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    La "pseudo-confiance" ne reviendra pas... il s'agit de ne pas se prêter de l'argent entre banques..!! Pourquoi..??

    la partie de poker menteur a débutée avant les "subprimes"....rappelez vous :

    la consolidation du secteur bancaire....

    l'organisme de supervision des opérations de bourses.....

    et surtout : les US qui ne veulent pas payer leurs dettes.....

    A l'origine, il y a une partie organisée aux States.... comment ne pas payer la dette, que vont faire les chinois de leurs bons du trésor lorsqu'ils s'apercevront qu'ils ont été floués..???

    Il faut des établissements bancaires renforcés pour ne pas étre achetés....d'où : consolidation nécessaire !

    Option 1 : X lance une OPA sur Y.... les cours montent, ça coûte cher...ça prend du temps, certains s'en mettent un maximum dans les poches et on ne voit pas l'état prendre une minorité de controle lors d'une OPA...donc : NON !!

    Option 2 : Vient l'idée de baisser les cours...vient l'idée des "subprimes"...rapide à mettre en oeuvre...opaque à souhait..!!

    Une liste des "survivants" dressée, tout est prêt pour la grande arnaque...la partie de poker menteur peut démarrer....

    Vous ne trouvez pas bizarre que les banques se soient précipitées sur des actifs pourris...ces gens là ne seraient pas clairvoyants...ceux là même qui créé la monnaie..?? Et pourquoi certaines sont restées quasi non-exposées (GS - JPM - BNP -...) ???

    Arrive l'organisateur de la partie... Paulson, en direct de GS....et qui se fait un petit tour du monde politique, à peine nommé....

    les perdants ont les tiroirs pleins de ces CDS & co.....les gagnants, rien ou presque....juste pour donner le change..!!

    Quand la poussière va retomber, que verra-t-on..???

    Certaines banques auront survécues, ayant absorbées celles qui ne figuraient pas sur la liste des survivantes....les états auront acquis les minorités de blocage dans les banques "gagnantes"...personne ne pourra plus les acheter et donc les contrôler...l'occident restera le maitre du jeux..!! et les CDS & co retrouveront de la valeur....

    Et on voudrait nous faire croire que les banques ne veulent pas se préter de l'argent..??? On nous prend que pour des idiots... vous voyez clairement une banque préter son arme pour se faire descendre par son assassin..???

    Elles savent désormais que la table autour de laquelle elles sont assises est un piège mortel....poker menteur !!!

  • #2
    ET VOILA

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    • #3
      La semaine dernière, les indices ont perdu de 20 à 25% !!
      Une telle accélération baissière marque souvent la fin d'une baisse entamée il y a plus d'un an sur la plupart des indices et il y a juste un an, le 9 octobre 2007, pour le Dow Jones qui avait atteint alors un sommet historique à 14164 en clôture et le 11 octobre un top intraday à 14198, quelle coïncidence !
      De là à penser que tout ça est programmé, il n'y a qu'un pas que nous franchirons d'autant plus facilement que nous pouvons même affirmer que la baisse trouvera son épilogue au cours de cette semaine, après un test des 3000 points du CAC40 et juste avant ou lors du troisième vendredi du mois (clôture des options) !!
      Car ce serait vraiment trop dommage de préserver un si beau seuil ...

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      • #4
        il faudra que la "pseudo-consolidation" ait eu lieu... donc, cette semaine, c'est trop tôt...

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        • #5
          Citation de : MW (au 13-10-2008 12:37:43)

          (...) la baisse trouvera son épilogue au cours de cette semaine, après un test des 3000 points du CAC40 et juste avant ou lors du troisième vendredi du mois (clôture des options) !!
          (...)



          Si si !
          songeons que les élections US ne peuvent avoir lieu dans un climat de Krach (il faut un sauveur à défaut d'un tribun)
          l'option du marché de novembre sera haussière
          et pourquoi pas un rally de fin d'année ? (option de décembre haussière ?)
          je ne me prononce pas pour 2009

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          • #6
            AFP le 13/10/2008 14h32
            USA: l'Etat envisage d'entrer dans une "large gamme" de banques

            Le secrétaire américain au Trésor Henry Paulson à Washington le 10 octobre 2008
            © AFP/Getty Images/Archives Brendan Smialowski
            Le Trésor américain a annoncé lundi qu'il était en train de "mettre sur pied un programme d'achat d'actions dans une large gamme d'institutions financières" dans le cadre de son plan de sauvetage des banques dont les grandes lignes ont été dévoilées à Washington.

            L'"unique but" des autorités avec ce plan est de restaurer le flux de capitaux vers les consommateurs et les entreprises qui forment le coeur de notre économie, a déclaré Neel Kashkari, l'homme chargé par le Trésor de superviser ce plan.

