Bonsoir.
En Europe, seule l'Italie aurait pu développer une grande distribution alimentaire, de part la richesse des produits présents sur son sol, pour rivaliser avec les français.
Guichard-Perrachon, comme Leclerc, c'est au départ de l'épicerie, je crois.
Le savoir-faire français en grande distribution alimentaire semble difficile à égaler, pour encore un temps.
Un hypermarché c'est un nombre de références prodigieux par rapport à celui d'un hard-discounter.
Mais le cassoulet générique provient souvent, en effet de la même unité de fabrication que la marque réputée, qui en général propose deux ou trois qualités, comme Buitoni pour les raviolis. (les raviolis en boîte, faut pas rêver, c'est toujours mauvais, mais c'est vrai qu'il y en a d'atroces, dont on se demande seulement si c'est raisonnable de continuer!)
Pour avoir visité une laiterie, j'ai vu de mes yeux le lait changer d'emballage, de dénomination, être donc nommé sous plusieurs marques, il y a déjà 20 ans. (ils ne s'en cachent pas)
La qualité, c'est très subjectif, il est hors de question de me fier à la marque, qui n'est autre chose, le plus souvent, que sous gouvernement d'énormes multinationales, capables de faire absolument ce qu'elles veulent de notre goût, de nos santés.
On ne peut pas tracer ces gens-là, c'est pas comme une petite conserverie artisanale d'anchois qui aurait deux siècles, et qui elle, peut arguer de la qualité qui correspond à son nom, sa marque.
Si le chocolat en poudre, sans sucre Van Houten est racheté par un géant genre Nestlé, la qualité va automatiquement en pâtir, c'est mécanique.
Les labos vont rajouter des petits extraits de ceci cela, et petit à petit, la notion de qualité se dilue.
C'est bon, les cookies Shépakoi, mais c'est trafiqué pas possible, il vaut mieux les faire soi-même, si on veut aider la Sécu.
Dire que les groupes de grande distribution commandent aux multinationales de l'agroalimentaire me fait quelque peu sourire.
Si j'ai bien compris, les chaînes d'hypermarchés ont créé des centrales ou groupements d'achat, pour pouvoir être plus consistants, face à ces géants.
Les marges des grandes marques sont très bonnes, ce ne sont pas les marques qu souffrent, je ne pense pas, car ils vendent surtout la marque, même si quelques produits restent bons, dans la masse.
Prenons un produit comme la Savora, de chez Amora, je crois, qui est un condiment "moutardé".
Ce que je constate, en tant que consommateur connaissant ce produit depuis 40 ans, c'est qu'il a pris une texture bizarre, autrement dit qu'ils l'ont chargé en alginates, et autres émulsifiants, ce qui permet de mettre moins de chaque ingrédient d'origine, avec de l'eau en plus, évidemment.
Un exhausteur de goût s'impose donc pour rétablir un peu ce que l'on attend d'un condîment.
Mais ils ne se sont pas arrêtés là. En plus de cela, la mode actuelle, veut que l'on ketchupise, c'est à dire, que l'on sucre à peu près tout.
Résultat, ça se vend beaucoup mieux qu'avant, ça revient bien moins cher à fabriquer, mais le prix, lui, a augmenté énormément.
Mais ils ont perdu un client, qu'a pas , comme JP Koff, les mêmes valeurs, j'pense!
Comme je plains nos chères marques!
Pour trouver un condîment digne de ce nom, il doit falloir aller dans les rares épiceries fines qui ont réussi à survivre, dont certaines font aussi du gros, du surgelé, et autres fournitures pour professionnels, sans quoi il fallait s'appeler Fauchon. (ou bien faire un tour en Belgique!)
Les bonnes marques, elles sont dans ces épiceries fines, si l'on veut parler de qualité véritable.
Sinon, faut connaître, parceque c'est pas toujours facile de distinguer une petite conserverie artisanale d'une usine qui trafique le produit à grands coups de glutamates et autres merveilles culinaires dont est farci la quasi totalité de ce que nous consommons.
