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FILE PERMANENT DAX 30
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  • FILE PERMANENT DAX 30

    Bonjour @ tous,

    je vous propose par ce FILE PERMANENT dédié au DAX 30, d'y déposer vos analyses techniques ainsi que vos sentiments basés sur des FONDAMENTALES d'actualité.

    Ainsi ce file serait le catalyseur d'info, d'avis, de partage, et surtout d'échange...

    Les débats qui pourraient en découler, seraient cordiaux et constructifs.

    Il me semblait que cet indice était "relativement peu pratiqué" ou en tous les cas peu dialogué, sur le FORUM PRO AT.

    Je vous remercie par avance de votre participation...car toute idée sans action n'est pas une idée...

    Bon profits à tous et je l'espère longue vie à ce FILE !

  • #2


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    notre DAX 30 semble avoir dépassé ses complexes égyptiens !

    Résistance à 7156 points ? C'est pas un objectif d'américain

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    • #3
      Salut un dax 15 mn qui semble une ut pertinente
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      Même le plus grand des hommes, seul ne peut rien.

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      • #4
        en effet les prix collent à 15' et ce depuis 5 bonnes semaines..

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        • #5
          Un trend assez stable semble se dessiner : UT 15' avec un signal ADX à presque 21, une MACD qui monte régulier, un RSI qui bute au 70...

          Ça semble acheter les supports et vendre les résistances, en prenant son temps.

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          • #6
            congestion au niveau 7046 - 7050

            Deutche BANK :

            PARIS (Dow Jones)--Goldman Sachs indique que les coûts de Deutsche Bank (DB) au quatrième trimestre sont plus élevés que prévu, ayant été affectés par l'intégration de Deutsche Postbank et de Sal. Oppenheim. "Les données actuellement publiées ne permettent pas de savoir quelles charges sont récurrentes ou exceptionnelles mais nous pensons qu'une part importante des charges seront comptabilisées comme exceptionnelles", affirme la banque. Elle maintient sa recommandation neutre et indique qu'elle attend de voir les résultats complets qui seront publiés jeudi. Le chiffre d'affaires préliminaire du quatrième trimestre, à EUR7,4 milliards, "est un peu supérieur à notre estimation, qui était de EUR6 milliards", mais il serait prématuré de tirer des conclusions car il n'y a pas de précision sur l'origine de la solidité du chiffre d'affaires ou sur les éventuels éléments exceptionnels, précise Goldman Sachs. Le titre gagne 0,7%, à EUR43,48.

            Dow Jones Newswires source

            A voir pour jeudi

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            • #7
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              retracement ?

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              • #8
                Pour que l'Europe ne soit plus un marché mais devienne une puissance :

                NEW YORK (Dow Jones)--L'Allemagne souhaite que des réformes globales soient entreprises dans la zone euro pour aboutir à une plus grande discipline budgétaire, à une meilleure coordination politique, un mécanisme renforcé de gestion des crises et une surveillance plus rigoureuse des banques de la région, a indiqué le secrétaire d'Etat allemand aux Finances.

                "Les marchés sont relativement calmes pour le moment, mais attendent que nous leur présentions un projet ambitieux", a souligné Joerg Asmussen lors d'un entretien accordé à Dow Jones Newswires, précisant que ces décisions devraient être prises lors du Conseil européen des 24 et 25 mars.

                Les changements envisagés porteraient sur de nouveaux engagements en faveur de l'assainissement des finances publiques et de réformes structurelles destinées à soutenir la croissance, a-t-il expliqué. L'Allemagne souhaite également que le pacte de stabilité et de croissance soit amendé de manière à ce que des "cadres budgétaires nationaux" soient mis en oeuvre.

                Le secrétaire d'Etat a précisé que les dirigeants de la zone euro allaient faire le point sur le Fonds européen de stabilité financière, mis en place pour venir en aide aux pays de la région en difficulté. Ils vont aussi avancer dans la définition du Mécanisme européen de stabilité, un dispositif permanent de gestion des crises qui doit succéder au FESF.

                L'Allemagne souhaite également la mise en place de nouveaux tests de résistance pour le secteur bancaire et une coordination renforcée des politiques intergouvernementales sur des sujets comme la compétitivité.

                Interrogé sur la position allemande concernant une utilisation du FESF pour recapitaliser les banques en difficulté, J.Asmussen a indiqué que Berlin était défavorable à ce que cela soit fait en premier recours.