            M. Kashkari a indiqué que sept équipes avaient été créées pour mettre en oeuvre ce plan conçu pour aider "les institutions financières de toutes tailles". Il a indiqué que l'une d'entre elle travaillait sur un programme chargé d'assurer les actifs à problèmes des banques.

            Selon M. Kashkari, le Trésor envisage en outre de recruter deux compagnies d'audit pour contrôler l'application de ce plan, et il travaille avec les régulateurs nationaux et internationaux pour "comprendre" comment être le plus efficace.


            AOF le 14/10/2008 08h58
            Le Trésor américain va investir 250 milliards de dollars dans les banques

            (AOF) - Le Trésor américain s'apprête à investir 250 milliards de dollars dans les banques, selon le «New York Times». Il prévoit également de garantir les prêts interbancaires pour une période de trois ans. Une garantie illimitée de la Federal Deposit Corp pour les comptes qui ne sont pas rémunérés est aussi prévue. D'après le «Wall Street Journal», le gouvernement américain compte acheter des actions préférentielles de Goldman Sachs, Morgan Stanley, Citigroup, Bank of America, Wells Fargo, Bank of New York Mellon, Merrill Lynch et State Street.

            D'autres banques pourraient être concernées par ce plan.

            Le Trésor va acheter pour 25 milliards de dollars de titres Bank of America (y compris Merrill Lynch qu'il vient de racheter), JPMorgan et Citigroup, entre 20 et 25 milliards de dollars d'actions dans Wells Fargo, pour 10 milliards d'actions dans Goldman Sachs et Morgan Stanley, 3 milliards dans Bank of New York Mellon et 2 milliards de dollars dans State Street.



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            • #7
              Cercle Finance le 13/10/2008 13h46
              Morgan Stanley:Mitsubishi Financial prendrait 21% du capital

              (CercleFinance.com) - Morgan Stanley aurait mené ce week-end des discussions avec Mitsubishi UFJ Financial Group pour finaliser un pacte de 9 milliards de dollars qui se solderait par l'entrée de l'établissement japonais au sein du capital de la prestigieuse banque américaine à hauteur de 21% de son capital.

              Le dossier aurait avancé suite à la décision du gouvernement américain de garantir l'investissement de MUFG dans Morgan Stanley, selon le Wall Street journal.

              L'annonce de cette prise de participation pourrait intervenir ce lundi, après la signature d'une lettre d'intention le 22 septembre dernier entre Morgan Stanley et Mitsubishi UFJ Financial en vue de créer une alliance stratégique.

              En grandes difficultés, le titre Morgan Stanley a chuté de 59,5% sur la semaine écoulée, dont une baisse de 25,9% sur la seule séance de jeudi et de 22,2% vendredi.

              Avec quoi ils payent..??? en bons du trésor? les Japonais ne sont pas les chinois....

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              • #8
                La réponse coordonnée des Européens à la crise financière fait écho au plan Paulson aux Etats-Unis, évalué à 700 milliards de dollars. Mais elle trouve surtout son inspiration du côté de Londres, où le Premier ministre Gordon Brown a été le premier à proposer ce cocktail de mesures, fait de prises de participations étatiques et de mécanismes de garantie. Le gouvernement britannique est passé à l'acte lundi matin, en injectant quelque 47 milliards d'euros dans le capital de trois banques, RBS, HBOS et Lloyds TSB.

                C'est Gordon qui est venu passer la deuxième couche hier, pour expliquer aux "Européens" comment procéder....

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                • #9
                  Cercle Finance le 13/10/2008 11h53
                  Royal Bank of Scotland: chute après la levée de fonds.

                  (CercleFinance.com) - Royal Bank of Scotland (RBS) plonge de plus de 31% à la Bourse de Londres alors que le FTSE gagne de son côté 4,1%. La banque britannique indique qu'elle va procéder à une augmentation de capital de 20 milliards de livres réservée au Trésor britannique.

                  Le groupe bancaire procédera ainsi à une émission de 15 milliards de livres sterling d'actions ordinaires au prix de 65,5 pence par action. En plus, le Trésor va souscrire pour 5 milliards de livres d'actions préférentielles.

                  Fred Goodwin, le directeur général de RBS va pour sa part démissionner et sera remplacé par Stephen Hester, actuellement directeur général de la société foncière British Land et directeur non exécutif du groupe.

                  De plus, Tom McKillop, le président de RBS, prendra sa retraite lors de l'assemblée générale annuelle d'avril 2009.

                  RBS ne distribuera pas de dividende jusqu'à ce que les actions préférentielles soient remboursées.

