiers sont généralement employés en B to B, une certification est davantage assimilable pour l’opinion public qu’une note qui reste technique. Ce qui en fait une information financière accessible à tous, apprécier par tous et considérer dans ce sens.
Pour résumé, dans la forme, la certification diffère du rating, mais dans le fond l’étude autour de l’audit et l’analyse issu de l’audit, sont relativement semblables.
Nous avons tendance à éviter de placer les certifications financières en antagonisme ou en opposition au rating, ou les présenter comme une éventuelle alternative, mais plutôt comme 2 outils complémentaires.
Les informations collectées et traitées pour la construction des ratios de sélection pour la certification : Sont-elles efficientes ? Font-elles l’objet d’un système de vérification ?
Les critères utilisés sont issus de ratios et de modèles financiers fiables et concrets. Il s’agit des critères les plus couramment utilisés, des indicateurs reconnus, ayant fait leur preuve à travers le temps, qu’il s’agisse d’indicateurs fondamentaux ou spécifiques. A l’évidence tout travaux, aussi rationnel et cartésien soit-il, même bâti sur une science exacte, a ses limites. Le travail d’un certificateur fait l’objet d’un système de vérification en continu selon la norme ISO 17021. Des procédures et une méthodologie qui maximise la fiabilité des rapports et de comptes rendus.
Concrètement et en quelques mots que signifie être certifié MSI 20000 pour une société ?
En une phrase, être certifié MSI 20000 est synonyme de solidité et de performance financière à un moment donné et sur la base dans états financiers (certifiés par les commissaires aux comptes) des 3 ou 5 dernières années (variable selon le secteur d’activité).
Quels sont le profil des sociétés certifiables ?
En théorie toute société, tout secteur d’activité confondu, répondant rigoureusement aux exigences du cahier des charge du référentiel et sans non-conformité majeure, peut se prévaloir du standard MSI 20000.
Privilégiez-vous des sociétés en particulier ?
Nous avons tendance à privilégier en priorité les sociétés cotées en bourse, pour la raison évidente que ce profil de société trouve un intérêt majeur et immédiat lors d’une certification. Ce type de société est en relation continue avec les acteurs et opérateurs de marché, la corrélation est directe.
A quoi sert cette certification pour une société certifiée ?
Cette certification sert de manière directe et indirecte à rapporter de l’argent aux sociétés certifiées.
Elle concerne tous les acteurs de la finance (actionnaires, investisseurs, intermédiaires, créanciers, banques d’affaire, fonds). Le principe est de valoriser l’activité financière d’une structure, à travers un certificat de conformité reconnu, délivrer par un organisme de certification indépendant et agrémenté.
Qui a crée ce standard ?
L’idée de créer ce référentiel est née d’une élite d’acteurs de la finance de marché moderne et internationale, trader, broker et courtier en bourse issus des marchés anglo-saxons et exerçant au sein des plus grandes institutions et établissements financiers.
Quand ?
Il y a une dizaine d’année, dans les années 2000, après le cas ENRON et suite à la frilosité récurrente et inexpliquée des marchés financiers. La crise des subprimes viendra définitivement légitimer ces certifications.
Pourquoi ce référentiel ?
A l’origine l’objectif était de rassurer les intervenants directs de marchés (actionnaires et investisseurs) en singularisant les valeurs les plus sur selon 2 critères : la solidité et la performance financière.
A quoi sert-il ? Quel est concrètement son utilité ?
Il sert de repère, de référence. Il constitue clairement un outil d’aide à la décision et un argument fort dans ce sens.
Quel est l’implication de l’Institut de la Bourse de Paris dans cette norme ?
L’Institut a tout de suite compris après la crise des subprimes, l’importance des certifications financières, suite à l’effondrement continu des actions par effet « boule de neige » et effet « moutonnier » ; l’importante d’un standard de qualité, objectif et fiable, venant rassurer le marché en appuyant et donnant de la contenance aux meilleurs titres des différentes places financières, devenait primordiale.
En quoi a consisté l’action de l’Institut de la Bourse de Paris dans ce projet ?
