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  • Grèce : la victoire à la Pyrrhus de Wolfgang Schäuble

    les allemands ont aussi étudié le grec

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    • Y'a un truc que vous perdez de vue dans vos fort justes analyses, c'est le fait qu'il n'y a aucun lien direct entre le défaut de paiement de la Grèce (à un créancier "public" ou privé) et sa sortie de l'Euro.
      Moralité, à mon sens la Grèce va faire défaut sur une partie de sa dette, et en plus ne sortira pas de l'Euro.
      Le beurre, l'argent du beurre, le sourire de la crémière, et un grand verre d’Ouzo pour faire passer tout ça !

      War is Peace - Freedom is Slavery - Ignorance is Strength - Debt is Wealth

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      • Toujours aussi clair le Mosco ...

        Pierre Moscovici ‏@pierremoscovici 29 min
        To those who wonder what's next, 1. #Greece should stay in euro;2.The door is still open for negotiations on latest @EU_Commission proposals
        " Le plus grand dérèglement de l'esprit consiste à voir les choses telles qu'on le veut et non pas telles qu'elles sont " - Bossuet
        ----
        trade what you see, not what you think, motherfucker !
        ----
        “C’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont raison.” - Coluche

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          Et voilà ....

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          • Dimanche 28 juin 2015, 16h31
            La BCE a accordé dimanche un sursis à Athènes en maintenant le financement des banques grecques, mais le spectre du défaut de paiement n'était pas écarté, et le pays s'apprêtait à vivre une situation d'urgence avec sans doute un contrôle des capitaux.
            A l'issue d'une réunion d'urgence de son conseil des gouverneurs, la Banque centrale européenne (BCE) a indiqué dans un communiqué que "au vu des circonstances actuelles", elle maintenait "le plafond de fourniture de liquidités d'urgence aux banques grecques au niveau décidé vendredi".
            Les banquiers centraux ont ainsi pris au dépourvu les nombreux commentateurs qui s'attendaient à ce que la BCE coupe dès dimanche le robinet des prêts d'urgence ELA, seule source de financement des banques grecques et de toute l'économie du pays, au lendemain de l'échec retentissant des négociations entre la Grèce et ses créanciers (BCE, FMI, Commission européenne). Depuis cinq mois ils discutaient d'un renflouement du pays en échange de réformes et de coupes budgétaires.
            Le montant maximal des prêts ELA avoisine actuellement les 90 milliards d'euros.
            Selon la presse la BCE, qui se tient "prête à reconsidérer" sa décision à tout moment, n'aurait consenti à maintenir les financements ELA qu'en échange de la promesse d'Athènes de mettre en place lundi un contrôle des capitaux.
            - Liquide pour les touristes -
            Le ministre grec des Finances Yanis Varoufakis a refusé de se prononcer sur ce point dimanche, dans un entretien à la BBC.

            Le Premier ministre grec Alexis Tsipras au Parlement grec à Athènes, le 28 juin 2015 (Photo Angelos Tzortzinis/afp.com)
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            Le conseil grec de stabilité systémique se réunit à Athènes en fin de journée, et pourrait décider un tel contrôle, pour éviter l'hémorragie des liquidités grecques. Cela signifierait aussi que les banques resteraient fermées en Grèce lundi.
            Autrement, le filet de sécurité déployé par la BCE ne suffirait pas à prévenir un mouvement de panique lundi, alors que déjà tout au long du weekend, les files s'allongeaient devant les distributeurs et que les Grecs s'interrogeaient sur leur avenir au sein de la zone euro.
            "Tout le monde est très triste, très énervé et déprimé", a confié Anna Apostolopoulos, 42 ans, attablée à un café à Glyfada, une station balnéaire à une demi-heure d'Athènes.
            Plusieurs capitales européennes dont Berlin ont recommandé aux touristes en partance pour la Grèce de se munir d'argent liquide.

            Le président de l'Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem à Bruxelles le 27 juin 2015 (Photo JOHN THYS/afp.com)
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            Le gouverneur de la Banque de Grèce Yanis Stournaras a assuré que son institution allait "prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la stabilité financière des citoyens grecs dans ces circonstances difficiles", dans le communiqué diffusé par la BCE.
            Du côté des banquiers centraux, l'urgence est de prévenir l'effondrement du système bancaire grec et la contagion au reste de l'Europe. De fortes turbulences sont aussi à prévoir sur les marchés.
            "Si vous me demandez si (les marchés) sont prêts à ce qui est en train de se passer en Grèce, je vous réponds que non: ils ne prévoient, dans leurs évaluations, aucun risque", a déclaré dans un entretien à La Stampa publié dimanche l'économiste de l'OCDE Catherine Mann.
            - référendum sans objet -
            L'annonce vendredi soir par le Premier ministre grec Alexis Tsipras de soumettre à ses compatriotes par référendum la proposition d'accord mise sur la table par les créanciers la veille - qui exigeait des réformes qu'il juge inacceptables - a entraîné la cascade d'événements du weekend. Le Parlement grec s'est prononcé samedi soir en faveur de la tenue du référendum le 5 juillet.
            Mais "d'un point de vue juridique, le référendum portera sur des propositions et des arrangements qui ne sont plus valides", a souligné la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde dans une interview télévisée dans la nuit de samedi à dimanche.
            Certains entretenaient l'espoir de trouver un dénouement d'ici mardi, date d'expiration du programme actuel et d'une échéance de remboursement de 1,5 milliard d'euros de la Grèce au FMI. Le Premier ministre français Manuel Valls a exhorté les Grecs à "revenir à la table des négociations" et appelé à "tout faire" pour que le pays reste dans l'euro.
            Interviewé dans le tabloïd allemand Bild, M. Varoufakis a jugé que la chancelière Angela Merkel détenait "la clé" pour dénouer la crise.
            "Les chefs de gouvernement de l'Union européenne doivent agir. Et parmi eux (Mme Merkel) détient en tant que représentante du pays le plus important la clé, j'espère qu'elle va l'utiliser", a déclaré le ministre grec, ajoutant que son gouvernement était "ouvert à de nouvelles propositions des institutions"
            La fusée transportant la capsule de SpaceX a explosé après son lancement Attentat en Isère: le suspect avoue l'assassinat et est transféré à Paris