                "Si certains gouvernements n'arrivent pas à réunir les fonds nécessaires pour une recapitalisation de leur secteur bancaire [...] ils peuvent bien sûr faire appel au FESF et utiliser des crédits du FESF afin de renforcer le bilan des banques dans le cadre d'un programme global d'ajustement assorti de conditions strictes", a expliqué J.Asmussen.

                Le responsable n'a pas précisé en quoi les nouveaux tests de résistance différeraient des tests déjà réalisés l'an dernier.

                Par ailleurs, J.Asmussen a déclaré que l'Allemagne soutenait le projet de Nicolas Sarkozy d'augmenter le nombre de devises incluses dans le panier composant les droits de tirage spéciaux du Fonds monétaire international lors de la présidence française du G20 cette année. Il s'agirait notamment que le yuan soit accueilli au sein de ce panier.

                -Michael Casey, Dow Jones Newswires

                (Version française Emilie Palvadeau, Lydie Boucher)

                Dow Jones Newswires


                Chommage Allemagne :

                BERLIN, 1er février (Reuters) - Le nombre de demandeurs d'emploi en Allemagne a reculé plus que prévu en janvier, le taux de chômage retombant à son plus bas niveau depuis mars 1992 ce qui nourrit les espoirs de voir la consommation intérieure soutenir la reprise économique.

                "La contribution de l'emploi dans le système de sécurité social et le taux d'emploi dans son ensemble ont considérablement augmenté et la demande de travailleurs continue à croître", a dit mardi Frank-Jürgen Weise, directeur de l'Office fédéral du travail.

                Le nombre de demandeurs d'emplois en Allemagne a reculé de 13.000 en janvier en données corrigées des variations saisonnières et le taux de chômage est tombé à 7,4%., selon les données officielles publiées mardi.

                La prévision moyenne, selon une enquête Reuters, tablait sur une baisse de 10.000 demandeurs d'emploi, le maintien du taux de chômage à 7,5% et un nombre de chômeurs de 3,3 millions.

                Un éventuel rebond des dépenses de consommation cette année dépend principalement de la reprise de l'emploi en Allemagne dans les prévisions des économistes car de récentes données montrent que les ménages qui ont déjà un emploi ne sont pas suffisamment confiants pour dépenser davantage en puisant dans leur épargne.

                A moins d'un changement soudain des comportements, les économistes prévoient une croissance de la consommation proportionnelle au nombre de nouveaux entrants sur le marché du travail allemand.

                "La baisse du chômage allemand en janvier nourrit l'espoir selon lequel le renforcement du marché du travail va empêcher un manque à gagner dans les dépenses des ménages cette année en réponse à la réforme budgétaire de l'Allemagne", commente Ben May, économiste chez Capital Economics.

                Le recul prononcé et inattendu des ventes au détail en décembre pour la quatrième fois en cinq mois est allé à l'encontre de la statistique mensuelle de Gfk sur le sentiment des consommateurs qui avait atteint son plus haut niveau depuis octobre 2007.

                (Christian Hetzner, Florent Le Quintrec pour le service français, édité par Benoît Van Overstraeten)

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                • #9
                  Un sujet sur les banques américaines et (peut être) européenne :


                  David Reilly
                  DOW JONES NEWSWIRES


                  Les plus grandes banques américaines pourraient prochainement paraître encore plus grosses. Mais les changements comptables susceptibles d'engendrer cette transformation, plutôt que d'accroître les risques, devraient permettre aux investisseurs de mieux évaluer le danger que représentent les banques pour le système financier dans son ensemble.

                  En cas d'adoption du projet de mise en conformité des normes comptables américaines avec les règles internationales, les banques seront tenues de faire apparaître séparément une grande partie des éléments actifs et passifs associés aux dérivés.

                  Actuellement, la plupart des banques américaines présentent un chiffre net pour des produits de taux, de change, ou les CDS ("credit default swaps"), qui est calculé en opérant une compensation entre les postes d'actif et de passif.

                  Si les changements liés à cette mise en conformité n'affecteront pas le résultat net, les fonds propres ou la plupart des indicateurs de capitaux réglementaires, ils apporteront néanmoins une meilleure visibilité sur le levier financier des établissements bancaires.

