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La zone Euro va-t-elle exploser ?
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  • La zone Euro va-t-elle exploser ?

    Vous le savez fort bien, que l’on aborde les marchés financiers sous un angle technique ou par le biais de l’analyse fondamentale, ce qui réconcilie tout le monde, c’est l’importance de la psychologie des opérateurs. Or là avec les déclarations du président Obama sur les Banques et le fait qu’il apparait désormais de plus en plus clair que les marchés jouent l’éclatement de la zone euro, il n’est plus possible de nier un changement radical de la psychologie des marchés financiers.

    Pour avoir vécu les tensions monétaires de 1992 et l’éclatement du SME de l’époque, je puis vous assurer que dans ce petit jeu là, les décisions de nos politiques peuvent parfois peser très lourd et le fait de défendre des dogme comme celui du franc fort de l’époque peu avoir des conséquences tout à fait désastreuses sur l’économie.

    Que va-t-il donc se passer aujourd’hui ?

    J’avoue bien sûr ne pas être dans la confidence, mais peut être pouvons nous en parler ensemble sur cette file de discussion

    Amicalement

    Alain

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  • #2
    La décision du parlement du portugal de rejeter le plan de rigueur présenté par le gouvernement (minoritaire) est de mauvaise augure.

    Mais ce qui est fondamental c'est que seule l'europe pourra, pourrais enrayer la crise de la zone euro. Seulement il est à craindre que les lenteurs, pour des raisons stucturelles, ne réagisse pas assez vite ou TROP TARD.
    Alors les marchés européens et mondiaux surtout américains vont se décoréler et ce sera la chute quoique que "prédisent les différents oscillateurs.
    VIVE le BX4

    Cdt,
    camus

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    • #3
      Le marché price une probabilité de 30% d'un défaut de la dette grèque à 5 ans...

      entre 10 et 15% pour l'Irelande, l'Espagne et le Portugal

      et tout de même 5% pour la France

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      • #4
        ECLATEMENT DE LA ZONE EURO ?
        La psychologie des opérateurs est très moutonnière dans ce pari.je ne reviens pas sur le dernier courrier de ROQUE qui expose les montants en jeux entre la faillite de la grece et celle des USA par exemple.
        comme le prévoyait depuis quelques mois le LEAP, les USA sont avides de nos jours d'attirer les économies mondiales afin d'assumer leurs déficits gargantuesque et sont tout à fait dans leur rôle de faire craindre le pire à la communauté financière sur le devenir de l'EURO .
        De plus, dans un premier temps, il est clair qu'une chute de la monnaie unique améliore la compétitivité de nos exportateurs.Toutefois, mesurons bien que 85% du commerce européen se fait entre européen et qu'en fait, nous avons bien moins besoin des chinois que l'inverse (par exemple).
        Utilisant ce risque,la communauté financière doit bien posséder des fonds spéculatifs qui appuient sur la baisse de l'euro pour engranger de belles PV mais hormis cela, il faut raison garder.
        Plus grave cependant est la montée du chômage et des déficits sociaux;mais cela n'est pas l'apanage uniquement de l'europe même si de nombreux états n'ont jamais véritablement réalisé les réformes nécessaires.
        L'étendue des réformes obligatoire aura de mon point de vue beaucoup plus de poids sur l'avenir réel de la zone euro qu'une prétendue faillite de la Grêce.De ce côté, rien n'est gagné et chaque citoyen doit bien comprendre qu'en 2010,(plutôt 2012)les faillites des Etats peuvent revenir à l'ordre du jour.Avisé,j'attends (non pas que j'en retire une quelconque joie mais seulement que j'espère une crédibilité d'action)une baisse drastique des avantages sociaux et des déficits étatiques qui ne sont plus supportable dés que le chômage grimpe en période d'augmentation du nombre de retraité.Nous sommes témoins d'une transformation radicale du monde avec une normalisation des valeurs des choses.Est il normal que 70 loyers suffisaient à rembourser un bien en 70 et que de nos jours il en faille 268 en moyenne ?
        Je m'attends à une baisse de valeurs des biens, qui devrait s'accompagner d'une baisse des salaires (de façon direct ou indirecte par augmentation des taxes)d'ou un schéma à la japonaise.Ne pensant pas nos politiques capable d'agir comme il faut, je pense que nous rencontrerons rapidement (entre 1 et 3 ans maximum) le cruel mur de la vérité comptable contre lequel deux options verront le jour:
        -soit proposer des obligations d'Etat à des taux importants (comme en 1985 environ)
        -soit on spolie les économies présentes dans les banques ne france pour repartir sur de bonnes bases; sachant qu'une telle spoliation peut avoir lieu dans plusieurs pays de la zone en même temps.
        Il va de soi qu'une guerre des taux va avoir lieu au niveau mondial et que nos hommes politiques seront contraint de proposer des clauses protectionnistes contre la chine et que cette dernière essaiera probablement de jouer les pays de la zone euro les uns contre les autres pour retarder le moment ou on imposera au yuan une revalorisation.

