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les français et les hypermarchés
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  • #16
    Bonsoir.

    En Europe, seule l'Italie aurait pu développer une grande distribution alimentaire, de part la richesse des produits présents sur son sol, pour rivaliser avec les français.

    Guichard-Perrachon, comme Leclerc, c'est au départ de l'épicerie, je crois.

    Le savoir-faire français en grande distribution alimentaire semble difficile à égaler, pour encore un temps.

    Un hypermarché c'est un nombre de références prodigieux par rapport à celui d'un hard-discounter.

    Mais le cassoulet générique provient souvent, en effet de la même unité de fabrication que la marque réputée, qui en général propose deux ou trois qualités, comme Buitoni pour les raviolis. (les raviolis en boîte, faut pas rêver, c'est toujours mauvais, mais c'est vrai qu'il y en a d'atroces, dont on se demande seulement si c'est raisonnable de continuer!)

    Pour avoir visité une laiterie, j'ai vu de mes yeux le lait changer d'emballage, de dénomination, être donc nommé sous plusieurs marques, il y a déjà 20 ans. (ils ne s'en cachent pas)

    La qualité, c'est très subjectif, il est hors de question de me fier à la marque, qui n'est autre chose, le plus souvent, que sous gouvernement d'énormes multinationales, capables de faire absolument ce qu'elles veulent de notre goût, de nos santés.

    On ne peut pas tracer ces gens-là, c'est pas comme une petite conserverie artisanale d'anchois qui aurait deux siècles, et qui elle, peut arguer de la qualité qui correspond à son nom, sa marque.

    Si le chocolat en poudre, sans sucre Van Houten est racheté par un géant genre Nestlé, la qualité va automatiquement en pâtir, c'est mécanique.

    Les labos vont rajouter des petits extraits de ceci cela, et petit à petit, la notion de qualité se dilue.

    C'est bon, les cookies Shépakoi, mais c'est trafiqué pas possible, il vaut mieux les faire soi-même, si on veut aider la Sécu.

    Dire que les groupes de grande distribution commandent aux multinationales de l'agroalimentaire me fait quelque peu sourire.

    Si j'ai bien compris, les chaînes d'hypermarchés ont créé des centrales ou groupements d'achat, pour pouvoir être plus consistants, face à ces géants.

    Les marges des grandes marques sont très bonnes, ce ne sont pas les marques qu souffrent, je ne pense pas, car ils vendent surtout la marque, même si quelques produits restent bons, dans la masse.

    Prenons un produit comme la Savora, de chez Amora, je crois, qui est un condiment "moutardé".

    Ce que je constate, en tant que consommateur connaissant ce produit depuis 40 ans, c'est qu'il a pris une texture bizarre, autrement dit qu'ils l'ont chargé en alginates, et autres émulsifiants, ce qui permet de mettre moins de chaque ingrédient d'origine, avec de l'eau en plus, évidemment.

    Un exhausteur de goût s'impose donc pour rétablir un peu ce que l'on attend d'un condîment.

    Mais ils ne se sont pas arrêtés là. En plus de cela, la mode actuelle, veut que l'on ketchupise, c'est à dire, que l'on sucre à peu près tout.

    Résultat, ça se vend beaucoup mieux qu'avant, ça revient bien moins cher à fabriquer, mais le prix, lui, a augmenté énormément.

    Mais ils ont perdu un client, qu'a pas , comme JP Koff, les mêmes valeurs, j'pense!

    Comme je plains nos chères marques!

    Pour trouver un condîment digne de ce nom, il doit falloir aller dans les rares épiceries fines qui ont réussi à survivre, dont certaines font aussi du gros, du surgelé, et autres fournitures pour professionnels, sans quoi il fallait s'appeler Fauchon. (ou bien faire un tour en Belgique!)

    Les bonnes marques, elles sont dans ces épiceries fines, si l'on veut parler de qualité véritable.

    Sinon, faut connaître, parceque c'est pas toujours facile de distinguer une petite conserverie artisanale d'une usine qui trafique le produit à grands coups de glutamates et autres merveilles culinaires dont est farci la quasi totalité de ce que nous consommons.

    Dans les saucisses, parfois, on a l'impression qu'ils ont échappé le baril de 200 litres dans le pétrin. Ca t'arrache la gorge, tellement ils en ont mis!

    Tant que tu ne les as pas achetées et goûtées, tu ne peux pas le savoir, mais ensuite, il est temps d'aller causer du pays au chef de rayon et lui rappeler qu'on n'est pas des bêtes, mince!

    Comment peut-on encore faire confiance à des marques?

    Je parle évidemment de celles qui transforment vraiment les produits.

    Pour les produits simples genre flageolets, il n'y a pas besoin de trafiquer beaucoup, il y aura toujours quelque amidon rajouté, du conservateur classaique, des choses semblables pour toutes les marques.

    Par contre là, la qualité du flageolet lui-même peut varier beaucoup.

