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Tesla a révélé qu'elle a généré un chiffre d'affaires et un bénéfice record au troisième trimestre. Le chiffre d'affaires a augmenté de 56 % par rapport à l'année dernière pour atteindre 21,5 milliards de dollars et le bénéfice d'exploitation a grimpé de 90 % pour s'établir à 4,96 milliards de dollars. Le flux de trésorerie disponible a plus que doublé par rapport à l'année dernière et a été multiplié par cinq par rapport au trimestre précédent pour atteindre 3,3 milliards de dollars.
Mais les marchés n'ont pas accueilli favorablement les résultats, si bien que les actions de Tesla ont chuté de plus de 6 % en heures prolongées aujourd'hui.
Cela s'explique en partie par le fait que le chiffre d'affaires n'a pas atteint les 22,2 milliards de dollars prévus par Wall Street, tandis que sa marge brute a également baissé et a surpris les analystes, mais d'autres préoccupations pèsent sur le sentiment. Jetons un coup d'œil à ce qui se passe.
Tesla a livré un nombre record de 343 830 véhicules au troisième trimestre, mais ce chiffre est loin des 359 162 prévus par Wall Street, qui avaient déjà été abaissés par rapport aux estimations plus optimistes du début de l'année.
Tesla devrait annoncer une autre série de chiffres de livraison record au quatrième trimestre, le PDG Elon Musk prévoyant une "fin d'année épique". Cependant, nous avons déjà vu les estimations de Wall Street tomber à 433 819 contre plus de 436 000 avant la publication des résultats, selon les chiffres du consensus de Bloomberg.
Tesla est en passe de livrer 1,34 million de voitures sur l'ensemble de l'année si elle répond aux attentes au quatrième trimestre. Cela représenterait une hausse de 45 % par rapport à 2021, mais ne correspond pas à l'ambition de Tesla d'augmenter ses livraisons annuelles d'environ 50 %.
L'entreprise pourrait également avoir du mal à atteindre cet objectif l'année prochaine. Pour l'instant, Wall Street pense que Tesla peut livrer 1,99 million de voitures en 2023 - ce qui serait juste un peu moins que l'objectif de 50 % (en supposant qu'elle réponde aux attentes en 2022) - mais nous avons déjà vu certains courtiers réduire leurs attentes à la suite du récent échec. Morgan Stanley a ajusté ses estimations pour 2023 avant la publication des résultats et a déclaré qu'elle s'attendait à ce que la production soit plus proche de 1,8 million de véhicules. À ce rythme, la production n'augmenterait que de 33 % l'année prochaine.
En raison des problèmes de livraison de ses voitures aux clients, Tesla a produit plus de 22 000 voitures de plus qu'elle n'en a livré au troisième trimestre. Il est compréhensible que certains s'en inquiètent lorsque l'on compare ce chiffre aux trimestres précédents :
Musk a déclaré que son entreprise s'efforçait de lisser les livraisons de chaque trimestre en localisant la production et en réduisant les coûts d'expédition afin d'éviter la ruée habituelle de fin de trimestre. La société a "commencé à passer à un rythme de livraison plus régulier" et a déclaré que cela devrait également réduire le coût par véhicule.
Nous restons concentrés sur l'augmentation de la production de véhicules aussi rapidement que possible, en augmentant notre taux de construction hebdomadaire à Fremont et Shanghai et en progressant régulièrement sur les rampes de production à Berlin et au Texas", a déclaré Tesla.
Ses usines de Fremont et de Shanghai produisent actuellement un nombre record de véhicules, la seconde ayant bénéficié d'une récente mise à niveau qui a doublé la capacité annuelle de l'usine. L'entreprise augmente également sa production depuis l'ouverture d'une nouvelle usine à Berlin, en Allemagne, en mars dernier, qui constitue son premier site en Europe, et qui a été rapidement suivie par l'ouverture d'une autre usine à Austin, au Texas, en avril.
