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Le Monde OGM selon Monsanto
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  • Le Monde OGM selon Monsanto

    Le Monde selon Monsanto

    Un nombre important d'associations (entre autre Attac, Greenpeace, Les Amis de la Terre, la Confédération Paysanne, Inf'OGM, Via Campesina, Sciences citoyennes, Sherpa, Editions la Découverte) se sont engagés pour la diffusion du film

    "Le monde selon Monsanto,
    de la dioxine aux OGM,
    une multinationale qui vous veut du bien"


    de Marie-Monique Robin.

    C'est une enquête rigoureuse et approfondie sur une multinationale productrice de l'agent orange, de la dioxine, de l'hormone de croissance, du Round Up et des OGM. Les résultats de l'enquête, menée depuis quatre ans, sont implacables.

    Nous vous invitons à faire circuler l'information dans tous vos réseaux, à soutenir ce film et le livre (plus complet) qui va paraître aux Editions de la Découverte le 6 mars.

    La réalisation du film et sa diffusion ne sont pas du goût de
    Monsanto, qui dispose de nombreux moyens de pression et n'hésite pas à se débarrasser de ses opposants, d'une manière ou d'une autre comme
    l'illustre le film. Ainsi sa diffusion la plus large possible sera une première garantie pour la réalisatrice et l'avenir du film.

    Le DVD va être disponible dès le 11 mars en exclusivité sur arteboutique.com et dans les magasins Nature et Découverte.

    vidéo visible quelques jours sur le site de ARTE :

    http://plus7.arte.tv/fr/streaming-ho...0-1930194.html

    Au moment où est discutée la loi sur les OGM, c'est un outil précieux !
    D'autres moyens de diffusion et d'action sont en cours de préparation.
    D'ores et déjà, voici quelques liens utiles ci-dessous.


    http://www.rue89.com/2008/02/16/ogm-...eme-la-terreur


    http://www.arte.tv/fr/connaissance-d...o/1912794.html

  • #2
    Bonjour à tous,

    j'ai vu le reportage, et j'ai parcouru pas mal de lectures et de vidéos qui montrent la légèreté de leurs études toxicologiques et la puissance de leur lobby. Ils arrivent à imposer leur produit contre le souhait de la population. Tous cobayes.

    Monsanto c'est aussi :
    - PCB
    - Aspartame

    Commentaire


    • #3
      J'aurais préféré que tu cites mon lien vers le reportage en question

      http://www.pro-at.com/forums-bourse/bourse-Actions...

      Commentaire


      • #4
        De toutes façons, si vous n'aviez pas ouvert la file de Vinçou, c'est moi qui l'aurait fait, car il n'y a rien de tel qui me mette en pétard que les assassins "by approv'man of our Govern' qui-ment"!

        Si on est trois ou quatre, c'est déjà ça, je ne vais pas m'en plaindre.

        Parce que moi j'aime bien les bébés beaux, pas dioxinés, voilà!

        Commentaire


        • #5
          Les effets inquiétants du maïs Monsanto 863

          L'inquiétude de l'opinion face aux OGM a accru l'exigence des essais préliminaires aux autorisations. Depuis moins de deux ans, on sacrifie des rats nourris pendant 90 jours avec du maïs Monsanto 863, génétiquement modifié, pour évaluer son impact.

          Ce maïs produit des protéines insecticides. Les résultats obtenus ont suffisament troublé les membres de la commission du génie biomoléculaire pour qu'elle reconnaisse ne pas être " en mesure de conclure à l'absence de risques pour la santé animale. Parmi les effets biologiques observés, la modification de la formule sanguine, l'augmentation du taux de sucre dans le sang chez les femelles et des anomalies rénales chez les mâles.

          Malgré cet avis défavorable et au vu des mêmes éléments du dossier, l'Afssa a rendu un avis favorable au maïs Monsanto 863, considérant qu'il ne représente pas de risque nutritionnel ! Le comité scientifique européen de l'Efsa (Europeen food safety authority) a également prononcé un avis de mise sur le marché. Inquiétant, non ??

