Bonjour,
Le blé perd plus de 40 % depuis ses plus hauts de 2008 (va-t-on baisser le prix de la baguette maintenant ? ).
image : http://images.pro-at.com/forums-bourse/0508/12_292... ou format inconnu
Cette baisse peut être associée aux prévisions de récoltes qui s’annoncent particulièrement bonnes. Les prix élevés du blé ont incité les agriculteurs à augmenter les surfaces semées. Les conditions météorologiques en Europe sont pour l’instant plutôt favorables. Il faut également souligner la reprise des exportations dans certains pays gros producteurs.
Cependant, après les excès haussiers du début de l’année 2008 il convient de surveiller les excès … baissiers. Je ne pense pas que nous voyons actuellement dans cette configuration.
De plus, le facteur australien revient sur le devant de la scène. D’après la société Offre et Demande Agricole qui cite la Rabobank, « la récolte australienne en blé pour la campagne 2008/2009 a souffert du temps sec de ces 6 dernières semaines. La production de ce pays serait de 20 à 24MT contre une ancienne fourchette plus optimiste (23 à 26MT). » L’Australie est un pays important sur le marché international du blé. Ce pays, qui a été touché ces dernières par des sécheresses sévères (2 en 3 ans, il me semble) fait parti des éléments qui ont poussés les cours du blé à la hausse sur ces dernières années.
Faut-il voir de ces sécheresses « récurrentes » une conséquence du réchauffement planétaire ?
En tout cas, j’estime que la situation australienne mérite d’être suivie de près (en ce qui concerne les cours du blé).
Pour l’instant, les cours ne semblent pas réagir au « facteur australien ».
Le blé perd plus de 40 % depuis ses plus hauts de 2008 (va-t-on baisser le prix de la baguette maintenant ? ).
Cette baisse peut être associée aux prévisions de récoltes qui s’annoncent particulièrement bonnes. Les prix élevés du blé ont incité les agriculteurs à augmenter les surfaces semées. Les conditions météorologiques en Europe sont pour l’instant plutôt favorables. Il faut également souligner la reprise des exportations dans certains pays gros producteurs.
Cependant, après les excès haussiers du début de l’année 2008 il convient de surveiller les excès … baissiers. Je ne pense pas que nous voyons actuellement dans cette configuration.
De plus, le facteur australien revient sur le devant de la scène. D’après la société Offre et Demande Agricole qui cite la Rabobank, « la récolte australienne en blé pour la campagne 2008/2009 a souffert du temps sec de ces 6 dernières semaines. La production de ce pays serait de 20 à 24MT contre une ancienne fourchette plus optimiste (23 à 26MT). » L’Australie est un pays important sur le marché international du blé. Ce pays, qui a été touché ces dernières par des sécheresses sévères (2 en 3 ans, il me semble) fait parti des éléments qui ont poussés les cours du blé à la hausse sur ces dernières années.
Faut-il voir de ces sécheresses « récurrentes » une conséquence du réchauffement planétaire ?
En tout cas, j’estime que la situation australienne mérite d’être suivie de près (en ce qui concerne les cours du blé).
Pour l’instant, les cours ne semblent pas réagir au « facteur australien ».
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