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            • A propos des vacances en Grèce :

              Berlin et Amsterdam conseillent à leurs ressortissants de « prévoir suffisamment d?argent liquide » en Grèce

              Vu ce qui se passe, les entreprises du tourisme ayant une forte activité en Tunisie et en Grèce sont des shorts potentiels.

              Si vous comptez passer vos vacances en Europe continentale par contre, faîtes vos réservations au plus vite.
              " Le plus grand dérèglement de l'esprit consiste à voir les choses telles qu'on le veut et non pas telles qu'elles sont " - Bossuet
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              • Si !
                Chez AlphaBank, c'est même désormais plafonné à €0

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                Envoyé par netjoker
                la sortie du cash n'est pas plafonné en Grèce aux distributeurs... comme en France ?
                War is Peace - Freedom is Slavery - Ignorance is Strength - Debt is Wealth

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                • a priori ils devraient annoncer des retraits plafonnés à 85 euros (à confirmer)

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                  • Four years ago

                    Envoyé par MadMan Voir le message
                    Y'a un truc que vous perdez de vue dans vos fort justes analyses, c'est le fait qu'il n'y a aucun lien direct entre le défaut de paiement de la Grèce (à un créancier "public" ou privé) et sa sortie de l'Euro.
                    Moralité, à mon sens la Grèce va faire défaut sur une partie de sa dette, et en plus ne sortira pas de l'Euro.
                    Le beurre, l'argent du beurre, le sourire de la crémière, et un grand verre d’Ouzo pour faire passer tout ça !


                    Greek default does NOT equal Greek exit | Yanis Varoufakis

                    Ne travaillez Jamais, ne travailler Jamais, never work,arbeiten Sie nie

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                    • bonsoir je ne sais pas grand chose de ce qu'il peut advenir demain

                      mais d'expérience je pense que demain je vais avoir un problème de contrepartie jusqu'à 10H 10H3

                      pas impossible qu'une panne opportune d'EURONEXT n'empêche les cotations

                      par contre la semaine sera volatile

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                      • Attention, demain c'est potentiellement une journée casino.

                        Les joueurs, faites comme d'habitude. ...n'importe quoi j'achète, je vends etc....
                        Les traders, activez la troisième position en trading.....ne pas prendre position si cela tangue dans tout les sens.
                        Plan the trade and trade the plan.

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                        • Bonsoir

                          La volatilité gagne même les brokers en France : assurez vos ceintures...Certains jours on est bien heureux d'être très majoritairement cash...certes on ne gagne rien mais la préservation du capital est essentielle en ces périodes

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                          • Envoyé par spadaii Voir le message
                            Attention, demain c'est potentiellement une journée casino.

                            Les joueurs, faites comme d'habitude. ...n'importe quoi j'achète, je vends etc....
                            Les traders, activez la troisième position en trading.....ne pas prendre position si cela tangue dans tout les sens.
                            Ta tirelire est dans ta grotte, non? sur l'étagère de tes analyses de 3 lignes, I presume ...
                            Bon vers 4601 on recause de stability http://forums.univers-bourse.com/sui...tml#post945670
                            Ne travaillez Jamais, ne travailler Jamais, never work,arbeiten Sie nie

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                            • Grèce : Vague de contagion attendue sur les marchés financiers
                              Aujourd'hui à 20:03
                              je donne mon avis
                              Marché : Grèce: vague de contagion attendue sur les marchés financiers

                              par Jemima Kelly

                              LONDRES (Reuters) - Les marchés financiers européens se préparent lundi à une vague de contagion du nouveau blocage du dossier grec, les investisseurs allant devoir prendre en compte l'éventualité d'un "Grexit" à laquelle personne ne croyait vraiment avant le coup de théâtre de vendredi.

                              Ce jour-là, le Premier ministre grec Alexis Tsipras a pris tout le monde de court en décidant de soumettre à référendum dimanche prochain, le 5 juillet, les propositions de réformes réclamées par ses créanciers.