A l’origine de ce projet : des institutions anglo-saxonnes issues essentiellement de place financières américaines. L’Institut a relayé leur activité en Europe, en important ce projet et en le mettant à la disposition des institutions financières européennes. L’implication de l’Institut dans ce projet fut totale puisque au-delà d’accompagner les activités outre-Atlantique, l’Institut travail activement sur ce chantier en développant une cellule d’analyse financière au sein même de l’Institut, regroupant les compétences requises à la collecte et l’harmonisation des données issues des places européennes, pour l’élaboration continue du cahier des charges.
Qu’entendez-vous par « élaboration continue » du cahier des charges ?
MSI 2000 est un projet collectif établit sur des règles de fonctionnement simples. Tout financier peut y apporter sa touche, en joignant un critère, propre à un indicateur, un ratio ou un modèle. Le cahier des charges est modelable à l’infini à condition qu’il soit in-fine approuvé par une commission régissant le standard. Ce comité composé de professionnels du secteur financier, d’entreprise et de marché, se réunit une fois par an.
L’objectif est d’offrir dans l’absolu, un contenu fiable et concret, construit sur des repères objectifs, reconnu de tous et actualisé en continu.
Comment expliquez-vous ce retard dans les « Certifications Financières » ?
Ce retard, je ne l’explique pas ; ce que je sais c’est que les certifications financières sont longtemps restées tabou. Ce que nous savons aussi c’est qu’il existe des certifications de conformité dans tous les domaines et cela sans quasi exception. De nos jours tout devient réglementer, qu’il s’agisse de norme ou de standard sur des produits ou sur des services.
A titre d’exemple, la norme qui concerne la qualité du « Management » d’une structure est le standard ISO 9001, il a été crée il y a plus de 20 ans. Entre temps, jusqu’aux années 2000 aucun référentiel n’est venu réglementer la qualité de l’activité « Financière » d’une structure. Le standard MSI 20000 a pris de nombreuses appellations et est longtemps resté en veille, avant de récemment refaire surface.
Quelle reconnaissance ce référentiel a-t-il ?
Le standard MSI 20000 est reconnu des professionnels du secteur financier, qu’il s’agisse de finance d’entreprise ou de marché. Les institutions financières internationales ont eu connaissance du système « Market Standard Indicator » et de son cahier des charges évolutif depuis 2000, et beaucoup d’entre elles y ont participé.
Que vaut-il ?
Ce référentiel est construit sur les mêmes fondamentaux d’une norme. C’est précisément sur la base de la dernière version de la norme ISO 9001, et à l’identique de ce standard que c’est édifié le cahier des charges, suivi des procédures.
Pourquoi n’étendons-nous pas, tant que ca, parler des certifications financières ?
Les certifications liées à l’activité financière, sont restées longtemps tabou.
Il a fallu la crise des subprimes pour les remettre d’actualité.
De plus, à l’image des autres référentiels, norme ISO, SA, OHSAS ou encore HACCP, les certifications financières restent relativement récentes. On parle respectivement d’une trentaine et vingtaine d’année pour les uns et à peine une dizaine pour le plus connu des référentiels financiers, le standard MSI 20000.
Comment expliquer cet engouement ?
Face à un environnement fort concurrentiel et une mondialisation accrue, les meilleures structures, dont l’activité financière est bonne, saine, solide et performante, veulent faire valoir ces atouts majeurs.
Les certifications ont précisément cette vocation. Elles sont un outil incontournable au développement, procure un avantage concurrentiel indéniable et sont un passeport pour l’international, offrant un formidable effet de levier. On a pu remarquer que la médiatisation des normes et standards en général, est plus importante dans les pays émergents que dans les pays développés. Les référentiels MSI et ISO ne font pas exception.
En quelques mots, qu’est-ce que l’Institut de la Bourse ?
L’Institut de la Bourse est leader en Europe, dans les activités suivantes :
- Conférences et séminaires (500 à travers le monde)
- Formation et initiations des particuliers aux marchés financiers internationaux (30000 membres)
- Formations professionnelles (5000 Traders)
- Publications d’ouvrages spécialisés (trading, bourse, analyse financière)
- Enseignement et consulting en analyses financières
- Fédère les bourses internationales, les banques d’affaires et les plus grands noms de la finance de marché moderne.
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