    De toute façon, plus on met dans son alimentation une part importante de produits transformés par quelqu'un d'autre que soi-même, gâteaux, entremets, plats cuisinés en surgelé, traîteur ou conserve, moins c'est correct, plus on a de chances d'avaler des tas de trucs aux vertus douteuses voire délétères.

    C'est justement le métier des marques.

    Par contre les appellations d'origine contrôlée, ça correspond réellement à des critères de qualité bien cadrés, quelque soit le nom du fabricant, producteur.

    La logique du prix ne veut rien dire, on cible, c'est tout.

    Que ce soit pour du saumon, seul le palais, la dégustation peut donner un élément qui se tienne, car on vend du pas bon fort cher, parfois, et inversement, hors le problème de résidus divers que l'on peut y trouver.

    Les grands distributeurs ne font pas de grosses marges, comme indiqué par Verger. Mais fonction des volumes, ça finit par être impressionnant.

    Ces marges moyennes n'ont fait que baisser depuis 35 ans d'existence des supermarchés-hypermarchés. (cela ne leur pose aucun problème, ils s'en ouvrent régulièrement.)

    Par contre, le développement, les objectifs, parts de marché, ça peut les inquiéter davantage.

    La "productivité" ne cesse d'augmenter, de mille manières.

    Mais l'on peut acheter du vêtement, généralement de très mauvaise qualité en hypermarché, qui sera vendu deux fois plus cher que dans des surfaces spécialisées de qualité un peu supérieure.

    Les grandes surfaces ont des tas de créneaux pour se rattraper des faibles marges sur certains produits.

    Ce sont les hypermarchés qui écoulent de loin la plus grande part des fruits et légumes, qui sont pour les 90 % au moins, des légumes de variétés sélectionnées pour leur adéquation à des critères de conservation, d'apparence, etc, mais pas pour leur saveur.

    Là-dessus, les marges sont fort bonnes, et les prix sont excessifs, vu la qualité ainsi ce qui est payé au producteur.

    Là encore, c'est un vrai danger de batardisation de notre alimentation, mais c'est aussi de l'arnaque. (ce n'est plus un danger, c'est un fait)

    Pourtant c'est sur ces produits non transformés qu'il faudrait porter la plus grande attention, pour améliorer l'alimentation, qui ne correspond plus à l'équilibre de notre santé, comme on a du vous le dire un peu partout.

    Pour faire du bon pain, il faut tout d'abord de la bonne farine, et la marque, là non plus, n'apporte pas la moindre garantie.

    Comme je ne peux quasiment pas me payer de légumes et de fruits qui sont souvent de mauvaise qualité et bien trop chers, parfois plus chers que la viande ou le poisson, pour ce qui est des tomates, des poivrons, des fruits courants hors pommes et banane, j'achète des légumes surgelés, de qualité obligatoirement supérieure, tendreté, fraîcheur, au moment de leur congélation tout du moins.

    Cela revient jusqu'à trois fois moins cher, pour des trucs assez courants. Un mélange "jardinière" ou "potage", ça commence à 1 €, mais je me fends jusqu'à 2.2 €, pas plus!

    Mais là encore il leur suffit de se rattraper sur le prix des pommes frîtes, vendues hors de prix, par rapport.

    Les prix des produits sont de plus en plus décorélés de leur prix de revient, et c'est pourquoi l'on trouvera de moins en moins des sacs de 2.5 kg de frîtes sans marque, parceque ça peut passer de ne proposer que le générique à l'enseigne du magasin en plus des autres marques, mais déjà à un prix qui permette une très bonne marge.

    Les petits clients, les pauvres, doivent être attirés comme les autres,car ils sont nombreux! Il suffit pour cela qu'il y ait quelques références "discount", mais ce ne sera pas par philantropie, puisque qu'on les séduira immanquablement avec de quoi faire de bonnes marges.

    A dix heures du mat, les "1er prix" ont disparus, il faut revenir le lendemain! ("on n'a pas pensé à en mettre beaucoup, revenez demain, on va être livré cette nuit!" )

    L'hypermarché, la distribution plutôt alimentaire, c'est vraiment un vaste domaine de compétences, c'est très performant, en France.

    Mais quand je trouve des haricots verts surgelés à 1.50€ le kg, je me dis toujours qu'une fois triés, emballés, congelés, transportés, négociés, présentés, conservés à la température requise avant que je les mette dans mon panier, le producteur africain ne peut pas avoir gagné grand chose.

    Alors moi, les Danone, sincèrement, je ne pleure pas pour leurs marges, ni pour la "qualité" qu'ils sont censés nous garantir, Anaphraïs.

    Pourquoi tous les gamins ont de l'athsme, ou des allergies, franchement, en dehors du fait que tout leur environnement est traîtés avec des produits ménagers qui sentent le propre même un an après, tellement ils sont farcis de bons produits pour les bronches et la peau.

