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  • Lyxor EF Russia (DJ Rusindex Titans 10).

    Lyxor EF Russia (DJ Rusindex Titans 10).

    Ce tracker reflete l évolution des plus belles valeurs cotes en Bourse de Moscou.
    Cotè sur Euronext, il se ngocie, sans droit dentre ni de sortie, comme une simple action et il est ligible au PEA.
    Ses frais de gestion sont limits: 0,65% TTC / an.
    lyxoretf.fr

  • #2
    Merci Trust

    Et en plus le décompte est encore assez clair!

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    • #3
      CHANGES - La Russie redevenue confiante veut se doter d'une devise convertible
      MOSCOU, 30 juin 2006 (AFP)
      La Russie lève samedi ses dernières restrictions aux opérations de change avec le reste du monde, ouvrant la voie à la convertibilité totale du rouble et affichant ainsi à quelques jours du sommet du G8 la confiance retrouvée dans l'économie du pays.

      Cette réforme devait intervenir début 2007 mais a été accélérée par le président russe Vladimir Poutine.

      "En renonçant au contrôle des flux de capitaux entre la Russie et l'extérieur, le Kremlin prend de fait plus encore la responsabilité de ses actes car, pour attirer des fonds en Russie et les garder, sa politique économique va devoir être attrayante et plus stable", commente la banque d'investissement Troïka Dialog dans une étude.

      Il crée aussi, de même qu'en annonçant le remboursement anticipé de sa dette au Club de Paris, "un arrière-plan de nouvelles positives sur la Russie" avant de recevoir du 15 au 17 juillet à Saint-Pétersbourg le sommet du groupe des Huit, note Alexeï Boulgakov de la société d'investissement Aton Capital.

      Cette décision est "une contribution à la stabilité macroéconomique et à la croissance des investissements directs dans notre économie", déclarait mercredi le Premier ministre russe Mikhaïl Fradkov. "Mais on ne peut simplement décréter une devise librement convertible : des conditions économiques appropriées doivent être créées pour cela", ajoutait le lendemain Alexandre Joukov, premier vice-Premier ministre.

      Alors que la banque centrale avait déjà assoupli la circulation des capitaux, le gouvernement a approuvé jeudi l'élimination dans la loi de deux entraves à ces mouvements.

      La première était l'obligation de constituer des réserves auprès de l'institut d'émission lors de mouvements de fonds vers et depuis la Russie. La seconde obligeait à ouvrir des comptes spécifiques pour chaque type d'opération (actions, obligations, transactions commerciales), ce qui empêchait le passage rapide d'un placement à un autre.

      Même si "un étranger pouvait déjà ouvrir un compte en roubles sans problème" ces deux restrictions "réduisaient considérablement l'attrait des instruments financiers locaux. Nous nous attendons donc à une montée de l'intérêt pour le pays", estime M. Boulgakov.

      "Le sentiment positif des étrangers sur la devise russe va conduire à des entrées de capitaux", explique-t-il. Le rouble s'est en effet considérablement apprécié face au dollar, gagnant plus de 10% par rapport au billet vert sur les douze derniers mois.

      Cette présence nouvelle des étrangers se fera sentir en particulier sur le marché des obligations d'Etat, contrôlé de très près depuis la crise financière de 1998, estiment les analystes.

      Il faut s'attendre dans l'autre sens à un accroissement des investissements directs (prises de participations dans des sociétés, constructions d'usines), des prêts et dépôts à l'étranger de Russes soucieux de diversifier leurs investissements, estime Troïka Dialog.

      Les projets de création de Bourses du pétrole et du gaz en Russie pourraient amplifier les effets de la réforme, note la banque d'investissement, car si ces produits s'échangent en roubles, ils conduiront à une hausse considérable de la demande de monnaie russe.

      Des attaques spéculatives contre le rouble ne sont pas non plus à exclure, avertit M. Boulgakov, mais elles suscitent peu d'inquiétudes à court terme car "la banque centrale est beaucoup plus forte qu'il y a dix ans, ne serait-ce qu'en termes de réserves".

      De "très nombreux points ne sont néanmoins toujours pas clairs, les responsables politiques n'ayant pas communiqué dans le détail", déplore l'analyste, dont l'organisation avait déjà dénombré vendredi matin 15 zones d'ombre. Les montants des transferts resteront soumis à une limite pour lutter contre le blanchiment d'argent, précise pour sa part Christopher Granville de la société d'investissement UFG.

