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  • Citation de : eric_delage (au 24-03-2009 17:36:46)

    Je ne sais pas si vous avez remarqué l'agitation dans les médias UK autour d'une soi-disant menace terroriste qui pourrait frapper la GB à coup d'engins chimiques/nucléaires à l'occasion du G20.

    Le discours m'a tellement étonné que je me suis d'emblée demandé si le gouv anglais tentait de faire croire au complot terroriste pour justifier un renforcement de la sécurité. Un renforcement de la sécurité en vue d'autres problèmes à venir plutôt liés à la situation éco du pays peut-être ...

    C'était juste pour partager une réflexion...
    Vous pouvez retourner trader




    Serge et Boris étaient déja sur le coup !

    http://www.wat.tv/video/serge-reggiani-java-bombes...

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    • En gros ouf il n'y aura pas de dépression parce qu'ils ont sauvé AIG ! OUFFF !

      (accessoirement c'est même plus le Président of the United States qui dit je veux ... c'est la FED et le Ministère des Finances ! Allez Lagourde à ton tour ...)

      USA: le Trésor et la Fed veulent une réforme profonde de la régulation financière

      Mis en ligne le 24/03/2009 à 17h32

      WASHINGTON (AFP)

      Le président de la Réserve fédérale américaine Ben Bernanke et le secrétaire au Trésor Timothy Geithner ont plaidé mardi en faveur d'une "réforme complète de la régulation", pour mieux contrôler les institutions présentant un risque pour l'ensemble du système financier.
      "Le gouvernement et le Congrès doivent travailler ensemble pour instaurer une réforme complète de la régulation et combler les lacunes existantes en matière de contrôle" des institutions financières, a déclaré M. Geithner devant la commission des services financiers de la Chambre des représentants.
      "Toutes les institutions et les marchés qui pourraient poser un risque pour l'ensemble du système seront soumis à un contrôle fort, passant notamment par l'imposition de contraintes idoines relatives à la prise de risque", a ajouté M. Geithner lors de cette audition consacrée au sauvetage de l'assureur AIG.
      "Nous devons faire en sorte que notre pays ne se retrouve jamais face à une situation" comme celle où se sont trouvées les autorités en septembre lorsqu'elles ont dû sauver in extremis AIG, qui menaçait de s'écrouler.
      "Les régulateurs doivent faire respecter des normes, pas seulement dans le but de protéger le caractère sain d'institutions individuelles, mais pour protéger la stabilité du système dans son ensemble", a-t-il ajouté.
      Pour le ministre, il faut "créer une nouvelle autorité dotée d'un pouvoir de liquidation de manière que le gouvernement fédéral dispose des outils dont il a besoin pour défaire une institution de la taille et de la complexité d'AIG".
      L'assureur, qui a dû être sauvé de la faillite par l'Etat moyennant plus de 170 milliards de dollars, n'était supervisé que par le bureau des assurances de l'Etat de New York, alors qu'il était actif dans le monde entier.
      La nécessité d'une refonte du système de régulation financière américain est apparue de manière criante après l'explosion de la crise des crédits immobiliers à l'été 2007. La question sera au coeur des débats des chefs d'Etat des grands pays industrialisés et émergents du G20, le 2 avril à Londres.
      Le prédécesseur de M. Geithner, Henry Paulson avait présenté en avril 2008 son propre projet. Relégué ensuite au second plan par la nécessité de lutter d'abord contre la crise, le chantier n'a pas avancé, mais le président Barack Obama a assuré que cette réforme était l'une de ses priorités.
      M. Geithner doit revenir témoigner jeudi devant la commission pour exposer ses plans de manière plus détaillée.
      M. Bernanke a notamment estimé comme M. Geithner que le cas d'AIG témoignait "d'un besoin urgent de nouvelles procédures de liquidation pour les sociétés financières non bancaires", sur le modèle de ce qui existe pour les banques.
      Revenant sur le scandale provoqué par le versement de 165 millions de dollars de primes à des cadres d'AIG, M. Bernanke a jugé "complètement déplacé de verser des bonus élevés à des employés de la division qui a été la source de l'effondrement" de l'assureur, mais a affirmé ne pas avoir eu les moyens légaux de les empêcher.
      MM. Bernanke et Geithner ont répété que les autorités n'avaient pas eu d'autre choix que de se porter au secours d'AIG en septembre vu l'imbrication de cette entreprise dans le système financier mondial.
      "Sa faillite aurait pu déboucher sur une crise économique et financière mondiale du type de celle des années 1930 au conséquences catastrophiques pour la production, les salaires et l'emploi", a déclaré M. Bernanke.

      source : http://www.lalibre.be/toutelinfo/afp/230738/usa-le...