    Vaudrait mieux les laisser dans la crasse, ils risquent moins d'être malades plus tard, c'est sûr!

    Enfin, ça c'est les mères qui savent ce qu'elles ont à faire de ce côté là, et bien mieux que nous!

    Bonne nuit!










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    • #17
      Le supermarché .... un mal français !?

      Vivant au Luxembourg et revenant régulièrement en France, j'ai pu constater une différence quand à la consommation des produits alimentaires.

      Qui distribue les denrées alimentaires fraîches en France ?
      Les super/hyper !
      La viande et les légumes sont vendus en grande partie dans ses commerces.

      Au Luxembourg, je parle des luxembourgeois, et non des legions de réfugiés fiscal qui y résident, l'achat de viande se fait directement à la ferme. Un animal est souvent acheté entier. Il est facile de trouver des oeufs frais, poulets ... dans les fermes, en vente directe.

      La raison invoquée en est la qualité du produit, mais le prix est aussi inférieur à ce que l'on pourrait trouver en super/hyper, bien que le budget d'un annimal entier n'ai rien à voir avec le prix de 4 cotes d'agneau en hyper !

      La pression des hypers est pourtant tout aussi forte qu'en France. D'ailleurs les luxembourgeois ont le choix entre les super/hyper en France, en Belgique, au Luxembourg et les hard-discounters en Allemagne souvent installés à quelques kilomètres de la frontière.

      Pour ma part, je pense que la fréquentation des super/hyper est intimement liée à la progression du niveau de vie des consommateurs.
      Le pouvoir d'achat des Français (ou des Belges) n'a cessé de baisser depuis environ 30 ans (contrairement à ce que l'on voudrait vous faire croire) et il ne faut pas oublier que la grande distribution a très largement bénéficié de l'aide de l'état, incapable de gèrer le pays, afin de juguler l'inflation (Monsieur Leclerc, simple épicier, doit sa fortune aux enarques).

      La paupérisation de la société française c'est accélérée ces dernières années et le modèle, je pense atteint ces limites. Que penser des associations caritatives tel que les "resto du coeur" qui distribuent des denrées alimentaires gratuitement et la progression de 20 à 50% de leurs "millions d'allocataires" ?

      Les super/hyper ont récement recentré leur cible de clientèle :
      Des magasins plus "conviviaux" (?!), une meillleur présentation ... et des marges en hausse ????
      Et bien pas de chance, les catégorie "CSP+" n'achètent malheureusement en super/hyper que lorsqu'ils n'ont pas le choix.
      La grande distribution se trouve dorénavant coincée entre un modèle hard-discount concurrencé par les associations caritative et les super/hypers qui trouve de moins en moins leur cible "classe moyenne" décimé par un pouvoir d'achat en chute libre, et une trop rare clientèle aisée qui n'adhère pas au modéle (et qui s'en méfierait plutot).

      Le saint Graal de la grande distribution est maintenant les pays anciennement communistes et leur soif maladive de consommation après des décennies de privations.

      Cela suffira-t-il ?

      Commentaire


      • #18
        Bonjour.

        L'éventuelle offre de Pepsico sur Danone, annoncée aujourd'hui sur BFM ne doit pas nous rassurer sur l'offre de produits qui ne cesse de se restreindre, tant en qualité qu'en nombre, dans notre horizon de consommation.

        Ce n'est qu'une annonce, bien sûr, ne nous affolons pas.

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        • #19
          Kermit êtes certain sur que le pouvoir d'achat des belges et des français se soit dégradé depuis une trentaine d'années.Peut-être par rapport aux Luxembourgeois,mais seuls les USA ont vu le revenu horaire médian des hommes cadres de 30 à 50 ans baisser en valeur absolu depuis le début des années 70 puis le revenu horaire médian des ouvriers baisser depuis la fin des années 70 (en données corrigées de l'inflation).
          Dans les grande aggglomérations il est de toute façon difficile d'aller acheter à la ferme.Serait-ce possible que j'imagine mal comment réagiraient les animaux de la basse-cour au défilé incéssant des consommateurs.

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          • #20
            Bonsoir.

            Tout dépend de ce que l'on veut transmettre derrière un vocable tel que "pouvoir d'achat".

            Il y a des gens en très grande pauvreté, qui ont des difficultés à se réchauffer, à se laver, à se nourrir, à se soigner.

            Il y en a qui, comme moi, sont sous le seuil de pauvreté communément admis, et qui ne sont pas pauvres pour autant, pour diverses raisons.

            En réalité, je ne crois pas que j'ai franchi une seule fois dans ma vie ce seuil intangible, ce seuil qui ne cesse de s'apprécier selon la mode du moment, mais je parle là de notre société française, bien sûr.

            Des gens qui ne gagneraient rien d'officiel, mais qui se débrouillent dans la vie, sont, dans nos statistiques telles qu'elles sont référencées, sous le ce fameux seuil, qui n'est donc qu'indicatif.