Musk a déclaré qu'il y avait une "excellente demande" pour le quatrième trimestre et que Tesla s'attendait à "vendre toutes les voitures que nous fabriquons aussi loin dans le futur que nous pouvons voir". Il s'agit d'un message important à l'heure où les inquiétudes concernant la demande commencent à se faire jour, notamment lorsque les marchés se préparent à une éventuelle récession l'année prochaine. Musk a déclaré que Tesla n'était pas "à l'épreuve de la récession" mais qu'elle était "certainement résistante à la récession". Notamment, Tesla a révélé hier que les dépôts des clients ont diminué séquentiellement pour la première fois en six trimestres.
Wells Fargo a déclaré avant les derniers résultats que l'écart de livraison au troisième trimestre mettait en évidence les préoccupations croissantes concernant la demande sous-jacente, en particulier en Chine. En septembre, les ventes de véhicules électriques en Chine ont progressé à leur rythme le plus lent en cinq mois. La China Passenger Car Association a averti que la "tendance à la reprise est bien inférieure à nos attentes" et que "le marché est globalement relativement faible". Selon M. Musk, la Chine connaît une "sorte de récession" en raison des turbulences du marché immobilier.
La concurrence s'intensifie également sur le marché intérieur entre les start-ups et les constructeurs automobiles traditionnels, ce qui devrait mettre à l'épreuve la position de leader de Tesla au cours des prochaines années. Tesla reste l'acteur dominant et détenait environ deux tiers du marché américain des véhicules électriques au deuxième trimestre de 2022, mais cette avance s'est réduite ces dernières années, puisqu'elle était d'environ 86 % à son apogée en 2018. Tesla dispose néanmoins d'un avantage significatif sur ses rivaux, puisqu'il affiche une marge d'exploitation proche de 18 %. D'autres start-ups de véhicules électriques sont déficitaires, tandis que les constructeurs automobiles traditionnels comme Ford et General Motors ont des marges beaucoup plus faibles, de l'ordre de 4 à 6 % seulement. La loi sur la réduction de l'inflation (Inflation Reduction Act), qui devrait rendre plus difficile l'entrée sur le marché américain de concurrents étrangers, tels que ceux de la Chine, pourrait constituer une bonne nouvelle pour Tesla et les autres constructeurs américains.
Pendant ce temps, le très attendu Cybertruck qui a été retardé à plusieurs reprises est toujours en bonne voie pour entrer en production au milieu de l'année 2023.
Tesla a confirmé qu'elle prévoyait de racheter des actions pour une valeur de 5 à 10 milliards de dollars, bien que cela doive d'abord être approuvé par le conseil d'administration et les investisseurs. Tesla disposait de plus de 21 milliards de dollars de liquidités à la fin du mois de septembre, après avoir généré de solides flux de trésorerie au cours du dernier trimestre.
Tesla a enregistré des revenus et des bénéfices records et une amélioration significative de ses flux de trésorerie. Mais en fin de compte, les marchés craignent que Tesla ait du mal à croître aussi vite qu'elle l'a promis et que l'objectif de croissance de 50 % soit menacé.
De plus, alors que Tesla se targue toujours d'une rentabilité supérieure, les marges sont mises sous pression par la force du dollar, l'inflation et d'autres vents contraires, ce qui incite certains à penser qu'elle sera également moins rentable à court terme que prévu. Sa marge brute dans le secteur automobile a chuté à 25,1 % au troisième trimestre, contre 26,6 % l'année précédente, ce qui constitue une déception, car Wall Street espérait qu'elle resterait stable grâce à la hausse des prix.
Les problèmes d'approvisionnement constituent le principal problème à l'heure actuelle, car c'est ce qui freine les livraisons de Tesla, mais les craintes de récession aux États-Unis, en Chine et ailleurs suscitent des inquiétudes, alors que l'attention commence à se tourner vers 2023.
On s'attend désormais à ce que la croissance soit plus lente que prévu et à ce que les marges soient plus serrées que prévu, deux facteurs qui nuisent aux perspectives de Tesla et donc à sa valeur. Tesla a un gros travail à faire pour livrer autant de véhicules que possible au cours du trimestre actuel en aplanissant les problèmes de sa chaîne d'approvisionnement, et doit donner un ton positif pour l'année prochaine.