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      • Citation de : Bernie_Bruxelles (au 24-03-2009 18:01:41)

        En gros ouf il n'y aura pas de dépression parce qu'ils ont sauvé AIG ! OUFFF !

        (accessoirement c'est même plus le Président of the United States qui dit je veux ... c'est la FED et le Ministère des Finances ! Allez Lagourde à ton tour ...)


        Ben a un avantage sur Lagourde, c'est que la FED est un organisme privé !!!!!!!!!!!

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        • Bao Tong: Absolute power of the Party will suffoca...
          Bao Tong: Absolute power of the Party will suffocate the people and the economy

          by Bao Tong
          A message from the leading pro-democracy dissident to the delegates of the National People’s Congress, which met today. The economic stimulus passed by the government needs oversight in order to avoid corruption, the impoverishment of migrant workers, pollution, and waste of resources. It is time to put limits on the absolute power of the Party, and to reevaluate the Tiananmen movement, wiped out by the violent massacre in 1989.


          To the National People’s Congress:

          I would like to make three suggestions to the National People’s Congress currently in session.

          I.

          The rural population makes up two thirds of our country. 70% of the income of this rural population comes from migrant work. In this economic crisis, rural migrant workers are the social group suffering the most from unemployment. However, some in the state administrations have come up with the policy idea of “saving only ‘advanced production’ and abandoning ‘not-so-advanced production,’” with their decision to “upgrade industry” [teng long huan niao: empty the cage for new birds]. This idea was formed under the influence of the “important thoughts of three represents.”[1]

          The duty of a government is to maintain social justice and to be fair to all legal enterprises and all work forces according to the law. I plead with the NPC to order all levels of state administration to continue to protect (labor-intensive) village and township enterprises and to do their very best to help rural migrant workers who have lost their jobs; significantly reduce the amount of funds directly controlled by state administrations (especially funds allocated to Communist Party administrations), so that these resources can be channeled to consumption funds, especially rural. The goal is to end the abnormal situation of “rich state vs. poor people” and the huge income gap between urban and rural areas. Only if an effort is made towards reaching this goal can China materialize the much desired domestic market. If 800 million rural residents are without decent purchasing power, there will be no significant domestic market. Without elevating the income levels of rural residents or rural migrant workers, that is, the purchasing power of the largest sector of society; the so-called policy of “stimulating the domestic market” will surely be misguided.

          ...

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          • L’US $ est une monnaie privée

            On ne peut comprendre la crise financière actuelle, ni les rapports de force internationaux, sans tenir compte du caractère privé de la Banque centrale des États-Unis (la « Fed »). C’est elle, c’est-à-dire un consortium de banques privées, et non le gouvernement de Washington qui édite les billets verts.

            Les manipulations du système monétaire et du système des changes provoquent le scandale le plus important de notre époque. Pour la première fois, l’escroquerie monétaire atteint des dimensions mondiales, parce qu’elle a lieu effectivement dans le monde entier, qu’aucun gouvernement ne peut plus la contrôler ni la stopper ou l’empêcher et que, formellement, elle a même lieu légalement en raison de lois désuètes.

            L’étape décisive dans la rupture avec la monnaie d’Etat a été la fondation, en 1913, du Système fédéral de réserve des Etats-Unis. Dès la fin du XIXe siècle, les banques sous la coupe de l’empire Rotschild ont lancé une grande campagne pour prendre le contrôle de l’économie des Etats-Unis. Venant d’Europe, les Rotschild ont financé la Banque J.P. Morgan & Co., la Banque Kuhn Loeb & Co., John D. Rockefellers Standard Oil Co., les chemins de fer d’Edward Harriman et les aciéries ­d’Andrew Carnegie.