            J'ai fort peur que les éléments qui servent à établir les statistiques sur une notion donnée ne soient sujets qu'à une constante modification, ce qui est bien embêtant, pour établir une comparaison de pouvoir d'achat sur trente ans.

            Je peux m'acheter, moi, le pauvre, quelque chose qui relevait du porte-monnaie d'une personne aisée d'il y a trente ans.

            Il n'y a pas de norme utilisable pour comparer les choses sur trente ans, du moins de norme valide, de norme qui soit utilisée, utilisable.

            Ce n'est pas impossible de mettre au point une telle norme, lorsque l'on admet que les critères pris en compte il y a trente ans étaient influencés par l'air du temps, de même que ceux d'aujourd'hui.

            Pour certains biens, les gains de productivité, les conditions de production, de délocalisation, ont fait qu'ils sont devenus vraiment abordables aujourd'hui, tandis que d'autres, qui sont souvent moins difficile à produire au départ, curieusement, deviennent hors de prix aujourd'hui.

            Une grande rigueur, une redéfinition des critères s'impose donc, que cela soit pour le pouvoir d'achat ou la pauvreté, la misère débilitante.

            Si la pauvreté n'est pas synonyme de souffrance, de rejet par la société, par exemple, de manque de soins, de manque d'égalité, de liberté, alors la pauvreté n'est pas un problème.

            A condition que cela ne pèse pas trop sur les épaules des enfants d'être "moins bien " vêtus que leurs collègues.

            Mais si ça veut dire, donc, que les dents ne seront pas soignées, que l'on mangera des choses qui les pourrissent, qui font grandir moins vite, qui discriminent dans la société, alors ça ne peut pas être accepté.

            Il n'y a pas besoin d'être bien vêtu pour être intelligent ou fier, sauf si l'on pense que c'est le seul moyen pour attirer les plus jolies filles vers soi, à condition que cela amène quelque chose de les avoir attiré.

            Avec cent balles je me paie la perceuse à percussion dont je rêvais dans ma jeunesse pour percer des trous partout.

            Maintenant, je l'ai, mais je n'ai plus envie de faire du bruit.

            Mais il y a toujours moyen pour n'importe qui qui veut nous épater que la perceuse qui me demanderait de faire un effort sur un an pour la rembourser, de me prouver que son engin perce jusqu'à trois fois plus vite que mon tromblon.

            Je lui répondrais que quand je n'avais pas de perceuse j'utilisais un tamponnoir, et que si ça ne voulait pas rentrer, j'allais chercher la masse et le burin dont je trempais la pointe en la chauffant dans la braise puis en la "saisissant" dans l'eau.

            Ca démolit un peu le béton, c'est plus grossier, mais, un peu de mortier ou de plâtre armé ou pas, et j'obtiens un scellement dix fois plus costaud que la meilleure cheville chimique ou en bronze vendue hors de prix. (le tiers du prix de ma perceuse, pour une seule cheville "d'exception")

            Donc, tout est relatif, tout dépend ce que l'on considère avoir de l'importance.

            Si ne ne donne comme nourriture à mes enfants que ce que leurs collègues disposaient en 1900, dans des familles considérées comme normales, avec mon RMI, je peux nourrir quatre enfants.

            Mais si l'on m'oblige à leur fournir tout le nécessaire de l'école, de ceci ou de cela, alors chaque mois, je m'endette de deux fois mon RMI.

            Tout cela ne veut rien dire, je n'y vois que l'éternelle discussion de savoir: "comment je suis par rapport aux autres, comment puis-je accepter de n'être que cela, de me faire rouler, en quelque sorte, alors que je suis bon?"

            Je n'ai jamais acheté de magnétoscope de ma vie.

            Pourtant, il y a longtemps que cet outil s'est démocratisé.

            Je n'ai même pas loué un seul film en cassette de ma vie.

            Ce n'est pas parceque je n'aime pas la HIFI, la technologie.

            Non, c'est parceque je n'aimais pas la façon de programmer les fonctions, et que je savais que l'on avait choisi les plus mauvais standards de qualité, les américains.

            Pour la télé c'est pareil, ils continuent à faire de la daube.NSTC

            Mais je ne suis pas réfractaire au matoss', j'aime bien ce qui est pointu.

            Le pouvoir d'achat de intellectuellerie, c'est quoi?

            A peine tu as acquis un super matos à prix d'or qu'il est déjà dépassé.

            Où il est, le pouvoir d'achat?

            Il faudrait plutôt l'appeler: "le pouvoir de se faire arnaquer avant les autres"!

            Non, il y a des choses qui sont plus importantes, comme l'accès au transport, à la communication, à la lecture, à la culture, à la création, à l'enseignement, au partage, pitêtre au sport ou aux loisirs de plein air, enfin ces choses là qui ont disparu du "pouvoir d'achat" d'une masse considérable de gens depuis trente ans et plus, puisqu'elle ne part plus jamais à la mer ou en vacances.