        La grêce est probablement l'arbre qui cache la forêt meme si les économies drastiques sur le montant des retraites et la gabegie de la fonction publique peut être considéré comme une première étape d'un mouvement plus général aux autres pays.
        Croyant intimement aux chiffres réels de la démographie,le monde moderne n'a jamais été dans pareille situation ou les chocs monétaires, budgétaires et démographiques s'amplifient et s'imbriquent autant.quelques décennies plus tôt, des guerres se seraient imposées aux dirigeants dépassés.Espérons que l'humanité à progresser.

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        • #5
          Beaucoup plus grave que la Grêce mais beaucoup moins politiquement correct.Pour moi, il s'agit là d'une possibilité beaucoup plus grave d'éclatement de l'euro.

          Quelle retraite ?



          jeudi 11 février 2010
          La Cour des comptes craint une réduction du niveau de protection ou une augmentation des prélèvements


          Dans son dernier rapport, la Cour des comptes montre que « Le déficit public atteint un niveau sans précédent en temps de paix et la dette s’emballe », dépassant tous les repères qui avaient été fixés pour les encadrer.

          Ce travail, préparé sous la supervision de Philippe Seguin, décédé début janvier, dresse un réquisitoire implacable, notamment en matière de gestion des comptes sociaux. Cinq ans après le rapport Pébereau sur la dette publique française, il montre comment la situation continue d’empirer et que l’encadrement du déficit de la sécurité sociale a été contourné.

          Ci-joint quatre extraits frappants, pour ceux qui n’auraient pas le temps de lire ce rapport.

          La Loi de financement de la Sécurité sociale (LFSS) « pour 2009 prévoyait un déficit de 10,5 Md€ pour le régime général. Bien que la commission des comptes de la sécurité sociale ait révisé ce montant de presque 10 Md€ à la hausse en juin et que d’autres modifications soient intervenues ensuite, aucune loi n’a rectifié ce déficit jusqu’à la loi de financement pour 2010, en décembre 2009, qui l’a alors, seulement, porté à 23,5 Md€. » (p.11)

          La LFSS pour 2009 a fixé un plafond aux avances de trésorerie permettant à l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale (ACOSS) de compenser les décalages entre ses dépenses et ses recettes. Fixé initialement à 19 Md€, il a été porté en cours d’année à 29 Md€ par un décret du 29 juillet 2009. Le code prévoit que ce plafond peut être relevé, par décret en cas d’urgence. Mais, comme la Cour des comptes l’a souligné dans son rapport de septembre 2009 sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale, « cette autorisation de recours à l’emprunt ne vise normalement que les besoins de trésorerie infra-annuels. Or, les ressources actuelles de trésorerie du régime général couvrent un déficit qui n’a aucune chance d’être résorbé sans mesures structurelles d’ajustement, compte tenu de son ampleur. Le recours à ces avances est donc inadapté. » (p.12)