            Aux environs de l’an 1900, les Rotschild ont envoyé aux Etats-Unis un de leurs agents, Paul Warburg, pour coopérer avec la Banque Kühn Loeb & Co. Jacob Schiff et Paul Warburg ont lancé une campagne visant à instaurer des « Federal Reserve Banks » (FED), instituts privés d’émission. Appuyés par les deux grands groupes financiers Rotschild et Rockefeller, ils sont parvenus à fonder une banque centrale privée ayant le droit d’émettre sa propre monnaie, moyen légal de paiement garanti à l’origine par l’Etat. L’instauration de la FED en 1913 a permis aux banquiers internationaux de raffermir leur puissance financière aux Etats-Unis. Paul Warburg a été le premier président de la FED.

            Le XVIe amendement de la Constitution états-unienne, qui a permis au gouvernement de prélever un impôt sur le revenu, a suivi la fondation de la FED. Telle était la conséquence du fait que le gouvernement ne pouvait plus émettre sa propre monnaie. Ainsi, les banquiers internationaux faisaient indirectement main basse sur le patrimoine privé des citoyens états-uniens. A l’époque, les plus importants actionnaires de la FED étaient :

            1. Les banques Rothschild de Paris et de Londres
            2. La Banque Lazard frères de Paris
            3. La Banque Israel Moses Seif en Italie
            4. La Banque Warburg à Amsterdam et à Hambourg
            5. La Banque Lehmann à New York
            6. La Banque Kuhn Loeb & Co. à New York
            7. La Banque Rockefeller Chase Manhatten à New York
            8. La Banque Goldman Sachs à New York.

            Après la Première Guerre mondiale, les réserves d’or mondiales ont été accumulées dans cette banque privée qu’était la FED, de sorte que de nombreuses banques centrales n’ont plus pu maintenir l’étalon-or et que leur pays a sombré dans la déflation – la première crise économique mondiale. Même pendant la Guerre mondiale, les Etats-Unis ont exigé des pays en guerre qu’ils paient les armements livrés en or. Après la fin de la guerre, l’or de l’Allemagne a dû aussi être cédé comme butin de guerre. A elles seules, plus de 30 000 tonnes d’or du monde se sont ainsi accumulées aux Etats-Unis. Cet or a servi de couverture au dollar. Toutefois, comme une grande partie des dollars étaient détenus dans les banques centrales étrangères comme réserves monétaires, les Etats-Unis ont pu imprimer et dépenser davantage de dollars qu’ils n’avaient d’or. En effet, les autres pays avaient besoin de dollars pour acheter des matières premières, traitées uniquement en cette monnaie. Outre l’or, le dollar est donc devenu de plus en plus une des réserves monétaires principales des banques centrales étrangères. Le règne du dollar dans le monde avait commencé.

            En 1971, Richard Nixon (37e président des Etats-Unis de 1969 à 1974) a résilié l’obligation de convertir le dollar en or (l’étalon de change-or) et, simultanément, la garantie de l’Etat à propos du dollar. Depuis lors, le billet vert n’est couvert ni par l’or ni par une garantie de l’Etat ; il s’agit donc de la monnaie privée libre de la FED. Or la masse monétaire de dollars en circulation déterminée par la FED (depuis mars 2006, celle-ci ne publie plus le chiffre de la masse monétaire M3) est devenue un problème insoluble : pendant que la masse mondiale de biens quadruplait au cours des 30 dernières années, la masse monétaire s’est multipliée par quarante.

            Comment fonctionne cette banque privée qui a le droit d’imprimer des dollars ? La FED produit des dollars. Ceux-ci sont prêtés au gouvernement des Etats-Unis contre des obligations qui servent de « sûretés » à la FED. Les banques de la FED qui détiennent ces titres perçoivent des intérêts annuels. Astucieux, n’est-il pas vrai ? Dès 1992, les obligations détenues par la FED avaient une valeur de quelque 5 trillions de dollars, et les intérêts payés par les contribuables états-uniens augmentent constamment. La FED s’est appropriée ce patrimoine incroyable en prêtant de l’argent au gouvernement états-unien et en encaissant alors des intérêts. La contre-valeur : du papier de couleur, nommé dollar.