          Source : Alternative Santé n° 312, juin 2004

          Commentaire


          • #6
            http://www.bakchich.info/article2717.html


            Au moins depuis les années 1930, la monopolistique firme du Missouri Monsanto tue des hommes. Etrangement, bien que parfaitement informés, les responsables politiques ne réagissent pas. Aujourd’hui, ce monstre de la « biotechnologie » possède 90 % des OGM cultivés sur la planète. Sur plusieurs années, la journaliste Marie-Monique Robin a mené l’enquête.



            L’entreprise assassine

            Octobre 2006, dans le cadre de ses recherches, Marie-Monique Robin questionne un homme, Alan Gibson, vice président de l’association Vietnam Veterans of America. Le malheureux est sérieusement amoché. Il a « le regard émacié des grands malades en fin de vie. A soixante-sept ans, il en paraît quinze de plus. Installé dans son fauteuil roulant, il me montre les deux jambes qu’il n’a plus. »

            Pourtant, Alan Gibson n’est pas un mutilé de guerre. Le bout d’homme fait partie des multiples victimes de Monsanto et du gouvernement américain de l’époque.

            Le vecteur, c’est l’agent orange, produit par la firme au moment de la guerre du Viêt-nam. De janvier 1962 à 1971, « on estime que 80 millions de litres de défoliants ont été déversés sur 3,3 millions d’hectares de forêts et de terres [vietnamiennes]. Plus de 3 000 villages ont été contaminés et 60 % des défoliants utilisés étaient de l’agent orange, représentant l’équivalent de quatre cents kilos de dioxine pure. Or, selon une étude de l’université de Columbia (New York) publiée en 2003, la dissolution de 80 grammes de dioxine dans un réseau d’eau potable pourrait éliminer une ville de 8 millions d’habitants. » (p. 53)

            A Anniston, à cause de Monsanto, les habitants meurent les uns après les autres. Des années durant, la firme a déversé des PCB (ou polychlorobiphényles), huiles chimiques hautement toxiques, un peu partout dans la ville. « Mon petit frère est mort à dix-sept ans, d’une tumeur au cerveau et d’un cancer des poumons… il est mort parce qu’il mangeait les légumes de notre jardin et le poisson qu’il pêchait dans un cour d’eau hautement contaminé ! Monsanto a fait d’Anniston une ville fantôme » (David Baker, président du comité d’Anniston contre la pollution). Plus loin, Marie-Monique Robin indique que, « selon un rapport déclassifié, établi secrètement en mars 2005 par la Envirenmental Protection Agency (EPA, l’Agence américaine de protection de l’environnement), 308 000 tonnes de PCB ont été fabriqués à Anniston de 1929 à 1971. Sur ce total, 32 000 tonnes de ces déchets contaminés ont été déposés dans une décharge à ciel ouvert, située sur le site même, au coeur de la communauté noire de la ville » (p. 23). Jusqu’en 1971 ! Pourtant, dès 1937, Monsanto savait que les PCB représentaient un grave danger pour la santé. Alors pourquoi continuer à polluer ? A cause d’une idéologie claire, formulée dans un document déclassifié de la firme, « Pollution letter » (daté du 16 février 1970), Monsanto « ne peut pas se permettre de perdre un dollar de business ».



            Suite à une plainte déposée par 20 000 habitants de Anniston en 2001, Monsanto est jugée coupable d’avoir pollué « le territoire d’Anniston et le sang de sa population avec les PCB ». Et condamnée à payer 700 millions de dollars de dommages et intérêts. Mais, regrette David Baker, « aucun des dirigeants de la firme n’a été condamné à de la prison » (p. 39).

            Dans l’affaire de la dioxine qui a décimé la petite ville de Times Beach, Monsanto échappe aux poursuites.