                  Dans le cadre du plan de sauvetage du secteur bancaire britannique, le premier ministre britannique Gordon Brown et le chancelier de l'échiquier Alistair Darling ont annoncé ce lundi lors d'une conférence de presse l'injection de 37 milliards de livres, soit environ 46,6 milliards d'euros, par le gouvernement dans trois banques : Royal Bank of Scotland (RBS), HBOS et Lloyds TSB.

                  En contrepartie, les rémunérations des dirigeants de ces établissements financiers seront encadrées.

                  Mais surtout pour soutenir l'économie britannique, ces banques devront rendre des comptes et soutenir les entreprises par le biais de prêts ainsi que les particuliers au niveau des prêts immobiliers.

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                  • #10
                    Cercle Finance le 13/10/2008 11h34
                    Santander:discussions pour le rachat de Sovereign confirmées

                    (CercleFinance.com) - Suite aux rumeurs de presse concernant le rachat de la banque américaine Sovereign Bank, le groupe espagnol Banco Santander confirme que des négociations existent, mais que pour le moment aucun accord n'a été trouvé.

                    Banco Santander détient déjà 25% de Sovereign Bank.

                    L'établissement financier espagnol indique également avoir accepté une injection d'un milliard de livres sterling dans sa filiale britannique Abbey National, conformément à son engagement de participer au plan de sauvetage du système bancaire britannique annoncé par Londres le mercredi 8 octobre.

                    ' Cette injection de 1 milliard de livres est conforme avec l'annonce faite lors de l'acquisition d'Alliance & Leicester ' précise le groupe.

                    Par contre, Santander rappelle qu'il n'a pas l'intention de faire appel aux mesures de recapitalisation du gouvernement britannique, mais supporte ses efforts afin de stabiliser son système financier.

                    Reuters le 14/10/2008 08h23
                    Santander acquiert la totalité de Sovereign

                    SANTANDER ACQUIERT LA TOTALITÉ DE SOVEREIGN
                    LOS ANGELES (Reuters) - Banco Santander, le plus grand groupe bancaire de la zone euro, a annoncé lundi soir l'acquisition de la totalité de la banque américaine Sovereign Bancorp dans le cadre d'une transaction en actions de 1,9 milliard de dollars (1,39 milliard d'euros).

                    Santander, qui était déjà le principal actionnaire de Sovereign depuis l'acquisition de 24,9% des parts de l'américain en 2006 pour 3,3 milliards de dollars, a précisé que la prise de contrôle devrait être effective au premier trimestre 2009.

                    Les actionnaires de Sovereign recevront 0,2924 certificat de dépôt Banco Santander American pour chaque action ordinaire Sovereign. Aux cours de vendredi, cela revient à offrir 3,81 dollars par titre Sovereign.

                    Le titre Sovereign a fini en baisse de 3,4% à 3,68 dollars lundi sur le New York Stock Exchange.

                    En vertu de l'accord de 2006, Santander ne pouvait faire une offre sur le restant de Sovereign à la valeur du marché jusqu'à juin 2009. Mais, comme la plupart des banques américaines, Sovereign est affectée par les actifs toxiques issus des subprimes et a fait état d'une baisse de 14% de son bénéfice net au deuxième trimestre, à 127,4 millions de dollars.

                    Dans ces conditions, une commission d'administrateurs indépendants avaient recommandé que Santander examine la possibilité d'acquérir les 75,65% de Sovereign qu'il ne possédait pas déjà.

                    Santander a indiqué que la transaction correspondait à ses critères stratégiques en terme d'acquisitions et qu'elle renforcerait de manière significative son implantation géographique.

                    Banco Santander convoquera ses actionnaires en assemblée extraordinaire pour augmenter son capital et émettre environ 147 millions d'actions nouvelles, soit 2% environ du capital du groupe.

                    Santander a annoncé lundi qu'il allait injecter un milliard de livres sterling (1,26 milliard d'euros) dans sa filiale britannique Abbey afin d'en renforcer les capitaux.

                    Fin septembre, Santander a repris les activités de banque de dépôt et le réseau d'agences du spécialiste britannique des crédits immobiliers Bradford & Bingley.

                    Version française Dominique Rodriguez

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                    • #11
                      AOF le 13/10/2008 10h34
                      BARCLAYS : une levée de fonds de 8,2 milliards d'euros

                      (AOF) - La banque Barclays a annoncé vouloir lever 6,5 milliards de livres (8,2 milliards d'euros) via l'émission d'actions préférentielles et ordinaires. Cette levée de fonds se fera sans l'aide du gouvernement, précise le numéro deux du secteur bancaire britannique. Celui-ci prévoit de vendre les actions en question à des investisseurs privés, deux tranches principales étant prévues à échéances fin décembre 2008 et fin mars 2009. La première concerne des actions préférentielles, la deuxième des actions ordinaires.