            Répétons-le : le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l’argent et, en contre-partie, encaisse largement des intérêts et prélève des impôts. Personne ne remarque cette duperie. De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens-fonds des Etats-Unis. De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu’à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel (« Executive 0rder 11110 »). Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignement. Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d’annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l’avion présidentiel.

            Et aujourd’hui ? Les banques privées tentent par tous les moyens de maintenir et d’assurer leur gigantesque source de revenu qu’est le dollar. Les Etats qui veulent nouer leurs relations commerciales internationales sur la base de l’euro, tels l’Irak, l’Iran ou le Venezuela, sont déclarés terroristes. Les gouvernements sont forcés de livrer des produits aux Etats-Unis contre des dollars sans valeur, et l’augmentation effrénée de la liquidité fournit à la haute finance les liquidités illimitées avec lesquelles elle peut acheter dans le monde entier. Les banques centrales du monde entier sont forcées de détenir des dollars sans valeur comme « réserves monétaires ». Le dollar des Etats-Unis est la monnaie privée de la haute finance, garantie par personne si ce n’est par elle-même, utilisée pour maximiser le profit, accrue sans vergogne, employée comme moyen de domination mondiale et pour accaparer toutes les ma­tières premières et autres valeurs au monde.



            Source : Internationaler Hintergrundinformationsdienst für Politik, Wirtschaft und Wehrwesen, juillet-août 2007.

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            • Citation de : agios (au 24-03-2009 17:23:14)

              Déclaration gazière Ukraine-UE : Moscou menace de réviser ses relations avec Bruxelles



              Ca chauffe entre Chine et occident, entre Russie et UE
              Tiens donc, les saoudiens n'ont rien à dire? Zont trop d'intérêts aux states sans doute.
              Et les Indiens, Brésiliens, ils sont sagement à attendre qu'on leur dicte le Nouvel Ordre Mondial?

              Commentaire


              • Le couple sino américain, moteur de la dé mondialisation, par Jean-Claude Werrebrouck

                http://www.contreinfo.info/article.php3?id_article=2608

                Commentaire


                • au regard des commentaires entendus lors du règlement par AIG de quelques Bn$ à des banques "étrangères" (SG, Barclays,...)...s'ils prennent le pouvoir sur les institutions "non-bancaires"....:

                  La prochaine fois...ils payent ou ils bloquent..????

                  Commentaire


                  • Qui détient quoi sur les 6800 milliards de dollars accumulés en réserves de change ?

                    mardi 24 mars

                    With the US monetary base expanding at a breathtaking pace and nations around the world worrying about the value of their US holdings, the dollar looks virtually guaranteed to lose its status as the international reserve currency. This begs the question : how big a deal is the loss of the dollar’s reserve status ?

                    To answer this question, lets first calculate just how large are the dollar holdings of foreign governments. From the CIA’s world Factbook, below is a ranking of countries by reserves of foreign exchange.

                    1 China $1,534
                    2 Japan $954
                    3 Russia $476
                    4 India $275
                    5 Taiwan $275
                    6 Korea, South $262
                    7 Brazil $180
                    8 Singapore $163
                    9 Hong Kong $153
                    10 Germany $136
                    11 France $116

                    (...)

                    Sources Marketskeptics

                    Référencehttp://contreinfo.info/breve.php3?id_breve=5811

                    Commentaire


                    • USA : très pessimistes, les professionnels du secteur immobilier s’attendent à un taux de chômage entre 10 et 12%

                      mardi 24 mars

                      Unemployment will peak between 10 percent and 12 percent, according to professional real estate investors informally polled this week.

                      “The job market will be the last piece of this to recover,” said economist Sam Chandan, a panelist at the quarterly meeting of the Real Estate Investment Advisory Council. REIAC members were polled on questions including where unemployment will top out ; 64 percent said it could go as high as 12 percent.

                      Their response came hours after the state Labor Department said joblessness in Georgia hit 9.3 percent in February. “Very few people are leaving their current work voluntarily,” adding to job hunters’ woes, Chandan said.