            Mais ne soyons pas trop sévères. Il y eut quelques châtiments. En 1996 à New-York puis en janvier 2007 en France, Monsanto est condamnée pour publicité mensongère. Depuis 1974, elle vendait son cher Roundup ready, (qui a des effets quelques peu néfastes sur les cellules humaines et qui est l’herbicide le plus vendu au monde depuis 30 ans !) comme un produit biodégradable et bon pour l’environnement.
            Des politiques complices

            De 1997 à 2007, les cultures transgéniques se sont étendues sur plus de cent millions d’hectares dans le monde. Et Monsanto possède 90 % des OGM cultivés sur la planète, emploie 18 000 salariés dans une cinquantaine de pays, et ses bénéfices ne cessent de grimper (ils ont atteint le milliard de dollars). De l’autre côté, dans des pays comme l’Inde, le Mexique ou le Paraguay, des millions de paysans subissent déjà les conséquences, lourdes, des OGM (faillite de leur modeste entreprise, étranges maladies de peau constatées chez les enfants qui traversent quotidiennement des champs de cultures génétiquement modifiées…).

            Pourquoi laisse-t-on ce dangereux géant industriel opérer ?

            D’une part parce que, signe de l’ampleur de l’influence de Monsanto, dès qu’un scientifique honnête trouve un résultat qui ne correspond pas aux intérêts de la firme, il est licencié ou banni des cercles de recherche. Le Professeur Ignacio Chapela – par exemple – a eu la mauvaise idée d’écrire un article pas vraiment favorable à la multinationale, publié dans la revue scientifique Nature. Dans son texte, il montre que le maïs que l’on croit sans OGM contient en fait des substances transgéniques, à cause de la contamination génétique. Quand l’article paraît, Ignacio Chapela subit une sacrée campagne de diffamation, orchestrée par Monsanto. Autre exemple, Richard Burroughs, vétérinaire à la Food and Drug Administration (FDA, agence chargée de la sécurité des denrées alimentaires et des médicaments), chargé de réaliser des tests sur l’hormone de croissance transgénique bovine RBGH. Les résultats du chercheur sont décevants pour Monsanto : pour les vaches comme pour les buveurs de lait, le danger est énorme. Il est licencié. Et à partir de 1994, le produit est commercialisé aux Etats-unis.

            D’autre part, à cause de la réglementation américaine en matière d’OGM. Pour ne donner qu’un élément, le principe d’équivalence en substance – même substance entre les plantes génétiquement modifiées et les plantes conventionnelles – est accepté.

            Mais aussi et surtout parce que face aux pressions de la firme, les politiques ne font pas le poids. En 1998, le bureau de Tony Blair fait stopper les travaux trop gênants du scientifique Arpad Pusztai. Dan Glickman, ministre de l’Agriculture de Bill Clinton de 1995 à 2000 avoue quant à lui à Marie-Monique Robin avoir « subi beaucoup de pressions de la part de l’industrie [Monsanto] et de certains membres du gouvernement surtout dans le domaine du commerce extérieur ». L’entreprise finance, en toute légalité, les campagnes électorales des grands partis. Mais plus efficace est « sa capacité d’infiltration dans tous les rouages décisionnels du pays », via le système des « portes tournantes » (chaises musicales) : quatre ministères importants de l’administration W. Bush sont ainsi « tenus par des proches de Monsanto, soit qu’ils aient reçu des subsides de la firme, soit qu’ils aient travaillé directement pour elle ». Parmi ces collaborateurs, citons pêle-mêle John Ashcroft, Tommy Thompson, Ann Venneman, Donald Rumsfeld et Clarence Thomas (p. 178).

            Laissons le mot de la faim à Vandana Shiva, présidente de la fondation Navdanya en Inde. Pour cette militante anti-OGM, le seul but de la « seconde révolution verte », c’est « d’augmenter les profits de Monsanto ». Dès lors que chaque paysan dépendra de cette firme pour chaque grain semé, pour chaque champ cultivé, non seulement l’entreprise empochera quantité de royalties, mais, plus puissante qu’une bombe, elle contrôlera les populations du monde.

            Alors ne craignez rien, Monsanto veille au grain !