            Là, on peut perler de critères moins subjectifs du "pouvoir d'achat"!

            Je concluerais donc par la phrase qui a précédé cette post-conclusion!



            (mais ceci dit, merci au luxembourgeois, ce n'est pas une critique)

            Commentaire


            • #21
              Scrut cet article tombe à pic

              http://fr.news.yahoo.com/040216/5/3nblj.html

              Commentaire


              • #22
                J'ai repris ton article de Yahoo, Choub', ils ne diront rien:

                http://fr.news.yahoo.com/040216/5/3nblj.html

                mardi 17 février 2004, 0h02
                Un million d'enfants touchés par la pauvreté en France, selon le CERC

                PARIS (AP) - Un million d'enfants vivent en France en dessous du seuil de pauvreté défini par l'INSEE, soit près de 8% de l'ensemble des mineurs, et près de deux millions sous le seuil "européen", selon le quatrième rapport du Conseil de l'emploi, des revenus et de la cohésion sociale (CERC) rendu public mardi.

                Le CERC, qui explique en détail les raisons de ce phénomène, propose des solutions pour y remédier, en esquissant le contenu d'un programme national de lutte contre la pauvreté des enfants.

                Les auteurs du rapport constatent que la pauvreté des enfants provient d'abord de "l'insuffisance d'emploi de leurs parents". Et quand ces derniers travaillent, mais que leurs revenus sont bas, il se pose souvent un problème de garde. Trop cher. De nombreuses mères font alors le choix de quitter leur emploi pour élever leurs enfants, ce qui, plus tard, rend difficile leur retour sur le marché du travail.

                Le problème se pose particulièrement pour les familles monoparentales et celles ayant quatre enfants et plus, selon le CERC.

                Pour remédier à ce problème, le rapport préconise la mise en place d'"un service public local organisant une offre de garde de qualité pour les enfants d'âge préscolaire ou scolaire, à l'instar de ce qui se pratique dans les pays scandinaves". Il dénonce aussi l'insuffisance des dispositifs de congé parental.

                Autre idée avancée: prendre plus en compte les responsabilités familiales dans la gestion des minima sociaux, en facilitant le retour à l'emploi pour ces familles à problèmes.

                Le rapport constate par ailleurs que la pauvreté des enfants concerne très fortement les familles issues de l'immigration (une famille pauvre sur quatre appartient à une famille non ressortissante d'un pays de l'Europe des 15), ce qui est révélateur des difficultés d'intégration de ces familles dans la société française. Un phénomène qui "renforce la nécessité de la lutte contre les discriminations dans l'emploi, le logement, etc. qui pénalisent les parents et découragent leurs enfants", précise le CERC.

                Le rapport préconise enfin la nécessité de lutter contre l'échec scolaire pour réduire les conséquences de la pauvreté des enfants sur leur devenir, notamment par le biais de réseaux d'aide et de soutien aux jeunes en difficulté.

                Cet échec scolaire -qui risque de reproduire une situation de pauvreté- est souvent lié aux conditions de vie des enfants comme un surpeuplement du logement qui permet mal de s'isoler pour travailler, une ségrégation spatiale du logement social qui entraîne la concentration d'enfants ayant des difficultés scolaires dans les mêmes écoles ou encore un accès moindre à des biens culturels ou aux vacances.

                Il existe aussi des facteurs plus indirects. Par exemple, le fait de voir que ses parents n'arrivent pas à s'en sortir peut conduire à penser que l'on n'y arrivera pas non plus.

                Le CERC, créé en avril 2000, est composé de personnalités nommées par le Premier ministre. Il est présidé par l'ancien président de la Commission européenne Jacques Delors et compte notamment parmi ses membres Xavier Emmanuelli, président du Samu social international. AP

                Sur le Net:

                www.cerc.gouv.fr

                www.ladocumentationfrancaise.fr


                Cet article ne montre qu'un petit aspect de la réalité, car il n'y a pas que les enfants issus de milieux d'immigrants qui sont concernés, mais encore, il n'y a pas que les enfants, il y a aussi des millions d'adultes qui ne partent plus en vacances, et tout ceci fait, en tout, des dizaines de millions de gens qui n'ont plus la chance de "bouger", ce qui est quand même étonnant, dramatique, pour une soiciété telle que la notre.

                Il y a dans ce nombre de "dizaines de millions", desgens qui pourraient partir, qui en auraient les moyens, et je t'assure que ça fait du bien aux vieux de visiter la tour Eiffel, que je n'ai pas visité ni ne compte visiter.

                Quand j'étais gamin, ma mère nous élevait seule avec rien.

                Sa force lui a permis de nous donner une enfance formidable, nous avons pu, grâce aussi à des structures de société favorables, de faire tout ce qu'un enfant d'aujourd'hui ne peut plus faire, alors que la société a décuplé sa richesse.