Les investisseurs espèrent que 208 dollars pourront devenir un niveau de soutien, comme ce fut le cas en juin et juillet 2021, puis en mai 2022. Dans le cas contraire, l'action risque de retomber vers le plus bas de 16 mois de 204 $ que nous avons vu la semaine dernière. Tesla pourrait glisser vers 198 $ si elle tombe en dessous de ce niveau.
À la hausse, 224 $ est le premier objectif de hausse pour Tesla avant que 234 $, un niveau de soutien à plusieurs reprises au cours des six mois précédant juillet de cette année, ne revienne en vue avant d'envisager une reprise au-dessus de la barre des 250 $.
Sur le graphique hebdomadaire, on peut voir que l'action Tesla a formé une série de hauts et de bas inférieurs au cours de l'année dernière. Le plus bas de 16 mois à 204 $ doit être maintenu pour éviter de créer un nouveau plus bas et de casser la tendance baissière.
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Mais les marchés n'ont pas accueilli favorablement les résultats, si bien que les actions de Tesla ont chuté de plus de 6 % en heures prolongées aujourd'hui.
Cela s'explique en partie par le fait que le chiffre d'affaires n'a pas atteint les 22,2 milliards de dollars prévus par Wall Street, tandis que sa marge brute a également baissé et a surpris les analystes, mais d'autres préoccupations pèsent sur le sentiment. Jetons un coup d'œil à ce qui se passe.
Tesla : L'objectif de croissance de 50 % des livraisons est-il en danger ?
Bien que Tesla augmente à nouveau sa production et ses livraisons à un rythme rapide après s'être remis des problèmes de chaîne d'approvisionnement et de la perturbation de Covid-19 en Chine qui ont plombé la production au premier semestre, elle ne monte finalement pas en puissance aussi vite que les marchés l'espéraient.Tesla a livré un nombre record de 343 830 véhicules au troisième trimestre, mais ce chiffre est loin des 359 162 prévus par Wall Street, qui avaient déjà été abaissés par rapport aux estimations plus optimistes du début de l'année.
Tesla devrait annoncer une autre série de chiffres de livraison record au quatrième trimestre, le PDG Elon Musk prévoyant une "fin d'année épique". Cependant, nous avons déjà vu les estimations de Wall Street tomber à 433 819 contre plus de 436 000 avant la publication des résultats, selon les chiffres du consensus de Bloomberg.
Tesla est en passe de livrer 1,34 million de voitures sur l'ensemble de l'année si elle répond aux attentes au quatrième trimestre. Cela représenterait une hausse de 45 % par rapport à 2021, mais ne correspond pas à l'ambition de Tesla d'augmenter ses livraisons annuelles d'environ 50 %.
L'entreprise pourrait également avoir du mal à atteindre cet objectif l'année prochaine. Pour l'instant, Wall Street pense que Tesla peut livrer 1,99 million de voitures en 2023 - ce qui serait juste un peu moins que l'objectif de 50 % (en supposant qu'elle réponde aux attentes en 2022) - mais nous avons déjà vu certains courtiers réduire leurs attentes à la suite du récent échec. Morgan Stanley a ajusté ses estimations pour 2023 avant la publication des résultats et a déclaré qu'elle s'attendait à ce que la production soit plus proche de 1,8 million de véhicules. À ce rythme, la production n'augmenterait que de 33 % l'année prochaine.
Tesla : Y a-t-il un problème d'offre ou de demande ?