Dans les saucisses, parfois, on a l'impression qu'ils ont échappé le baril de 200 litres dans le pétrin. Ca t'arrache la gorge, tellement ils en ont mis!
Tant que tu ne les as pas achetées et goûtées, tu ne peux pas le savoir, mais ensuite, il est temps d'aller causer du pays au chef de rayon et lui rappeler qu'on n'est pas des bêtes, mince!
Comment peut-on encore faire confiance à des marques?
Je parle évidemment de celles qui transforment vraiment les produits.
Pour les produits simples genre flageolets, il n'y a pas besoin de trafiquer beaucoup, il y aura toujours quelque amidon rajouté, du conservateur classaique, des choses semblables pour toutes les marques.
Par contre là, la qualité du flageolet lui-même peut varier beaucoup.
De toute façon, plus on met dans son alimentation une part importante de produits transformés par quelqu'un d'autre que soi-même, gâteaux, entremets, plats cuisinés en surgelé, traîteur ou conserve, moins c'est correct, plus on a de chances d'avaler des tas de trucs aux vertus douteuses voire délétères.
C'est justement le métier des marques.
Par contre les appellations d'origine contrôlée, ça correspond réellement à des critères de qualité bien cadrés, quelque soit le nom du fabricant, producteur.
La logique du prix ne veut rien dire, on cible, c'est tout.
Que ce soit pour du saumon, seul le palais, la dégustation peut donner un élément qui se tienne, car on vend du pas bon fort cher, parfois, et inversement, hors le problème de résidus divers que l'on peut y trouver.
Les grands distributeurs ne font pas de grosses marges, comme indiqué par Verger. Mais fonction des volumes, ça finit par être impressionnant.
Ces marges moyennes n'ont fait que baisser depuis 35 ans d'existence des supermarchés-hypermarchés. (cela ne leur pose aucun problème, ils s'en ouvrent régulièrement.)
Par contre, le développement, les objectifs, parts de marché, ça peut les inquiéter davantage.
La "productivité" ne cesse d'augmenter, de mille manières.
Mais l'on peut acheter du vêtement, généralement de très mauvaise qualité en hypermarché, qui sera vendu deux fois plus cher que dans des surfaces spécialisées de qualité un peu supérieure.
Les grandes surfaces ont des tas de créneaux pour se rattraper des faibles marges sur certains produits.
Ce sont les hypermarchés qui écoulent de loin la plus grande part des fruits et légumes, qui sont pour les 90 % au moins, des légumes de variétés sélectionnées pour leur adéquation à des critères de conservation, d'apparence, etc, mais pas pour leur saveur.
Là-dessus, les marges sont fort bonnes, et les prix sont excessifs, vu la qualité ainsi ce qui est payé au producteur.
Là encore, c'est un vrai danger de batardisation de notre alimentation, mais c'est aussi de l'arnaque. (ce n'est plus un danger, c'est un fait)
Pourtant c'est sur ces produits non transformés qu'il faudrait porter la plus grande attention, pour améliorer l'alimentation, qui ne correspond plus à l'équilibre de notre santé, comme on a du vous le dire un peu partout.
Pour faire du bon pain, il faut tout d'abord de la bonne farine, et la marque, là non plus, n'apporte pas la moindre garantie.
Comme je ne peux quasiment pas me payer de légumes et de fruits qui sont souvent de mauvaise qualité et bien trop chers, parfois plus chers que la viande ou le poisson, pour ce qui est des tomates, des poivrons, des fruits courants hors pommes et banane, j'achète des légumes surgelés, de qualité obligatoirement supérieure, tendreté, fraîcheur, au moment de leur congélation tout du moins.
Cela revient jusqu'à trois fois moins cher, pour des trucs assez courants. Un mélange "jardinière" ou "potage", ça commence à 1 €, mais je me fends jusqu'à 2.2 €, pas plus!