                On a tout fait, on a voyagé partout, mais plus pauvres que nous, c'était pas facile à trouver là où j'étais.

                Qu'est-ce que l'on n'a pas fait, pourtant, et en plus, yavait bon manger à la maison pour tous ceux qui voulaient s'inviter, quand ils voulaient, c'est à dire tout le temps!

                On voyait du monde, chez les pauvres, sans problème!

                Des gens bien plus riches que nous, pas une semaine qui se passe sans plusieurs invités. C'était la joie, ils avaient envie de venir chez nous!

                Tant que les gosses ne pourront pas partir comme nous dans notre enfance, sans argent, nous avons pu le faire, alors il faudra gueuler d'être emmerdés par les fils des banlieues avec qui nous sommes dix fois plus radins que ce que nous avons été dans les années soixante, où tout était possible, avec rien d'argent!

                Cela me fait rigoler, les gens qui rouspètent après les chômeurs ou les RMI, et qui ne partagent rien, qui ne veulent qu'encore augmenter leurs richesses, se foutant pas mal que des millions d'enfants vaccinés et scolarisés ne puissent plus jamais seulement passer un week-end au ski, comme j'ai pu, moi, en passer tant, soit par les "Eclaireurs de France", mais encore le patronage de l'ecole, mais encore par l'entreprise de ma mère , Michelin, et j'adore que l'on se foute notamment de ce type d'entreprise patriarcale, mais qui fournissait, pour rien, des tas d'avantages. (tu assurais ta mobylette pour rien, on te fournissait aussi des pneus, bibliothèque, et tout ce qui manque, en gros)

                Je regrette, mais à cette époque là, on se souciait, soit au niveau de la mairie, soit au niveau de Michelin, ou de l'Ecole, de faire partir TOUS les pauvres en vacances, si les parents ne s'y opposaient pas.

                Mais je vous parle d'un temps bien révolu, et certainement, les gens d'aujourd'hui estiment qu'il est logique que seuls les enfants dont les parents sont "normaux" sont en droit d'espérer bénéficier de ce "luxe" que de partir en vacances.

                Comment les gamins pauvres pourraient-ils partie, puisque les normes étatiques obligent maintenant à avoir des locaux comme ci comme ça, des moniteurs comme ci comme ça, des cars comme ci comme ça, de la nourriture comme ci comme ça, des activités comme ci comme ça, , tout "comme ci comme ça".

                Et bien à la fin de tous ces "comme ci comme ça", on est obligé de laisser sur le carreau des millions d'enfants qui aiment bien ce qui n'est pas "commeci comme ça"!

                Mais qui ça gêne, sur ce site boursier, franchement?

                je sais qu'il y en a pas mal que ça gêne, quand on dit bien les choses comme je sais le faire parfois, mais aussitôt lu, aussitôt oublié, car l'urgence c'est de se revaloriser soi, et d'essayer, notamment, de le faire en réussissant au niveau financier.

                Oui, les vieux partent pas mal en vacances, car ils en ont les moyens plus que vous n'en aurez à leur âge, en moyenne, mais combien de millions de personnes, de vieux, d'actifs, d'adultes et d'enfants, ne partent jamais, dans cette société qui fait partie des plus riches du monde?

                Cette simple constatation devrait vous permettre de comprendre que le niveau de vie par habitant est chose très relative, et que ce n'est pas l'argent qui manque, mais la gentillesse, la volonté, les idées que nos aînés avaient à revendre, dans les années soixante, et que vous n'avez, hélas, plus du tout, misère de nous, mes gueux!

                Je sais, je suis dans le coup aussi, mais il y en a qui ont plus de pouvoir effectif que moi ici pour essayer d'aller dans le bon sens, et si c'est vrai, alors il ne faut pas qu'ils se dégongflent, car d'autres, leurs aînés, ne se sont pas dégonflés, et avec peu, ils ont fait beaucoup!

                Mais vous voyez bien que cette société ne sait plus où est le nord, qu'elle ne sait plus voir l'essentiel, qu'elle reste scotchée sur ce que font les merloques, et compare son porte-monney avec le leur, sans se soucier de ce qui compte vraiment, nos enfants, notre vie de tous les jours!

                Bon, je n'ai pas envie de faire une post-conclusion, alors je me contenterai de cette phrase en guise de conclusion encourageatoire, car j'ai quand mêmle un peu confiance en votre capacité à vous mobiliser parfois pour des choses plus justes que des comparaisons de vos gains et performances personnels. (sinon il y a longtemps que le RMI vous aurait fait le bras de déshonneur, mes cailles!)