Tesla a imputé les récents retards de livraison à des problèmes logistiques et a souligné qu'il ne s'agissait pas d'un problème interne lié à l'accélération de la production ni, surtout, d'un signe de fléchissement de la demande. L'acheminement des voitures aux clients s'avère plus difficile et plus coûteux, d'autant plus que Tesla est généralement pressé d'atteindre ses objectifs de livraison à la fin de chaque trimestre. Essayer d'expédier autant de véhicules vers la fin de chaque période fait grimper les coûts de transport et la capacité de test.En raison des problèmes de livraison de ses voitures aux clients, Tesla a produit plus de 22 000 voitures de plus qu'elle n'en a livré au troisième trimestre. Il est compréhensible que certains s'en inquiètent lorsque l'on compare ce chiffre aux trimestres précédents :
Musk a déclaré que son entreprise s'efforçait de lisser les livraisons de chaque trimestre en localisant la production et en réduisant les coûts d'expédition afin d'éviter la ruée habituelle de fin de trimestre. La société a "commencé à passer à un rythme de livraison plus régulier" et a déclaré que cela devrait également réduire le coût par véhicule.
Nous restons concentrés sur l'augmentation de la production de véhicules aussi rapidement que possible, en augmentant notre taux de construction hebdomadaire à Fremont et Shanghai et en progressant régulièrement sur les rampes de production à Berlin et au Texas", a déclaré Tesla.
Ses usines de Fremont et de Shanghai produisent actuellement un nombre record de véhicules, la seconde ayant bénéficié d'une récente mise à niveau qui a doublé la capacité annuelle de l'usine. L'entreprise augmente également sa production depuis l'ouverture d'une nouvelle usine à Berlin, en Allemagne, en mars dernier, qui constitue son premier site en Europe, et qui a été rapidement suivie par l'ouverture d'une autre usine à Austin, au Texas, en avril.
Musk a déclaré qu'il y avait une "excellente demande" pour le quatrième trimestre et que Tesla s'attendait à "vendre toutes les voitures que nous fabriquons aussi loin dans le futur que nous pouvons voir". Il s'agit d'un message important à l'heure où les inquiétudes concernant la demande commencent à se faire jour, notamment lorsque les marchés se préparent à une éventuelle récession l'année prochaine. Musk a déclaré que Tesla n'était pas "à l'épreuve de la récession" mais qu'elle était "certainement résistante à la récession". Notamment, Tesla a révélé hier que les dépôts des clients ont diminué séquentiellement pour la première fois en six trimestres.
Wells Fargo a déclaré avant les derniers résultats que l'écart de livraison au troisième trimestre mettait en évidence les préoccupations croissantes concernant la demande sous-jacente, en particulier en Chine. En septembre, les ventes de véhicules électriques en Chine ont progressé à leur rythme le plus lent en cinq mois. La China Passenger Car Association a averti que la "tendance à la reprise est bien inférieure à nos attentes" et que "le marché est globalement relativement faible". Selon M. Musk, la Chine connaît une "sorte de récession" en raison des turbulences du marché immobilier.
La concurrence s'intensifie également sur le marché intérieur entre les start-ups et les constructeurs automobiles traditionnels, ce qui devrait mettre à l'épreuve la position de leader de Tesla au cours des prochaines années. Tesla reste l'acteur dominant et détenait environ deux tiers du marché américain des véhicules électriques au deuxième trimestre de 2022, mais cette avance s'est réduite ces dernières années, puisqu'elle était d'environ 86 % à son apogée en 2018. Tesla dispose néanmoins d'un avantage significatif sur ses rivaux, puisqu'il affiche une marge d'exploitation proche de 18 %. D'autres start-ups de véhicules électriques sont déficitaires, tandis que les constructeurs automobiles traditionnels comme Ford et General Motors ont des marges beaucoup plus faibles, de l'ordre de 4 à 6 % seulement. La loi sur la réduction de l'inflation (Inflation Reduction Act), qui devrait rendre plus difficile l'entrée sur le marché américain de concurrents étrangers, tels que ceux de la Chine, pourrait constituer une bonne nouvelle pour Tesla et les autres constructeurs américains.
Qu'en est-il du Semi Truck et du Cybertruck ?