Mais là encore il leur suffit de se rattraper sur le prix des pommes frîtes, vendues hors de prix, par rapport.
Les prix des produits sont de plus en plus décorélés de leur prix de revient, et c'est pourquoi l'on trouvera de moins en moins des sacs de 2.5 kg de frîtes sans marque, parceque ça peut passer de ne proposer que le générique à l'enseigne du magasin en plus des autres marques, mais déjà à un prix qui permette une très bonne marge.
Les petits clients, les pauvres, doivent être attirés comme les autres,car ils sont nombreux! Il suffit pour cela qu'il y ait quelques références "discount", mais ce ne sera pas par philantropie, puisque qu'on les séduira immanquablement avec de quoi faire de bonnes marges.
A dix heures du mat, les "1er prix" ont disparus, il faut revenir le lendemain! ("on n'a pas pensé à en mettre beaucoup, revenez demain, on va être livré cette nuit!" )
L'hypermarché, la distribution plutôt alimentaire, c'est vraiment un vaste domaine de compétences, c'est très performant, en France.
Mais quand je trouve des haricots verts surgelés à 1.50€ le kg, je me dis toujours qu'une fois triés, emballés, congelés, transportés, négociés, présentés, conservés à la température requise avant que je les mette dans mon panier, le producteur africain ne peut pas avoir gagné grand chose.
Alors moi, les Danone, sincèrement, je ne pleure pas pour leurs marges, ni pour la "qualité" qu'ils sont censés nous garantir, Anaphraïs.
Pourquoi tous les gamins ont de l'athsme, ou des allergies, franchement, en dehors du fait que tout leur environnement est traîtés avec des produits ménagers qui sentent le propre même un an après, tellement ils sont farcis de bons produits pour les bronches et la peau.
Vaudrait mieux les laisser dans la crasse, ils risquent moins d'être malades plus tard, c'est sûr!
Enfin, ça c'est les mères qui savent ce qu'elles ont à faire de ce côté là, et bien mieux que nous!
Bonne nuit!
En Europe, seule l'Italie aurait pu développer une grande distribution alimentaire, de part la richesse des produits présents sur son sol, pour rivaliser avec les français.
Guichard-Perrachon, comme Leclerc, c'est au départ de l'épicerie, je crois.
Le savoir-faire français en grande distribution alimentaire semble difficile à égaler, pour encore un temps.
Un hypermarché c'est un nombre de références prodigieux par rapport à celui d'un hard-discounter.
Mais le cassoulet générique provient souvent, en effet de la même unité de fabrication que la marque réputée, qui en général propose deux ou trois qualités, comme Buitoni pour les raviolis. (les raviolis en boîte, faut pas rêver, c'est toujours mauvais, mais c'est vrai qu'il y en a d'atroces, dont on se demande seulement si c'est raisonnable de continuer!)
Pour avoir visité une laiterie, j'ai vu de mes yeux le lait changer d'emballage, de dénomination, être donc nommé sous plusieurs marques, il y a déjà 20 ans. (ils ne s'en cachent pas)
La qualité, c'est très subjectif, il est hors de question de me fier à la marque, qui n'est autre chose, le plus souvent, que sous gouvernement d'énormes multinationales, capables de faire absolument ce qu'elles veulent de notre goût, de nos santés.
On ne peut pas tracer ces gens-là, c'est pas comme une petite conserverie artisanale d'anchois qui aurait deux siècles, et qui elle, peut arguer de la qualité qui correspond à son nom, sa marque.
Si le chocolat en poudre, sans sucre Van Houten est racheté par un géant genre Nestlé, la qualité va automatiquement en pâtir, c'est mécanique.
Les labos vont rajouter des petits extraits de ceci cela, et petit à petit, la notion de qualité se dilue.
C'est bon, les cookies Shépakoi, mais c'est trafiqué pas possible, il vaut mieux les faire soi-même, si on veut aider la Sécu.
Dire que les groupes de grande distribution commandent aux multinationales de l'agroalimentaire me fait quelque peu sourire.