          « La situation financière de l’ACOSS deviendra rapidement intenable (…) Si les comptes sociaux ont souvent été déficitaires, des projections pluriannuelles décrivaient jusqu’ici une trajectoire de retour à l’équilibre, même si elles reposaient souvent sur des hypothèses optimistes. Avant la crise, la réduction du déficit de l’assurance maladie obtenue entre 2004 et 2008 et la possibilité d’un transfert de cotisation de l’assurance chômage à l’assurance vieillesse donnaient une certaine crédibilité à cette perspective de retour à l’équilibre qui est désormais caduque. » (p.12)

          Le maintien du déficit à un tel niveau remet en cause le principe de base selon lequel la solidarité est assurée, dans un régime par répartition, par un équilibre annuel entre les cotisations et les prestations. En reportant le financement des prestations versées aujourd’hui sur les actifs des générations futures, l’endettement des régimes sociaux leur fera supporter une charge indue qui s’ajoutera aux coûts résultant d’une population vieillissante. A un tel niveau de déficit, l’équilibre ne pourra être rétabli sans une remise en cause du niveau de protection sociale ou sans une forte augmentation des prélèvements sociaux. » (p. 14)

          Source : Cour des comptes, Rapport public annuel 2010, 1ère partie : observations des juridictions financières, février


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          • #6
            Aujourd’hui, j’ai franchement l’impression de revivre les moments qui ont précédé l’explosion du SME. Le Mur de Berlin venait de tomber, les enjeux de la reconstruction allemande était d’une telle divergence avec ceux du reste de l’Europe qu’ils avaient conduit le chancelier Kohl a proposer au président Mitterrand une sortie du DMark du SME.
            Du refus français d’accepter cette proposition est né la période de taux supérieure à 10%, freinant la dynamique économique et créant une période de vive instabilité.

            La situation actuelle me conduit à m’interroger sur l’issue du bras de fer qui est désormais engager entre la locomotive allemande qui a instauré au sein même de sa constitution l’équilibre budgétaire et des républiques toutes plus laxistes les unes que les autres qui n’ont d’autres réponses à la problématique actuelle que la création de nouveaux impôts.

            Comment mieux illustrer cette divergence de vue entre l’Allemagne et la France qu’au travers des déclarations de notre ministre des finances avec la position défendue par la chancelière allemande.

            Nous sommes ici sur Invest-AT, portail qui se veut dédié aux enjeux moyen long terme qui se posent aux investisseurs que nous sommes tous, même si nous aimons trader à court terme avec quelques milliers d’euros.

            Nous sommes je pense tous concerné par les choix stratégiques qui vont être fait par nos politiques et même si à court terme nous savons que l’économique prend souvent le pas sur le politique, nous sommes tous conscient que nous devons l’indépendance énergique de notre pays aux choix stratégiques qui ont été fait en leur temps par un homme au combien visionnaire qui était allé jusqu’à installer un compteur dans ses appartements privés pour payer sa propre électricité. Nous voici bien loin me direz-vous des abus que nous révèle chaque année la cour des comptes et qui devrait plus révolter nos concitoyens que le niveaux des profits d’une entreprise qui paye 33% d’impôts sur son résultat.

            Si cette file de discussion est là aujourd’hui, c’est pour vous donner la parole sur ce sujet d’une importance vitale pour notre avenir : La zone Euro va-t-elle exploser ?

            S’agit-il d’une fiction ou y a-t-il un réel risque ?

            A vous la parole / ……..
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            • #7
              Ce qui est etonnant dans la declaration de Christine Lagarde au FT, c est qu elle pointe du doigt le seul bon eleve de l Europe - l Allemagne - et elle reste comprehensive envers les pays qui n ont pas de disciplines budgetaires ! Serait elle en train de craindre que la France, des cet automne, subisse les foudres des agences de notations, avec pour consequence la perte du AAA ? Elle applique sans doute la regle des operateurs - ayons raison avec tout le monde et ayons tord avec tout le monde -. Donc si toute l Europe est mal en point il sera aise de niveller par le bas mais il est vrai que l Allemagne avec sa bonne gouvernance aussi bien democratique qu economique fait tache dans le panorama general.
              Et si l Allemagne sortait de l Euro et retrouvait le DM, si chere a sa population, et fatigue de trainer les mauvais eleves derriere elle?