                  J.P. Morgan Chase (JPM) et Bank of America (BAC) pourraient voir chacun la valeur de leurs actifs quasiment doubler à plus de 4.000 milliards de dollars, estime l'analyste de Credit Suisse, Moshe Orenbuch. Cet impact serait encore plus marqué chez Goldman Sachs Group (GS) et Morgan Stanley (MS), dont la valeur des actifs pourrait croître de 100% et 129%, respectivement.

                  Les banques européennes n'appliquent pas, de leur côté, de compensation sur la plupart des produits dérivés, de sorte que leurs bilans paraissent plus imposants en comparaison.

                  La proposition de mise en conformité des règles comptables américaines devrait de fait améliorer la comparabilité des banques des deux côtés de l'Atlantique.

                  Ces changements pourraient, dans un premier temps, déconcerter certains investisseurs américains. La compensation des produits dérivés se justifie en effet en ce qu'elle permet de jauger le risque de crédit auquel les banques sont confrontées. J.P. Morgan, par exemple, comptabilisait des actifs dérivés bruts de 1.900 milliards de dollars à fin septembre; en base nette, ces actifs dérivés s'élevaient à environ 97 milliards de dollars.

                  L'évaluation du risque de crédit, seule, peut suffire en temps normal. Mais lorsque les marchés sont en crise, ou quand un établissement important connaît des difficultés, le montant total des actifs dérivés est crucial. La disparition d'une contrepartie, ou une baisse rapide de la valeur des actifs, peut avoir pour conséquence que la compensation donne une image trompeuse du risque de marché.

                  Aussi, avec ces changements, la prochaine fois qu'il y aura un séisme financier, les investisseurs pourraient avoir une idée plus claire des risques réels.

                  -David Reilly, Dow Jones Newswires

                  (Version française Céline Fabre)

                  Dow Jones Newswires

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                  • #10
                    Bonsoir ETEI dax ok
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                    Même le plus grand des hommes, seul ne peut rien.

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                    • #11
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                      Un range s'installe 7180 - 65 avant l'ouverture de wall ,street...

                      les tx BCE inchangé, tjrs pas de CR de trichet, l'égypte (Bof...), les stat US semblent OK...

                      Attente du market US ?

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                      • #12
                        Extraits conf TRICHET :

                        FRANCFORT, 3 février (Reuters) - Principaux extraits de la conférence de presse donnée jeudi par le président de la Banque centrale européenne Jean-Claude Trichet après la décision du Conseil des gouverneurs de laisser les taux directeurs inchangés.

                        CERTAINS MARCHÉS NE FONCTIONNENT PAS NORMALEMENT

                        "Il est clair que nous avons aussi un certain nombre de marchés qui ne fonctionnenent pas normalement, qui demeurent dans un fonctionnement plus ou moins anormal. Et cela bien sûr explique que nous maintenions au moment où je parle nos mesures non conventionnelles.

                        "Je ne dirai rien sur la décision que nous pourrions prendre dans les semaines à venir et en particulier la prochaine fois. Nous examinerons la situation sous tous les angles."

                        FONCTIONNEMENT DU MARCHÉ MONÉTAIRE

                        "Le marché monétaire donne des signes d'un meilleur fonctionnement, et nous avons observé que (..) les volumes traités sur l'Eonia ont augmenté. De ce point de vue, ce que nous avons constaté dans la période la plus récente était une fluctuation des taux d'intérêt qui était due au fait que nous voyons un marché qui fonctionne."

                        FESF

                        "Nous appelons à une utilisation du fonds de stabilisation actuelle aussi flexible que possible et aussi efficace que possible en termes d'étendue."

                        UNANIMITÉ DE LA DÉCISION SUR LES TAUX

                        "Notre décision sur les taux d'intérêt a été prise unanimement."

                        PROGRAMME POUR LE MARCHÉ DE TITRES

                        "Notre programme PMT (de rachats de titres) continue (..) il est exact (..) que nous ne sommes pas intervenus sur les marchés durant la période de cinq jours ouvrables de règlement. Mais le programme se poursuit."

                        JUGEMENT SUR L'INFLATION

                        "Nous sommes tout à fait en ligne avec le jgement, l'appréciation, que nous avions le mois dernier. C'était il y a trois semaines seulement."