Si j'ai bien compris, les chaînes d'hypermarchés ont créé des centrales ou groupements d'achat, pour pouvoir être plus consistants, face à ces géants.
Les marges des grandes marques sont très bonnes, ce ne sont pas les marques qu souffrent, je ne pense pas, car ils vendent surtout la marque, même si quelques produits restent bons, dans la masse.
Prenons un produit comme la Savora, de chez Amora, je crois, qui est un condiment "moutardé".
Ce que je constate, en tant que consommateur connaissant ce produit depuis 40 ans, c'est qu'il a pris une texture bizarre, autrement dit qu'ils l'ont chargé en alginates, et autres émulsifiants, ce qui permet de mettre moins de chaque ingrédient d'origine, avec de l'eau en plus, évidemment.
Un exhausteur de goût s'impose donc pour rétablir un peu ce que l'on attend d'un condîment.
Mais ils ne se sont pas arrêtés là. En plus de cela, la mode actuelle, veut que l'on ketchupise, c'est à dire, que l'on sucre à peu près tout.
Résultat, ça se vend beaucoup mieux qu'avant, ça revient bien moins cher à fabriquer, mais le prix, lui, a augmenté énormément.
Mais ils ont perdu un client, qu'a pas , comme JP Koff, les mêmes valeurs, j'pense!
Comme je plains nos chères marques!
Pour trouver un condîment digne de ce nom, il doit falloir aller dans les rares épiceries fines qui ont réussi à survivre, dont certaines font aussi du gros, du surgelé, et autres fournitures pour professionnels, sans quoi il fallait s'appeler Fauchon. (ou bien faire un tour en Belgique!)
Les bonnes marques, elles sont dans ces épiceries fines, si l'on veut parler de qualité véritable.
Sinon, faut connaître, parceque c'est pas toujours facile de distinguer une petite conserverie artisanale d'une usine qui trafique le produit à grands coups de glutamates et autres merveilles culinaires dont est farci la quasi totalité de ce que nous consommons.
Dans les saucisses, parfois, on a l'impression qu'ils ont échappé le baril de 200 litres dans le pétrin. Ca t'arrache la gorge, tellement ils en ont mis!
Tant que tu ne les as pas achetées et goûtées, tu ne peux pas le savoir, mais ensuite, il est temps d'aller causer du pays au chef de rayon et lui rappeler qu'on n'est pas des bêtes, mince!
Comment peut-on encore faire confiance à des marques?
Je parle évidemment de celles qui transforment vraiment les produits.
Pour les produits simples genre flageolets, il n'y a pas besoin de trafiquer beaucoup, il y aura toujours quelque amidon rajouté, du conservateur classaique, des choses semblables pour toutes les marques.
Par contre là, la qualité du flageolet lui-même peut varier beaucoup.
De toute façon, plus on met dans son alimentation une part importante de produits transformés par quelqu'un d'autre que soi-même, gâteaux, entremets, plats cuisinés en surgelé, traîteur ou conserve, moins c'est correct, plus on a de chances d'avaler des tas de trucs aux vertus douteuses voire délétères.
C'est justement le métier des marques.
Par contre les appellations d'origine contrôlée, ça correspond réellement à des critères de qualité bien cadrés, quelque soit le nom du fabricant, producteur.
La logique du prix ne veut rien dire, on cible, c'est tout.
Que ce soit pour du saumon, seul le palais, la dégustation peut donner un élément qui se tienne, car on vend du pas bon fort cher, parfois, et inversement, hors le problème de résidus divers que l'on peut y trouver.
Les grands distributeurs ne font pas de grosses marges, comme indiqué par Verger. Mais fonction des volumes, ça finit par être impressionnant.
Ces marges moyennes n'ont fait que baisser depuis 35 ans d'existence des supermarchés-hypermarchés. (cela ne leur pose aucun problème, ils s'en ouvrent régulièrement.)