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              • #8

                Bonsoir à tous.

                oui je pense qu'il y a un risque important d'èclatement de la zone euro.

                les allemands ont payer un lourd tribu pour leur reconstruction avec l'est et je comprend très bien qu'ils n'aient pas l'envie d'avoir à payer les dettes des états laxistes de l'union.

                une constitution économique de type allemand devrait etre la solution et l'exemple à suivre.

                l'euro ne doit pas disparaitre pour sa stabilité contre une inflation trop forte mais doit etre gérer par des personnes plus pragmatiques car les taux actuels sont trop hauts pour soutenir une reprise européenne bien trop lente.

                l'euro est encore trop cher, il comporte un coté protecteur je pense mais paralyse certains pays dans l'export actuellement.

                constat : la plupart des états européens sont gérés par des incompétents

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                • #9
                  @ milken & inzair ,

                  Selon vous donc, ce ne serait pas une fiction et le risque est bien réel.
                  Merci de vos contributions
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                  • #10
                    Vous en faite notre bonne serpillère belge ( Van rompuy)va gommer les différents !

                    Sérieusement, je ne pense pas que l'Allemagne pourra se priver de la zone euro avec tout les avantages que cela comporte , il y a certes des inconvénients mais qui n'en connait pas !
                    Site d'aide à l'investissement et initiation à l'analyse technique en belgique : http://www.belgian-investor.be

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                    • #11
                      @ ludo_est_ici,

                      Certes Herman Van Rompuy manque de toute évidence de charisme, mais au fond n’est pas voulu pour éviter de faire de l’ombre aux différents leaders des pays qui constituent l’Europe ?
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                      • #12
                        clairement , mieux vaux rester derrière le rideau pour manipuler la marionnette !

                        tient croc je suis resté éveiller pour lire la suite du post sur pro AT !! suis pas déçu ! vivement demain !!

                        je préfère mettre mes analyses swing trading action sur pro at car il semble y avoir plus de passages !

                        Mais je dois les poster ici, dis le moi !
                        Site d'aide à l'investissement et initiation à l'analyse technique en belgique : http://www.belgian-investor.be

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                        • #13
                          Bonjour.

                          L'Europe est très jeune, rien n'est acquis vu la crise et les pressions protectionnistes qui font se concentrer les pays de plus en plus sur leurs intérêts individuels.

                          Ce n'est pas l'avantage incontestable de l'euro comme monnaie de référence par rapport au reste du monde qui est à craindre, mais bien les divergences de régime de plus en plus criantes au sein de celle ci, et c'est sans doute en effet un bon parallèle avec le SME.

                          Franchement, il faudrait s'appeler Mme Irma pour prévoir l'avenir ou soutenir un point de vue sur le sujet, non?
                          Mais disons qu'à mon sens il faut surtout se concentrer sur la pondération dans l'euro des pays qui le constituent, cf tableau de Roque à ce sujet dans une précédente analyse. Je ne pense pas que la Grêce, qui pèse 2%, menace la stabilité de l'Euro. C'est bien la France, l'Espagne, l'Italie et l'Allemagne, le coeur de la zone, qui doivent trouver un moyen de converger vers des objectifs communs.
                          Si on continue de diverger de cette manière, la disparition de l'euro, quoiqu'à mon avis improbable, ne serait pas à écarter.
                          Il faudrait l'analyse de quelqu'un qui comprenne bien les mécanismes qui lient les économies des Etats les unes aux autres à cause de la monnaie unique, et d'autre part la part de liberté et d'autonomie de ces Etats.