            - Marie-Monique Robin, Le monde selon Monsanto - De la dioxine aux OGM, une multinationale qui vous veut du bien, éditions La Découverte, 370 pages (parution : le 6 mars 2008).

            - Les victimes vietnamiennes de l’agent orange ont été déboutées, vendredi 22 février, par la justice américaine. Lire ici la réaction du Courrier du Vietnam (25/02/08) via le site internet Contre Info .

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            • #7
              Commentaires d'un autre forum


              imanol

              19H56 16/02/2008
              Pour informations : Monsanto possède une grosse usine chimique dans la ville d'East Saint Louis (Illinois, USA). Cette ville est peuplé à 99% d'afro-américains et présente un taux de chomage qui frôle les 60%. Afin d'éviter de payer des taxes à la ville d'East Saint Louis, Monsanto a crée sa propre ville qui engloge uniquement son usine. Elle continue malgré tout à déverser ces produits chimiques dans les égouts d'East Saint Louis et dans le fleuve Mississippi. Résultats : le réseau d'égouts d'East Saint Louis est rongé par la chimie, les remontés d'acide sont fréquentes dans les maisons et la ville présente un des taux de cancer les plus importants des USA. Autre résultat de cette politique "humaniste" de Monsanto, la ville d'East Saint Louis est ruinée et n'a pas pu assurer le ramassage des ordures ménagères pendant 5 ans. Une "balade" à East Saint Louis vous offre un spectacle de ruines et de désolation en partie lié à la politique de Monsanto (en partie car la situation de la ville est bien plus complexe que le seul problème Monsato).


              http://www.rue89.com/

              Commentaire


              • #8
                C'est pour ça que je ne supporte guère qu'on m'accuse de partialisme entre les deux côtés océanteux, mais il est vrai qu'il devient rare que l'on ose venir me le dire en face, depuis quelques temps!




                Mais si on en a envie, on peut toujours tenter le coup de blouze!

                Vous direz aux ingénieurs que je n'en ai pas encore fini avec eux, et qu'ils ne tarderont pas à l'apprendre!



                Commentaire


                • #9
                  La théma d’ARTE sur les OGM avec le documentaire de Marie-Monique Robin "Le Monde selon Monsanto", suivi d’un débat avec José Bové, Christian Vélot et Renate Sommer a été un succès dans sa portée démocratique générale, phénomène assez rare pour être signalé. Christian Vélot, en tant que chercheur du service public en biologie moléculaire a notamment sonné l’alerte devant des centaines de milliers de télespectateurs sur l’omniprésence de lobbies financiers mais aussi scientistes, au niveau des processus même de décision et de régulation des OGM en Europe, dont il faut rappeler qu’il s’agit d’une copie au cas par cas de la régulation américaine, notamment avec la reprise du concept très contesté d’équivalence en substance des aliments GM et non GM.

                  Toute la soirée, l’émission a consisté en une présentation factuelle et une accumulation de preuves montrant que l’on ne peut actuellement pas faire confiance au système de régulation aussi bien européen qu’américain sur les OGM agricoles, que les études sanitaires et environnementales ne sont pas suffisantes ni indépendantes, et qu’une entreprise comme Monsanto n’hésite pas à jouer avec la sécurité alimentaire et environnementale mondiale et locale pour le développement de ses activités.

                  La député européenne invitée, Renate Sommer, s’est efforcée malgré tout bien tristement de défendre non pas la démocratie locale et européenne, mais sa chapelle institutionnelle, en promouvant l’illusion de sécurité européenne actuelle sur cette question, et en prenant la défense de l’agence européenne de sécurité alimentaire, complètement dépassée par les événements tant en terme de recherche scientifique que d’assurance de sécurité pour les citoyens européens, et à fortiori pour tous les citoyens du monde dont les territoires autorisent ces technologies agricoles.

                  Merci donc à la chaîne ARTE pour cette soirée de grande audience, quasi-unique à la télévision sur cette thématique, tant par la qualité et la portée du débat présenté que par la qualité du documentaire diffusé.