Tesla a deux nouveaux modèles en préparation, dont le premier est le camion Semi qui sera sur les routes avant la fin de l'année, après avoir livré ses premiers exemplaires au géant des boissons PepsiCo en décembre. Tesla espère en avoir 50 000 sur les routes d'Amérique du Nord d'ici 2024.Pendant ce temps, le très attendu Cybertruck qui a été retardé à plusieurs reprises est toujours en bonne voie pour entrer en production au milieu de l'année 2023.
Rachat d'actions par Tesla : Va-t-elle racheter des actions ?
Les actions de Tesla ont chuté de plus de 44 % depuis le début de l'année et, dans ce contexte, de nombreux investisseurs individuels ont posé des questions avant la conférence téléphonique pour savoir si l'entreprise allait en profiter pour racheter des actions dans le contexte actuel. Bon nombre des plus grandes entreprises, telles qu'Apple et Microsoft, utilisent leur importante masse de liquidités pour racheter des actions, ce qui est plus avantageux lorsque les prix sont déprimés car cela permet de soutenir le cours de l'action et d'augmenter artificiellement les résultats par action.Tesla a confirmé qu'elle prévoyait de racheter des actions pour une valeur de 5 à 10 milliards de dollars, bien que cela doive d'abord être approuvé par le conseil d'administration et les investisseurs. Tesla disposait de plus de 21 milliards de dollars de liquidités à la fin du mois de septembre, après avoir généré de solides flux de trésorerie au cours du dernier trimestre.
Que signifie tout cela pour l'action Tesla ?
Tesla a enregistré des revenus et des bénéfices records et une amélioration significative de ses flux de trésorerie. Mais en fin de compte, les marchés craignent que Tesla ait du mal à croître aussi vite qu'elle l'a promis et que l'objectif de croissance de 50 % soit menacé.De plus, alors que Tesla se targue toujours d'une rentabilité supérieure, les marges sont mises sous pression par la force du dollar, l'inflation et d'autres vents contraires, ce qui incite certains à penser qu'elle sera également moins rentable à court terme que prévu. Sa marge brute dans le secteur automobile a chuté à 25,1 % au troisième trimestre, contre 26,6 % l'année précédente, ce qui constitue une déception, car Wall Street espérait qu'elle resterait stable grâce à la hausse des prix.
Les problèmes d'approvisionnement constituent le principal problème à l'heure actuelle, car c'est ce qui freine les livraisons de Tesla, mais les craintes de récession aux États-Unis, en Chine et ailleurs suscitent des inquiétudes, alors que l'attention commence à se tourner vers 2023.
On s'attend désormais à ce que la croissance soit plus lente que prévu et à ce que les marges soient plus serrées que prévu, deux facteurs qui nuisent aux perspectives de Tesla et donc à sa valeur. Tesla a un gros travail à faire pour livrer autant de véhicules que possible au cours du trimestre actuel en aplanissant les problèmes de sa chaîne d'approvisionnement, et doit donner un ton positif pour l'année prochaine.
Quelle est la prochaine étape pour l'action TSLA ?
L'action Tesla est en baisse de plus de 6 % dans les échanges de prémarchés aujourd'hui, à 208,53 $, après avoir publié ses résultats tard hier soir.Les investisseurs espèrent que 208 dollars pourront devenir un niveau de soutien, comme ce fut le cas en juin et juillet 2021, puis en mai 2022. Dans le cas contraire, l'action risque de retomber vers le plus bas de 16 mois de 204 $ que nous avons vu la semaine dernière. Tesla pourrait glisser vers 198 $ si elle tombe en dessous de ce niveau.
À la hausse, 224 $ est le premier objectif de hausse pour Tesla avant que 234 $, un niveau de soutien à plusieurs reprises au cours des six mois précédant juillet de cette année, ne revienne en vue avant d'envisager une reprise au-dessus de la barre des 250 $.
Sur le graphique hebdomadaire, on peut voir que l'action Tesla a formé une série de hauts et de bas inférieurs au cours de l'année dernière. Le plus bas de 16 mois à 204 $ doit être maintenu pour éviter de créer un nouveau plus bas et de casser la tendance baissière.
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