                          Question : que se passera t-il si l'euro se maintient, mais que chaque pays joue pour soi et laisse les autres se débrouiller avec leurs déficits, et une BCE qui braille sur les critères de Maastricht sans être entendue?
                          Que se passe t-il si on attend trois ans de plus, et que la France, la Grèce et l'Italie sont à 150% de leur PIB en dette et des déficits annuels de 12%, avec de l'autre côté quelques bons élèves comme l'Allemagne, et qui refusent de venir en aide à leurs voisins? Des notes AAA pour certains pays de la zone, d'autres BB avec des taux d'intérêts triples ou pire, pour d'autres pays.
                          Cette situation (vers laquelle on se dirige!) peut-elle perdurer?
                          Si la crise est profonde, on va avoir des révoltes populaires bloquant les efforts de rigueur des gouvernements. Verra t-on alors l'europe rendre la souveraineté aux pays victimes pour qu'ils sortent de l'euro et dévaluent leur monnaie redevenue locale? Oui, mais...ils ont emprunté en quelle monnaie? Donc leur sortie de l'euro changerait quoi? Pas grand chose non? Si la France sort et récupère le Franc, elle rembourse en quoi, en francs? Je ne crois pas. Il faudrait qu'on rembourse dans les monnaies de référence, donc la solution me semble rester dans l'euro, non?
                          La seule solution serait d'émettre des centaines de milliards d'euros via la BCE pour rembourser les dettes, non? (si les politiques de rigueur échouent face à un soulèvement populaire, grêves massives, etc...). Ce que font, en fait, les USA.
                          Une montée de l'or, et un remboursement parallèle des dettes US et Européennes en monnaie de singe, me paraît le scénario le plus probable.

                          Voila amhha, mais je laisse la parole aux vrais économistes du forum.

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                          • #14
                            Citation de Crock
                            Pour avoir vécu les tensions monétaires de 1992 et l’éclatement du SME de l’époque, je puis vous assurer que dans ce petit jeu là, les décisions de nos politiques peuvent parfois peser très lourd et le fait de défendre des dogme comme celui du franc fort de l’époque peu avoir des conséquences tout à fait désastreuses sur l’économie.

                            Tout à fait d'accord mais réponses économiques de haut niveau. Pour ceux d'en bas,la masse, pourrais-tu nous rappeler ce que cette 'conséquence désastreuse sur l'économie" a eu comme conséquence sur la vie du citoyen lambda. La crise de 1929, je vois, des files de personnes faisant la queue à la soupe populaire, mais j'avoue ne plus me rappeler des conséquences de la crise de cette époque et de celles de la grève d'un mois en 69, un mois c'est ENORME, et je ne me souviens plus. Devient-on amnésique, ou n'y en a-t-il que peu pour le citoyen de base, moins par rapport à pas beaucoup , ça fait peu ?

                            Qu'envisagez-vous comme conséquences visibles pour la masse cette fois-ci ?

                            Bizarre comme question me direz-vous, mais c'est celle que l'on me pose et en faisant référence au passé je ne sais pas quoi répondre, je n'ai pas un mauvais souvenir de l'inflation, appartement payé en quelques années !!! Alors ?
                            Ichimoku d'un seul coup d'oeil .......................mais de tous côté

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                            • #15
                              Bonsoir à tous,
                              D'accord avec Angle sur le fait que l'inflation des années 80 ne m'a pas laissé un mauvais souvenir, MAIS à l'époque les salaires allaient plus vite que l'inflation qui essayait de rattraper les salaires, etc ...
                              De tête pour 12 % d'inflation j'avais des augmentations de salaires de 10 % ... tous les 6 mois.
                              Les cartes ne sont plus les mêmes aujourd'hui et quand Lagarde se plaint de baisse du prix de revient du travail en Allemagne c'est surement parce qu'elle a les b... de pas pouvoir envisager, même en rêve, de faire de même en France.
                              Et ainsi va l'Europe depuis le début, c'est bien pour cela que je ne pense pas à un éclatement de la zone euro car finalement on a besoin tous les uns des autres (on est à la fois clients et fournisseurs de nos partenaires européens) et je vois mal qui oserait ouvrir la boite de Pandore en premier.
                              Maintenant cela n'empêche pas de faire de l'intox pour faire monter les enchères (l'eurogroupe qui prépare un moyen d'aider la Grèce sans que la Grèce ne le demande officiellement mais après que son premier ministre vienne de faire un tour du monde) ou baisser l'euro (laisser courir les bruits de défaut de cette même Grèce).
                              Bref beaucoup d'intox quand même.

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