                  Commentaire


                  • #10
                    Christian vélot a fait une intervention dans le reportage d'arte. Ce personnage est particulièrement intéressant, il explique clairement les risques, les enjeux.

                    Il a fait une conférence très intéressante que vous pouvez visionner ici :

                    http://video.google.fr/videoplay?docid=-8754136161...


                    Si vous n'avez pas le temps, vous pouvez consulter le diaporama de la conférence : c'est explicite.



                    Christian Vélot, Docteur en Biologie, est Enseignant-Chercheur en Génétique Moléculaire à l’Université Paris-Sud. Depuis 2002, il est responsable d’une équipe de recherche à l’Institut de Génétique et Microbiologie (Institut mixte CNRS-Université) sur le Centre Scientifique d’Orsay.

                    Parallèlement à son activité d’enseignement et de recherche, il anime sur son temps personnel de nombreuses conférences à destination du grand public sur le thème des OGM. Cette démarche, qui s’inscrit dans une volonté de contribuer à combler le fossé de communication qui sépare le monde scientifique du reste de la société civile, l’a conduit à prendre position pour dénoncer notamment l’absence de maîtrise des risques sanitaires et environnementaux liés à l’introduction des OGM dans l’agroalimentaire (en raison du caractère totalement aléatoire et incontrôlé de cette technologie), ainsi que les dérives scientifiques et technologiques qui conduisent à mettre les citoyens devant le fait accompli vis-à-vis d’orientations de recherche et de développement qui représentent pourtant de véritables choix de société. Il est intervenu notamment en tant que témoin (cité par la défense) dans divers procès de faucheurs volontaires, et à plusieurs reprises dans les médias (reportages, débats). Après que la direction de son Institut lui a reproché de prendre des positions publiques au nom de ses tutelles (ce qui est bien sûr totalement faux, ses propos n’ayant toujours engagé que lui), il a fait, avec son équipe de recherche, l’objet de multiples pressions (confiscation de crédits, privation d’étudiants stagiaires, menace de déménagement forcé dans d’autres locaux, etc…). Et tout récemment, il a reçu un courrier officiel de sa direction lui annonçant que son équipe ne fera plus partie de l’institut à partir de janvier 2010, date du début du prochain contrat quadriennal (la recherche publique fonctionnant sur des contrats de 4 ans). Cette décision a été prise de façon arbitraire, indépendamment de toute évaluation scientifique et sans aucune consultation du conseil scientifique et du conseil d’institut.

                    article publié le 10/10/2007


                    > pour Jurassic...

                    Cliquez pour agrandir

                    Commentaire


                    • #11
                      Sympa cette file ; ça change des shorts ou longs !!
                      IL ya trois choses qui me dérangent dans l'attitude des anti-OGM :
                      - C'est le mélange constant entre un vrai probleme scientifique et la lutte contre une multinationale qui cristalise sur son nom toute l'anti-américanisme hystérique qui pour différentes est enraciné en Frfance !!
                      Monsanto fabriquait du papier toilette , Bové et ses potes serait contre le PQ !!!

                      -Les milliers d'agriculteurs, céréaliers, .... qui utilisent tous les produits de Monsanto dans le monde depuis des dizaines d'années doivent bien y trouver un avantage ; à moins qu'ils soient tous complètement demeurés.

                      -La plupart des maladies génétiques (muciviscidose en tête)
                      seront a n'en pas douter soigner par une part importante de thérapie génique !! En modifiant , le genôme d'un malade pour le guérir et on ne se pose pas amha la question si ses descendants seront des mutants du genre alien !!!
                      Alors pourquoi, ce délire contre le maïs !!!



                      Commentaire


                      • #12
                        JE SUIS SUR QU ?IL Y ¨PIRE ENCORE COMME BOITE

                        Commentaire


                        • #13
                          "Les milliers d'agriculteurs, céréaliers, .... qui utilisent tous les produits de Monsanto dans le monde depuis des dizaines d'années doivent bien y trouver un avantage ; à moins qu'ils soient tous complètement demeurés."