Par contre, le développement, les objectifs, parts de marché, ça peut les inquiéter davantage.
La "productivité" ne cesse d'augmenter, de mille manières.
Mais l'on peut acheter du vêtement, généralement de très mauvaise qualité en hypermarché, qui sera vendu deux fois plus cher que dans des surfaces spécialisées de qualité un peu supérieure.
Les grandes surfaces ont des tas de créneaux pour se rattraper des faibles marges sur certains produits.
Ce sont les hypermarchés qui écoulent de loin la plus grande part des fruits et légumes, qui sont pour les 90 % au moins, des légumes de variétés sélectionnées pour leur adéquation à des critères de conservation, d'apparence, etc, mais pas pour leur saveur.
Là-dessus, les marges sont fort bonnes, et les prix sont excessifs, vu la qualité ainsi ce qui est payé au producteur.
Là encore, c'est un vrai danger de batardisation de notre alimentation, mais c'est aussi de l'arnaque. (ce n'est plus un danger, c'est un fait)
Pourtant c'est sur ces produits non transformés qu'il faudrait porter la plus grande attention, pour améliorer l'alimentation, qui ne correspond plus à l'équilibre de notre santé, comme on a du vous le dire un peu partout.
Pour faire du bon pain, il faut tout d'abord de la bonne farine, et la marque, là non plus, n'apporte pas la moindre garantie.
Comme je ne peux quasiment pas me payer de légumes et de fruits qui sont souvent de mauvaise qualité et bien trop chers, parfois plus chers que la viande ou le poisson, pour ce qui est des tomates, des poivrons, des fruits courants hors pommes et banane, j'achète des légumes surgelés, de qualité obligatoirement supérieure, tendreté, fraîcheur, au moment de leur congélation tout du moins.
Cela revient jusqu'à trois fois moins cher, pour des trucs assez courants. Un mélange "jardinière" ou "potage", ça commence à 1 €, mais je me fends jusqu'à 2.2 €, pas plus!
Mais là encore il leur suffit de se rattraper sur le prix des pommes frîtes, vendues hors de prix, par rapport.
Les prix des produits sont de plus en plus décorélés de leur prix de revient, et c'est pourquoi l'on trouvera de moins en moins des sacs de 2.5 kg de frîtes sans marque, parceque ça peut passer de ne proposer que le générique à l'enseigne du magasin en plus des autres marques, mais déjà à un prix qui permette une très bonne marge.
Les petits clients, les pauvres, doivent être attirés comme les autres,car ils sont nombreux! Il suffit pour cela qu'il y ait quelques références "discount", mais ce ne sera pas par philantropie, puisque qu'on les séduira immanquablement avec de quoi faire de bonnes marges.
A dix heures du mat, les "1er prix" ont disparus, il faut revenir le lendemain! ("on n'a pas pensé à en mettre beaucoup, revenez demain, on va être livré cette nuit!" )
L'hypermarché, la distribution plutôt alimentaire, c'est vraiment un vaste domaine de compétences, c'est très performant, en France.
Mais quand je trouve des haricots verts surgelés à 1.50€ le kg, je me dis toujours qu'une fois triés, emballés, congelés, transportés, négociés, présentés, conservés à la température requise avant que je les mette dans mon panier, le producteur africain ne peut pas avoir gagné grand chose.
Alors moi, les Danone, sincèrement, je ne pleure pas pour leurs marges, ni pour la "qualité" qu'ils sont censés nous garantir, Anaphraïs.
Pourquoi tous les gamins ont de l'athsme, ou des allergies, franchement, en dehors du fait que tout leur environnement est traîtés avec des produits ménagers qui sentent le propre même un an après, tellement ils sont farcis de bons produits pour les bronches et la peau.
Vaudrait mieux les laisser dans la crasse, ils risquent moins d'être malades plus tard, c'est sûr!
Enfin, ça c'est les mères qui savent ce qu'elles ont à faire de ce côté là, et bien mieux que nous!
Bonne nuit!
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