La suppression de l'impot de bourse est un mirroir aux alouettes pour augmenter pour tous les boursicoteurs (warrants, actions, cfd etc etc ) la taxation des plus values
dixit :
Le développement de l’actionnariat individuel est une priorité qui n’est contestée ni par les économistes ni par les partis de gouvernement. Pourtant, les actionnaires individuels sont aujourd’hui 10% de moins qu’il y a cinq ans. Ils ne contrôlent directement que 11% de la capitalisation boursière de la place de Paris.
Les mesures fiscales alignant la taxation des différents placements financiers vont dans le bon sens, mais elles ne doivent pas alourdir la note pour les actionnaires.
Le relèvement de 20.000 euros à 25.000 euros du seuil de cession de valeurs mobilières déclenchant l’imposition sur les plus-values serait un élément positif, mais il peut être modifié chaque année et met en place des effets de seuil. Il serait plus juste qu’il soit remplacé par un abattement.
Ce n’est pas parce que certains Etats européens ont une fiscalité encore plus lourde sur certains aspects que la France doit augmenter ses taxes aussi bien sur le patrimoine que sur les plus-values. Ce qui favorisera encore les délocalisations de gros portefeuilles, pénalisant particulièrement les épargnants moyens.
La suppression de l’impôt de Bourse, présentée comme une contrepartie à la hausse de la taxation, aura de toute façon lieu : c’est la suite logique de la mise en place de la directive européenne des services financiers.
Le relèvement à 29% des prélèvements sur les plus-values de valeurs mobilières ne peut être accepté.
dixit :
Le développement de l’actionnariat individuel est une priorité qui n’est contestée ni par les économistes ni par les partis de gouvernement. Pourtant, les actionnaires individuels sont aujourd’hui 10% de moins qu’il y a cinq ans. Ils ne contrôlent directement que 11% de la capitalisation boursière de la place de Paris.
Les mesures fiscales alignant la taxation des différents placements financiers vont dans le bon sens, mais elles ne doivent pas alourdir la note pour les actionnaires.
Le relèvement de 20.000 euros à 25.000 euros du seuil de cession de valeurs mobilières déclenchant l’imposition sur les plus-values serait un élément positif, mais il peut être modifié chaque année et met en place des effets de seuil. Il serait plus juste qu’il soit remplacé par un abattement.
Ce n’est pas parce que certains Etats européens ont une fiscalité encore plus lourde sur certains aspects que la France doit augmenter ses taxes aussi bien sur le patrimoine que sur les plus-values. Ce qui favorisera encore les délocalisations de gros portefeuilles, pénalisant particulièrement les épargnants moyens.
La suppression de l’impôt de Bourse, présentée comme une contrepartie à la hausse de la taxation, aura de toute façon lieu : c’est la suite logique de la mise en place de la directive européenne des services financiers.
Le relèvement à 29% des prélèvements sur les plus-values de valeurs mobilières ne peut être accepté.
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