                          Si l'avidité et la cupidité ne dirigeait pas le monde, il ne serait pas dans cet état.
                          Si l'inconscience n'habitait pas la plupart des cerveaux humains, non, ce ne serait vraiment pas comme çà sur cette planète.
                          C'est vrai, vous avez raison, ils y trouvent de nombreux avantages pécuniers.

                          Commentaire


                          • #14
                            Citation de : jurassic (au 16-03-2008 23:10:54)

                            Sympa cette file ; ça change des shorts ou longs !!
                            IL ya trois choses qui me dérangent dans l'attitude des anti-OGM :
                            - C'est le mélange constant entre un vrai probleme scientifique et la lutte contre une multinationale qui cristalise sur son nom toute l'anti-américanisme hystérique qui pour différentes est enraciné en Frfance !!
                            Monsanto fabriquait du papier toilette , Bové et ses potes serait contre le PQ !!!

                            -Les milliers d'agriculteurs, céréaliers, .... qui utilisent tous les produits de Monsanto dans le monde depuis des dizaines d'années doivent bien y trouver un avantage ; à moins qu'ils soient tous complètement demeurés.

                            -La plupart des maladies génétiques (muciviscidose en tête)
                            seront a n'en pas douter soigner par une part importante de thérapie génique !! En modifiant , le genôme d'un malade pour le guérir et on ne se pose pas amha la question si ses descendants seront des mutants du genre alien !!!
                            Alors pourquoi, ce délire contre le maïs !!!






                            Bonjour

                            tu as tout d'un anti "Anti OGM"....

                            Regarde le documentaire et tu comprendras.

                            Le problème n'est pas d'être pour ou contre les OGM mais de savoir si ceux qui sont actuellement utilisés sont néfastes pour l'environnement (mutation transgénique et diffusion dans les champs conventionnels) et l'impact sur l'homme (cf le cas d'études des rats dans le documentaire).

                            Se pose aussi le problème du monopole et du flicage des agriculteurs sur l'utilisation des semences.

                            Vincenzo

                            Commentaire


                            • #15
                              Il suffit de voir ce qui se passe dans d'autres pays qui subissent actuellement les conséquences...

                              Je ne souhaite pas être un cobaye d'une société qui joue les apprenti-sorcier génétique, et qu'elle commercialise à grandes échelle, pour amortir ses frais de recherche...

                              Apres Tchernobyl, sang contaminé, Amiante... OGM ?


                              Argentine, un cas d’école

                              En 1996, la multinationale Monsanto introduisait en Argentine ses semences de soja transgénique. Dix ans après, le pays peut tirer le bilan des OGM : boom économique d’un côté, catastrophe sociale, sanitaire et écologique de l’autre.
                              Par Pierre-Ludovic Viollat

                              http://www.monde-diplomatique.fr/2006/04/VIOLLAT/13346


                              Argentine, le soja de la faim (OGM)

                              http://video.google.fr/videoplay?docid=44395682272...

                              LE SOJA 'MIRACLE '(OGM) TOURNE AU VINAIGRE EN ARGENTINE
                              Source : The Guardian (Friday April 16, 2004)
                              ________________________________
                              Dans le journal The Guardian (Friday April 16, 2004) Paul Brown,
                              correspondant " Environnement " signale que 7 ans après que le soja OGM ait
                              été présenté en Argentine comme un miracle économique pour les fermiers
                              pauvres, les scientifiques dénoncent ce soja comme ayant causé une crise
                              environnementale, notamment parce qu'il est préjudiciables à la vie
                              bactérienne du sol et parce qu'il facilite de développement de mauvaises
                              herbes tolérantes aux herbicides. Le soja compte aujourdh'ui pour la moitié
                              des revenus des terres arables de l'Argentine, plutôt situé sur les terres
                              fragiles de la pampa.

                              http://terresacree.org/sojargentine.htm



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