                      In another poll question, 39 percent of REIAC members said the economy will not turn around until the second half of 2010 or early 2011.

                      Egbert Perry, chairman and chief executive of the Integral Group, said about 70 percent of option adjustable rate mortgages have yet to reset, so “the tsunami is still coming.”

                      (...)

                      Sources Atlanta Journal

                      Référencehttp://contreinfo.info/breve.php3?id_breve=5812

                      Commentaire


                      • citation]Citation de Fujisan: Tiens donc, les saoudiens n'ont rien à dire? Zont trop d'intérêts aux states sans doute.
                        Et les Indiens, Brésiliens, ils sont sagement à attendre qu'on leur dicte le Nouvel Ordre Mondial?[/citation

                        C´est bien ce que que je voulais faire remarquer quand le président des Etats-Unis, aprés avoir fait savoir par sa diplomatie qu´ils intégraient le multilatéralisme, parle "d´assumer leur leadership", ou c´est une de plus contre les Chinois, ou d´une sorte de méthode Coué
                        qui frise l´inconscience, en gros les malades au chevet des malades, voir plus bas

                        NYT: Obama Selling His Economic Plan on the Airwaves, Again

                        "The president believes that a continued dialogue with the American people about where we are and where we’re going is necessary, certainly in times like this, to give people a sense of what we’re doing and a sense of where we’re going — that they may or may not like all the decisions that he makes, but I think he believes it’s important that they understand why he’s making the decisions that he is,” Robert Gibbs, the White House press secretary, said on Monday."


                        Commentaire


                        • Citation de : Hug (au 24-03-2009 20:00:23)

                          Fed to start buying Treasurys on Wednesday






                          C'été pas "que" 300 Mds??

                          Commentaire


                          • L'euphorie engendrée par le N éme plan américain sur les banques aura été de trés courte durée : la crise est donc loin d'etre finie ! La volatilité est telle que pour prendre suffisamment de recul , je regarde sur le CAC en données de quinzaines le croisement de la MM15 expon. et de la MM30 et je pense que nous pourrons avoir dans ce croisement un signal favorable pour les investisseurs à long terme . Mais pour l'instant nous en sommes sans doute encore loin .

                            Cliquez pour agrandir

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                            • Travailler c'est trop dur
                              Folklore acadien (arrangement Zackary Richard 1978)

                              Travailler, c'est trop dur, et voler, c'est pas beau.
                              D'mander la charité, c'est quéqu'chose j'peux pas faire.
                              Chaque jour que moi j'vis, on m'demande de quoi j'vis.
                              J'dis que j'vis sur l'amour, et j'espère de viv' vieux !

                              Et je prends mon vieux ch'val, et j'attrape ma vieille selle
                              Et je selle mon vieux ch'val pour aller chercher ma belle.
                              Tu connais, c'est loin d'un grand bout d'là, de Saint-Antoine à Beaumont
                              Mais le long du grand Texas, j'l'ai cherchée bien longtemps.

                              Et je prends mon violon, et j'attrape mon archet,
                              Et je joue ma vieille valse pour faire le monde danser.
                              Vous connaissez, mes chers amis, la vie est bien trop courte
                              Pour se faire des soucis, alors... allons danser !

                              Travailler, c'est trop dur, et voler c'est pas beau.
                              D'mander la charité, c'est quéqu'chose j'peux pas faire.
                              Chaque jour que moi j'vis, on m'demande de quoi j'vis,
                              J'dis que j'vis sur l'amour, et j'espère de viv' vieux !



                              My name is Monde, Ray Monde

                              Commentaire


                              • le G20....ca pourrait bien être un bel échec....avec tous les interêts divergents...et les financiers US qui ne revent que de recommencer un délire,quand l Europe crie "Stop"....

                                les US,c est la fuite en avant avec l argent des chinois qui crient "stop" aussi

                                Brown qui a ruiné son pays,en médiateur.....

                                en fait,la scène est assez surréaliste....))

                                mais bon,le show continue devant les médias et les marchés,qui veulent juste encore quelques trillions de relance....et de rachat de dettes pourries

                                Commentaire

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