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                • #23
                  Réponse à providence.
                  Comme l'a fait justement remarquer Scrutateur, on peut faire dire n'importe quoi aux chiffres !
                  Le pouvoir d'achat, l'indice des prix ont pour base statistique un panier-type qui est senser représenter un consommateur moyen.
                  Je trouve cela amusant et totalement dénué d'objectivité et de réalisme. Malgrès tout, ceci sert de base à l'établissement de la comptabilité de la nation ????!!!!!
                  De plus, tous ces chiffres et ces mesures qui permettent d'évaluer l'état de l'économie nationale sont aux mains de l'enarchie française.

                  cfhttps://<a href='/ref.php?uri=http%3...ceencri...</a>

                  Le pouvoir d'achat des français n'a cessé et ne cesse de baisser - il s'agit d'une évidence pour moi -
                  L'accroissement du poids des dépenses et des dettes de l'état, du prix des matières premières, le recul continu de l'économie française sur tous les fronts, y compris sur son propre sol, en est un signe évident et inquiétant.

                  Lorsque je reviens en France, la tristesse des gens m'apparait évidente. Les français sont malheureux et la consommation des anti-dépresseurs en est l'inquiétant révelateur. Les français sont les champion du monde de la consommation des pillules du bonheur !! Le tout généreusement subventionné par "l'état providence".

                  Les différents gouvernements français successifs et leurs premiers ministres me font immanquablement penser à l'orchestre du Titanic.

                  Quand au défilé incessant des consommateurs dans les basse-cours, il n'y a pas de risques en France, les agriculteurs français sont plus motivés par la chasse aux subventions que par celle du client !?
                  ;o)

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                  • #24
                    Ce qui m'avait frappé c que la france un des (sinon le) pays le plus riche d'Europe ait des seuils de pauvreté en-deçà des normes européennes...mdr

                    PARIS (AP) - Un million d'enfants vivent en France en dessous du seuil de pauvreté défini par l'INSEE, soit près de 8% de l'ensemble des mineurs, et près de deux millions sous le seuil "européen", selon le quatrième rapport du Conseil de l'emploi, des revenus et de la cohésion sociale (CERC) rendu public mardi.

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                    • #25
                      Il est impossible que si l'on est un pays riche on ait des normes de pauvreté inférieures à des pays moins riches parce l'un des critères les plus habituels en la matière est de calculer la pauvreté en fonction d'un pourcentage des revenus moyens du pays.
                      Par contre on peut se retrouver avec plus de pauvres si la répartition des revenus et du patrimoine est rès inégalitaire.

                      en matière de richesse et d'inégalitée ds revenus et des patrimoines,la France se trouve globalment dans la moyenne européenne (à 15).

                      On peut faire certes dire n'importe quoi aux chiffres,mais on ne voit que ce qu'on voit et pas ce que voit un autre à l'autre bout du pays.Puisque tu es luxembourgeois je présume que de la France tu connaîs principalement la zone frontalière.De la crise pétrolière au milieu des années 80,la France a perdu le 1/3 de ses emplois industriels.Mais ces pertes ont été partiellement compensées par des emplois dans les srvices,sauf dnsdes zones très sinistrées qui étaient souvent mono-industrielles avec de plus des secteurs qui ont presque complétement périclités dans les pays occidentaux.
                      En ce domaine le nord et l'Alsace-Lorrraine ont été particulièrement touchés,car il y avait beaucoup d'industries traditionnelles. Dans ces régions effectivement ça fait depuis 30 ans que ça va mal.En contrepartie si je ne fais pas erreur le Luxembourg s'est beaucoup enrichi pendant ces années?C'est le pays le plus riche par habitant du monde,le double de la France.

                      Le phénomène de baisse du revenu médian aurait atteint le Royaume-Uni dans les années 80 et l'Europe continentale dans les années 90.

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                      • #26
                        Pour ceux qui aiment l'absurde

                        La pauvreté /la richesse est estimée par un seuil.
                        Si le seuil est de 426€ et que vous gagnez 430€ vous n'êtes plus pauvres, dans un pays du 1/3 Mde vous êtes un prélat. Y-a-t-il une logique ?

                        - C intéressant de voir que les gens mesurent ce qu'ils possèdent par rapport à ce que possèdent les autres, et non ds la valeur des biens eux-mêmes (qui n'ont plus de valeur car ils sont possédés et non plus désirés)inversement il est bon d'avoir des pauvres pour rappeller aux riches qu'ils le sont.

                        - De manière absurde plus une société est riche plus le niveau de pauvreté est tiré vers le haut (plus une société est riche plus vos chances st grandes d'être pauvre)

                        On pose souvent la question de la répartition des richesses alors qu'il faudrait se demander si nous créons des richesses, si l'on pense à la gde distrib' il semble que non ce qui implique que l'on ne peut s'enrichir que par transfert de richesses : plus de riches implique donc plus de pauvres.

                        Ainsi la marque d'un pays riche comme la France est bien sa pproduction en pauvreté ! Relevons le seuil français de pauvreté pour créer du pauvre afin de montrer au Monde que les riches sont des vrais riches.