                      Autre annonce de Barclays : le groupe ne versera pas de dividende au titre de l'exercice 2008. Royal Bank of Scotland et HBOS, en revanche, profiteront des milliards de livres mis à disposition par Londres.

                      Barclay's ne veux plus jouer..???

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                      • #12
                        AOF le 10/10/2008 16h59
                        BANQUES: Berlin pourrait prendre des participations

                        (AOF) - Le gouvernement allemand envisagerait de prendre des participations dans les banques du pays, selon les informations du quotidien Die Welt. Berlin pourrait également proposer des recapitalisations à hauteur de 10 milliards d'euros au moins. Une mesure qui, si elle était avérée, rappellerait le plan d'urgence dévoilé en début de semaine par le gouvernement britannique.

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                        • #13
                          La Réserve fédérale de son côté a donné son accord dimanche à la reprise de la quatrième banque américaine, Wachovia, par sa concurrente Wells Fargo.

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                          • #14
                            Reuters le 13/10/2008 17h38
                            Pour survivre à la crise, la banque RBS subira une métamorphose

                            par Steve Slater

                            LONDRES (Reuters) - Il y a un an, la Royal Bank of Scotland participait au plus grand rachat jamais entrepris dans le secteur bancaire en acquérant une partie importante des activités du groupe néerlandais ABN Amro, une opération de plus de 70 milliards d'euros au total.

                            La crise financière a depuis fait son oeuvre, et la banque écossaise, vieille de 281 ans, est en quête de 30 milliards de livres (38 milliards d'euros) pour se renflouer et risque de voir la majorité de son capital passer aux mains de l'Etat.

                            "L'effet de levier, c'est formidable en période prospère, mais cela devient terriblement dangereux quand la situation est difficile", a admis le président de RBS, Tom McKillop.

                            La banque d'Edimbourg a présenté lundi un projet d'augmentation de capital de 20 milliards de livres. Mais si les investisseurs ne répondent pas à cet appel, elle risque de voir l'Etat monter à 57% de son capital.

                            Le titre RBS, déjà mal en point, cédait 15,30% vers 14h45 GMT à la Bourse de Londres, à 60,7 pence. Au printemps 2007, l'action valait près de six livres.

                            Selon des intervenants, les investisseurs craignent que la banque ne soit pas en mesure de verser de dividendes pendant plusieurs années en raison de la forte détérioration du marché de l'immobilier commercial et résidentiel en Grande-Bretagne.

                            RBS a déjà levé 12 milliards de livres en juin, ce qui ne a pas empêché sa capitalisation boursière de tomber depuis sous ce montant.

                            LES PRINCIPAUX DIRIGEANTS REMPLACÉS

                            La banque reconnaît aujourd'hui la nécessité du plan gouvernemental, après les faillites bancaires provoquées par la crise. L'équipe dirigeante s'apprête en outre à subir de profonds changements.

                            McKillop quittera la présidence dès que l'actuel directeur général, Fred Goodwin, aura été remplacé par Stephen Hester. Ce dernier, actuel PDG de l'entreprise immobilière British Land, n'a rejoint le conseil d'administration de RBS qu'il y a douze jours.

                            Goodwin dirigeait RBS depuis huit ans. Le chef de la branche investissements de RBS, Johnny Cameron, doit également être remplacé.

                            Selon Mark Burgess, analyste chez Legal & General, l'un des principaux investisseurs de RBS, les changements au sein de la direction sont nécessaires pour lancer "une approche et une stratégie neuves".

                            Hester, qui aura pour tâche de conduire cette nouvelle stratégie, a déjà indiqué qu'il n'y aurait "pas de vache sacrée", en réponse à une question sur l'éventualité d'une cession de la banque américaine Citizens.

                            "Quand tout cela sera terminé (...) nous serons une puissante banque internationale conduisant des opérations mondiales, qui auront toutefois un aspect différent en termes de prise de risques et de relation avec le client", a-t-il affirmé.

                            RBS a annoncé qu'elle vendrait certains de ses actifs, mais n'a pas précisément indiqué lesquels. La branche assurance devrait néanmoins faire partie des cessions, et des négociations sont en cours avec "quelques" parties intéressées.

                            Les analystes estiment cependant que la banque écossaise ne parviendra pas à tirer de cette branche le montant de sept milliards de livres qu'elle en espère.

                            Avec Dominic Lau, version française Gregory Schwartz

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                            • #15
                              Citation de : cdur (au 13-10-2008 18:02:56)

                              Reuters le 13/10/2008 17h38


                              LONDRES (Reuters) -

                              "L'effet de levier, c'est formidable en période prospère, mais cela devient terriblement dangereux quand la situation est difficile", a admis le président de RBS, Tom McKillop.


                              c'est beau l'innocence

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