      © 2006 AFP

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      • #4
        CHANGES - Le rouble russe est désormais convertible dans le monde entier
        MOSCOU, 1 juil 2006 (AFP)
        La Russie a levé samedi ses dernières restrictions aux opérations de change avec le reste du monde, faisant du rouble une devise pleinement convertible et affichant ainsi à deux semaines du sommet du G8 une confiance retrouvée dans son économie et des ambitions décuplées.

        "Désormais, il sera plus attractif d'investir en Russie, cela va accroître l'intérêt des investisseurs pour la Russie", a déclaré à la télévision nationale le ministre russe des Finances Alexeï Koudrine.

        "Les (milieux) d'affaires russes peuvent librement, sans souci, sans un quelconque permis spécial, participer aux investissements" dans d'autres pays de l'ex-URSS ou ailleurs, a ajouté M. Koudrine.

        Le ministre russe espère que le rouble deviendra d'usage courant dans les transactions entre les compagnies dans les ex-républiques soviétiques, un véritable défi face à l'omniprésence du dollar.

        Outre l'aspect purement financier, les autorités russes voulaient rompre, quinze ans après la chute de l'URSS, avec l'image d'un rouble dévalué assimilé à un kopeck sans grande valeur. Et ce huit ans après une grave crise financière qui avait lésé des millions de petits épargnants russes et plombé la toute jeune économie russe post-soviétique.

        "Le rouble a cessé d'être une monnaie en toc, et nous pouvons espérer une nouvelle croissance économique, plus rapide qu'à l'heure actuelle. Nous posons une nouvelle brique à l'édification de la stabilité de notre économie", a lancé le ministre des Finances.

        En permettant la convertibilité totale de la monnaie russe, le gouvernement continue de tirer les conclusions de la bonne santé de l'économie russe qui, en s'appuyant sur les immenses recettes générées par la vente des hydrocarbures russes, conserve un rythme élevé de croissance.

        Cette nouvelle étape dans la libéralisation de l'économie russe intervient au moment où les grandes entreprises russes, notamment le géant gazier russe Gazprom, font feu de tout bois pour prendre position sur des nouveaux marchés, notamment en Europe et en Asie.

        Et forte de ses finances assainies, la Russie s'est même payé le luxe cette semaine de rembourser avec anticipation l'ensemble de sa dette (22 milliards de dollars) contractée auprès du Club de Paris.

        En passant à la convertibilité totale de sa monnaie, le Kremlin crée "un arrière-plan de nouvelles positives sur la Russie" avant de recevoir du 15 au 17 juillet à Saint-Pétersbourg le sommet du groupe des Huit, a noté Alexeï Boulgakov, de la société d'investissement Aton Capital.

        Cette réforme devait intervenir début 2007, mais elle a été accélérée par le président Vladimir Poutine.

        Après que la banque centrale eut déjà assoupli la circulation des capitaux, le gouvernement a approuvé jeudi l'élimination dans la législation de deux entraves à ces mouvements.

        La première était l'obligation de constituer des réserves auprès de l'institut d'émission lors de mouvements de fonds vers et à partir de la Russie. La seconde obligeait à ouvrir des comptes spécifiques pour chaque type d'opération (actions, obligations, transactions commerciales), ce qui empêchait le passage rapide d'un placement à un autre.

        Même si "un étranger pouvait déjà ouvrir un compte en roubles sans problème", ces deux restrictions "réduisaient considérablement l'attrait des instruments financiers locaux. Nous nous attendons donc à une montée de l'intérêt pour le pays", estime M. Boulgakov de Aton Capital.

        De "très nombreux points ne sont néanmoins toujours pas clairs, les responsables politiques n'ayant pas communiqué dans le détail", déplore l'analyste M. Boulgakov dont l'organisation avait déjà dénombré vendredi matin 15 zones d'ombre.

        Les montants des transferts resteront soumis à une limite pour lutter contre le blanchiment d'argent, précise pour sa part Christopher Granville, de la société d'investissement UFG.