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                        • #27
                          Oui mais c'est logique Choubaka.Le prix de nombreuses prestations dépend du niveau de vie d'un pays parce que si tel n'étais pas le cas les personnes qui produisent ces prestations ne pourraient pas consommer.
                          Prenons les services.
                          Je ne sais pas combien coûte la coupe de cheveux en Egypte,mas certainement nettement moins cher qu'en France.Disons 3€.En France le prix est assez variable,disons 20€.Est-on mieux coiffé en France pour 20€ qu'en Egypte pour 3€?La réponse est bien entendu non.Faut-il payer les coiffeurs français 3€ comme les egyptiens?

                          C intéressant de voir que les gens mesurent ce qu'ils possèdent par rapport à ce que possèdent les autres, et non ds la valeur des biens eux-mêmes (qui n'ont plus de valeur car ils sont possédés et non plus désirés)inversement il est bon d'avoir des pauvres pour rappeller aux riches qu'ils le sont.
                          La partie entre parenthèse je ne la comprend pas.Quant aux biens comment pourraient-ils avoir une valeur intrinsèque.une boutreille d'eau chez soi ou en plein Sahara lorsqu'il n'y a plus d'eau,il me paraît logique qu'elle n'est pas la même valeur.

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                          • #28
                            Je suis au Luxembourg depuis 2000, et je suis originaire de Lyon.
                            Lorsque je parle de désindustrialisation ou d'apauvrissement, je prend comme référence la région Rhone-alpes.
                            La Loraine, frontalière du Luxembourg, est un cas particulier car cette région bénéficie de la manne financière du Luxembourg. En effet, sur une population d'environ 470 000 habitants, le Luxembourg occupe environ 100 000 frontaliers français, belges ou allemands.
                            Mais sache que le dernier haut-fourneau de cette région encore en activité est au Luxembourg.

                            La région Rhone-alpes possède le plus grand nombre d'emploi dans la chime et la mécanique au niveau national. Le secteur de la chimie/pharmacie n'est pas en forme, le secteur de la mécanique délocalise en ce moment à tour de bras. Le secteur textile a été décimé et les activités innovantes partent en Suisse. Un exemple de société innovante Lyonnaise, Infograme (j'ecris ce texte non loin du siège d'ailleurs !) dispose d'un siège lyonnais surdimension car les emploi français ont littéralement fondues. Infograme n'est plus une société lyonnaise, ni française d'ailleurs, son chiffre d'affaire est planétaire et surtout réalisé outre atlantique.

                            Croire que le tertiare a absorbé une part importante des emplois issus de la désindustrialisation, c'est oublié que le secteur tertiaire à besoin d'un secteur primaire et secondaire dynamique pour exister !
                            Le secteur tertiaire ne peut exister seul. Ce fut d'ailleurs l'illusion des années 80 ou un certain président Mittérand ne voyait plus en France qu'un immense secteur tertiare, un pays "moderne" tourné vers les services.
                            Les emplois perdus n'ont pas été absorbés par les services du secteur tertiaire, mais par ceux du secteur quaternaire - l'état - et par un trucage/bricolage systématique du nombre de chomeurs.


                            De plus, les activité délocalisés en premiers ne sont pas les activité à bas cout horaire, mais au contraire,celles nécessitant une forte compétence (personnel fortement qualifié). C'est la que l'entreprise réalise le Jack-pot. Le PDG de Siemens a déclaré il y a un mois environ qu'un tiers des nouveaux emplois en recherche et développement en informatique (10 000 postes) serait délocalisé dans les pays de l'est en raison ,non seuelement du cout horaire moindre, mais aussi parce qu'il avait été impressionné par la qualité et les compétences du personnel découvert sur place.

                            L'absorbtion des emplois issus de la casse industrielle n'est donc pas recyclé dans les services - et ne le sera jamais - !!!

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                            • #29
                              Providence : tes exemples mettent à bas mes arguments, alors comme je réfléchis très peu souvent celà me conforte d'autant plus. Merci

                              Commentaire


                              • #30
                                Heureux de t'être utile Choubaka .
                                Tu trouves donc les français tristes Kermit.Mais est-ce que ça vraiment à voir avec la richesse des français?Les français ont la réputation de râleurs.si la consommation de médicaments dont les français ont un record dépendait de la santé économique du pays,les argentins devraient en matière de gavage médical ressembler à des oies pour du foie gras.
                                Le secteur tertiaire ne peut exister seul.
                                Je n'ai pas d'avis en ce domaine,mais les physiocrates soutenaient au XVIII° siècle que seul le secteur primaire était créateur de richesses,industrie et commerce n'étant que des activitées parasitaires.Les defenseurs de l'industrie me semblent parfois tenir un discours qui relève de la même logique.Si on avait écouté les physiocrates pas de révolution industrielle.

                                Une excellente question de savoir pourquoi les français se gavent de médicaments.

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