                        RISQUES SUR LES PERSPECTIVES D'INFLATION

                        "Les anticipations d'inflation à moyen et long terme demeurent solidement ancrées à un niveau compatible avec l'objectif du Conseil des gouverneurs de maintenir l'inflation à des taux inférieurs à, mais proches de 2% à moyen terme.

                        Les risques pesant sur les perspectives d'évolution des prix à moyen terme restent globalement équilibrés, comme indiqué en janvier, mais pourraient s'orienter à la hausse".

                        PERSPECTIVES D'INFLATION

                        "Au cours des prochains mois, les taux d'inflation pourraient temporairement augmenter encore pour s'établir à un niveau légèrement supérieur à 2% durant la majeure partie de l'année 2011, avant de se modérer à nouveau vers la fin de l'année.

                        "Dans l'ensemble, nous constatons des signes de tensions à court terme sur l'inflation globale, exercées principalement par les cours mondiaux des matières premières. De telles tensions sont aussi perceptibles dans les premières étapes du processus de production.

                        "Jusqu'ici, ces éléments n'ont pas affecté notre diagnostic selon lequel l'évolution des prix restera compatible avec la stabilité des prix à l'horizon pertinent pour la politique monétaire; dans le même temps, un suivi très attentif de ces évolutions s'impose."

                        PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES ET RISQUES

                        "En ce qui concerne 2011, les exportations de la zone euro devraient bénéficier d'une poursuite de la reprise économique mondiale.

                        "En parallèle, et notamment au vu du niveau relativement élevé de confiance des chefs d'entreprise de la zone euro, la demande intérieure privée devrait contribuer de plus en plus à la croissance, soutenue par l'orientation accommodante de la politique monétaire et les mesures adoptées pour rétablir le bon fonctionnement du système financier.

                        "Toutefois, le redressement de l'activité devrait être freiné par le processus d'ajustement des bilans dans différents secteurs."

                        BANQUES ET CREDIT

                        "Il est important que les banques continuent de renforcer l'octroi de crédit au secteur privé dans un environnement de demande croissante.

                        "Pour relever ce défi, elles doivent, le cas échéant, mettre leurs bénéfices en réserve, se tourner vers le marché pour continuer de renforcer leur assise en fonds propres ou utiliser pleinement les mesures de soutien prises par les pouvoirs publics en faveur de leur recapitalisation".

                        SUIVI DES ÉVOLUTIONS EN COURS

                        "Cette orientation (de la politique monétaire), de même que la fourniture de liquidité et les modes d'adjudication, seront ajustés en fonction de la situation, en tenant compte du fait que toutes les mesures non conventionnelles adoptées au cours de la période de vives tensions sur les marchés financiers sont, par construction, de nature temporaire.

                        "Le Conseil des gouverneurs continuera donc de suivre très attentivement l'ensemble des évolutions au cours de la période à venir".

                        LES TAUX APPROPRIÉS

                        "Le Conseil des gouverneurs a confirmé que le niveau actuel des taux directeurs de la BCE demeure approprié. Par conséquent, il a décidé de les laisser inchangés."

                        INFLATION ET DIAGNOSTIC SUR LES PRIX

                        "Nous continuons de constater des signes de tensions à court terme sur l'inflation globale, pour l'essentiel sous l'effet des prix de l'énergie. Mais cela ne modifie pas, pour le moment, notre diagnostic selon lequel l'évolution des prix restera compatible avec la stabilité des prix à l'horizon pertinent pour la politique monétaire."

                        LES ANTICIPATIONS D'INFLATION SOLIDEMENT ANCRÉES

                        "Les données économiques récentes vont dans le sens d'une dynamique de fond positive de l'activité économique, malgré la persistance d'une forte incertitude. Notre analyse monétaire indique que les tensions inflationnistes devraient demeurer contenues à moyen terme.

                        "Les anticipations d'inflation restent solidement ancrées à un niveau compatible avec notre objectif de maintenir l'inflation à des taux inférieurs à, mais proches de 2 % à moyen terme. Nous estimons que la stabilité des prix sera maintenue à moyen terme. L'ancrage solide des anticipations d'inflation est primordial".

                        (Marc Joanny pour le service français, édité par Dominique Rodriguez)

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                        • #13
                          dax fort si rebond fce il risque d'exploser
                          Même le plus grand des hommes, seul ne peut rien.

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                          • #14
                            il risque d'exploser : c'est à dire ?

                            Commentaire


                            • #15
                              Ca tire vers le bas !

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