        © 2006 AFP

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        • #5
          Rosneft autorisé à mettre sur le marché 14,3% de son capital

          03/07/2006 - L'AFP


          Le groupe pétrolier public russe Rosneft a été autorisé à mettre sur le marché un maximum de 14,3% de son capital, selon un arrêté du gouvernement russe diffusé lundi.

          Rosneftegaz, société détentrice du capital de Rosneft, pourra céder "1.356.498.963 actions de Rosneft (soit 14,3% de son actionnariat) à un cercle de personnes non limité", précise l'arrêté signé par le Premier ministre russe Mikhaïl Fradkov.

          Rosneft avait indiqué précédemment qu'il comptait lever jusqu'à 11,6 milliards de dollars lors de son introduction en Bourse prévue pour la mi-juillet à Moscou et à Londres, soit potentiellement la cinquième plus grosse de l'histoire.

          Les actions Rosneft, troisième producteur de brut russe, vont être placées à un prix de 5,85 à 7,85 dollars l'unité, ce qui représente une capitalisation comprise entre 60 et 80 milliards de dollars.

          Rosneft a commencé une tournée des investisseurs internationaux la semaine dernière pour placer ses actions en vente jusqu'au 10 juillet et vise également l'actionnariat populaire russe.

          Le groupe a aussi démarché les principales sociétés pétrolières mondiales ainsi que les pétroliers indiens ONGC et chinois Sinopec et CNPC pourrait acquérir une part du groupe lors de cette opération, selon le journal Vedomosti.

          Le président du groupe pétrolier russe Sergueï Bogdantchikov avait indiqué fin juin que les investisseurs ne pourraient pas acquérir chacun plus de 2% du capital du groupe.

          lgo/vl/ved

          MOSCOU, 3 juil 2006 AFP

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          • #6
            L'agence de notation financière Standard and Poor's (SP) met en garde la Russie contre la dépendance de son économie envers les hydrocarbures, un facteur qui limite la possibilité d'un relèvement de la note souveraine du pays, selon un communiqué publié mardi.

            "Les espoirs d'un développement économique durable en Russie et donc d'une note souveraine plus élevée, pourraient être limités si des mesures ne sont pas prises pour réduire la dépendance du pays envers le secteur gazier et pétrolier", observe SP dans une étude consacrée aux perspectives de l'économie russe.

            "L'expérience mitigée des autres économies basées sur les hydrocarbures montre le risque que l'appréciation du taux de change réel de la monnaie due à l'afflux de devises liées aux exportations de matières premières ne rende les autres secteurs de l'économie moribonds", observe Moritz Kraemer, analyste de SP.

            Les revenus du gaz et du pétrole fournissent 50% des revenus de l'Etat russe et constituent 65% des revenus des exportations.

            Le taux de change réel du rouble contre un panier de monnaie s'est déjà renforcé de 37% depuis 2001, rappelle l'agence.

            Une politique budgétaire plus stricte et un meilleur taux d'investissement pourrait permettre un relèvement de la note souveraine de la Russie (BBB), observe Fitch.


            MOSCOU, 4 juil 2006 (AFP

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            • #7
              Russie-Bulgarie-Grèce: Poutine à Athènes le 4 septembre pour parler énergie
              ATHENES, 22 août 2006 (AFP)
              Le président russe Vladimir Poutine et le Premier ministre bulgare Serguei Stanichev sont attendus à Athènes le 4 septembre pour des entretiens centrés sur les questions énergétiques, a annoncé mardi le gouvernement grec.

              Cette rencontre tripartie avec le premier ministre, Costas Caramanlis, sera centrée sur le projet commun de l'oléoduc Bourgas-Alexandroupolis, a précisé le ministre du développement, Dimitris Sioufas. Elle se tiendra à l'initiative de M. Poutine, a-t-il ajouté.

              Cet oléoduc doit joindre le port bulgare de Bourgas, sur la mer Noire, au port égéen grec d'Alexandroupolis pour l'acheminement de pétrole de la mer Caspienne transitant par bateau depuis le port russe de Novorossiysk, en évitant les détroits turcs.

              Le président russe est attendu à Athènes en marge d'une tournée prévue en Afrique du Nord, a précisé une source gouvernementale.

              Le géant gazier russe Gazprom a, de son côté, affirmé l'hiver dernier que la Grèce pourrait devenir "un pays transitaire" pour l'acheminement du gaz naturel russe vers l'Europe occidentale.

              © 2006 AFP

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