                              Piqués au vif par cette décision, les partenaires européens de la Grèce ont refusé, samedi, de prolonger l'actuel programme de renflouement, qui expire mardi, le jour où le pays, à court de liquidités, est censée rembourser 1,6 milliard d'euros au FMI.

                              Même si certains responsables continuent de croire qu'un accord reste possible entre les deux parties, Alexis Tsipras a annoncé dimanche dans la soirée un contrôle des capitaux et une fermeture temporaire des établissements bancaires.

                              La rupture des négociations entre Athènes et ses créanciers a en effet conduit les épargnants à se précipiter sur les distributeurs de billets ce week-end pour retirer leurs avoirs.

                              Une source financière a de son côté déclaré que la Bourse d'Athènes resterait également fermée lundi.

                              La Banque centrale européenne (BCE) a accentué la pression sur les banques grecques en décidant dimanche de ne pas relever le plafond des liquidités d'urgence (ELA) qui leur sont octroyées - actuellement de 89 milliards d'euros - alors que, ces dernières semaines, leur survie a surtout été le fait d'un relèvement régulier de ce plafond.

                              "Si la Grèce doit mettre en place des contrôles de capitaux, cela aura un très gros impact sur les marchés et cela source d'une hausse de la volatilité", a déclaré Ian Stannard, responsable de la stratégie changes pour l'Europe chez Morgan Stanley, avant que le Premier ministre grec n'annonce une telle mesure.

                              La semaine qui vient de s'écouler s'était traduite par une forte hausse des marchés actions dans l'espoir d'un accord entre la Grèce et ses créanciers. En revanche, l'euro avait terminé sur un repli hebdomadaire malgré l'optimisme qui prévalait alors dans ce dossier.

                              LES OBLIGATIONS DES PÉRIPHÉRIQUES RATTRAPÉES PAR LA CRISE

                              La semaine dernière, Goldman Sachs avait dit que l'euro pouvait perdre trois cents face au dollar dans la foulée d'un défaut de paiement de la Grèce. Pour dégringoler, toujours selon le scénario de la banque américaine, encore davantage au cours des semaines suivant ce défaut à mesure que la BCE augmente ses rachats d'actifs pour tenter d'éviter la contagion au reste de la zone euro.

                              Alors que les obligations souveraines des autres pays de la zone euro dits "périphériques" n'ont guère été affectés par la crise grecque depuis le début de l'année, cela pourrait bien changer dès lundi à moins que la BCE ne prenne tout de suit des mesures pour éviter une telle évolution.

                              "Il y a un risque de voir les écarts de rendement des obligations souveraines périphériques atteindre des niveaux critiques", estiment les analystes d'ABN Amro dans une note de recherche.

                              "La BCE doit se tenir prêt à activer son programme OMT (Opérations monétaires sur titre) pour restaurer le calme si nécessaire.

                              Il y a 12 jours, la Cour de justice de l'Union européenne a jugé mardi conforme au droit européen ce programme OMT, qui consiste pour la BCE à racheter de la dette souveraine sur le marché secondaire à condition que le pays concerné en fasse la demande et soit lié par un programme d'assistance financière de l'UE.

                              Plus tôt cette année, Goldman Sachs a déclaré qu'un "Grexit" (une sortie de la Grèce de la zone euro) pourrait se traduire par une multiplication par près de trois de l'écart de rendement, à quelque 400 points de base, entre les obligations souveraines à 10 ans italiennes et espagnoles d'un coté et le papier allemand de même échéance de l'autre.

                              Un tel niveau d'écart resterait cependant inferieur de quelque 200 points de base aux pics atteints au cours de l'hiver 2011-2012.

                              Dans ce contexte, les investisseurs sont susceptibles de se précipiter sur des actifs jugés sûr n'appartenant pas à la zone euro, au premier chef le franc suisse et le dollar américain.

                              Certains pensent qu'il y aura une telle ruée sur ces devises que la Banque nationale suisse (BNS), voire la Réserve fédérale américaine seront amenées à intervenir sur le marché des changes.

                              "Nous pensons qu'il y a une forte probabilité d'une intervention de la Banque nationale suisse", a déclaré Josh O'Byrne, chargé de la stratégie changes chez Citi.

                              Le statut de valeur refuge traditionnelle des Bunds allemands a été sécoué par la forte hausse de leur rendement observée depuis le début de l'année, en raison, entre autres, d'un manque de liquidités et d'une hausse des anticipations d'inflation.

                              "Nous sommes en territoire inconnu et les marchés actions européens, comme tous les marchés, éprouveront des difficultés à absorber tous les nouveaux éléments", a déclaré Nick Lawson, directeur chez Deutsche Bank.

                              "Le marché ne s'était pas préparé à ce que tout ceci se poursuive au cours du week-end et le manque de liquidités qui a affecté aussi bien le marché de la dette souveraine que celui des entreprises, et, plus récemment, le marché actions, va exacerber les choses."

                              (Benoit Van Overstraeten pour le service français)

                              Copyright © 2015 Thomson Reuters

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