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L'us$, l'€, l'Or....et la Chine
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  • #46
    citation :
    Citation de gli

    En sommes nous arrivés à racler nos fonds de tiroirs symboliques...??????? Tout le reste est il déjà hypothéqué???


    Non tout n'est pas hypothéqué...
    Le ministre a aussi fait remarquer que l'Etat détenait "12 millions de m2 de bureaux", jugeant qu'il ne serait pas "raisonnable" de les garder tous. Des déménagements de services dans des villes ou des arrondissements moins prestigieux qu'actuellement, seraient à l'étude.

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    • #47
      Il y a environ 3 000 tonnes d'or et des millions de m2 de propriétés immobilières.Mais pour payer la dette de 1 000 milliards d'euros il va falloir en effet râcler les fonds de tiroir.

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      • #48
        l'actif net (tout confondu) de l'état francais est estimé à combien?????????
        (je ne suis plus à 1 milliard près....)car on nous dit que la dette publique correspond à 15 000 euros par personne...

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        • #49
          Impossible de déterminer l'actif net car une partie n'est pas cessible dans le cadre du droit français actuel.Par exemple les oeuvres d'art,les droits miniers sur le sous-sol etc...
          A titre d'exemple il y a quelques années le magasine Ca m'intéresse avait fait un article sur le prix que coûterait de construire à l'identique ou avec des matériaux modernes certains chefs d'oeuvres architecturaux.Pour Versailles la cosntruction à l'identique coûterait plus de 10 milliards d'euros.

          S'il fallait vraiment tout vendre il y a largement de quoi rembourser la dette.Mais qui achéterait et à quel prix certains biens peuvent-ils être vendus sur le marché?

          En ce qui concerne le patrimoine de l'Etat cessible sans trop de difficultées,lui-même n'a pas d'idée précise de son périmètre.Je suppose cependant qu'un montant à la louche doit exister quelque part.

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          • #50
            Tout sur la dette de l'état français (et non pas ses engagements, qui sont beaucoup plus importants) : http://www.francetresor.gouv.fr/

            En cours de la dette
            négociable de l'Etat au
            29 février 2004
            796 457 642 698 euros

            Je ne sais pas combien de millions de contribuables nous sommes, mais sur la base de 50 000 000 on arrive à 16 000€/contribuable)

            Juste pour le "fun", l'équivalent aux USA : de l'ordre de 25 000 USD/habitant (http://www.publicdebt.treas.gov/bpd/bpdhome.htm), sachant que les engagements arrivent à des niveaux monstrueux (de l'ordre de 50 trillions de dollars fin 2004)!



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            • #51
              Un compteur en live pour le fun.....
              http://www.uwsa.com/uwsa-usdebt.html

              Le meme site pour la France? Très pédagogique.....

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              • #52
                Le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, s'est quant lui déclaré disposé à vendre une partie des réserves d'or, dans une interview au Parisien publiée mercredi 14 avril, tout en soulignant que le produit de la vente ne pourrait aller financer le budget de l'Etat.
                "Vendre l'or, oui mais... Il n'est pas question de le vendre pour donner directement au gouvernement l'argent obtenu", a déclaré M. Noyer au Parisien Aujourd'hui en France.
                Le produit de la vente pourrait en revanche être placé, les intérêts encaissés permettant à la banque centrale de dégager des bénéfices, lesquels seraient ensuite reversés sous forme de dividendes à l'Etat en tant qu'actionnaire de la Banque de France, explique M. Noyer.
                Le gouverneur de la BdF rappelle que "dans le cadre d'un accord entre banques centrales, nous disposerons de la possibilité de vendre environ 500 tonnes d'or sur cinq ans à compter de l'automne prochain", précisant que la décision n'était toutefois pas encore prise.

                La position de Sarkozy

                "J'ai pris connaissance avec la plus grande attention de la position du ministre des finances Nicolas Sarkozy", affirme M. Noyer dans le Parisien.
                Il souligne que la décision sur une éventuelle vente d'or dans le cadre de l'accord entre banques centrales "sera tranchée en toute indépendance par la Banque de France conformément à la loi et au traité sur l'Union européenne". "Je vais m'en entretenir prochainement avec le ministre, que je vois régulièrement, ainsi qu'avec le conseil de la politique monétaire", ajoute-t-il.
                "En tout état de cause, nous annoncerons notre décision avant l'automne", a précisé le gouverneur.
                "L'or détenu par la Banque de France (...) est inscrit dans les comptes financiers de notre institution et il ne peut en sortir qu'à la condition d'être aussitôt remplacé par un autre actif", poursuit M. Noyer. En cas de vente, cet actif serait constitué des placements qu'elle ferait avec les fonds dégagés et "qui lui rapporterait de l'argent".
                M. Noyer a toutefois relativisé la portée d'une telle mesure et les sommes que représenteraient les intérêts produits par le placement et reversés à l'Etat sous forme de dividendes. "La capacité de la Banque de France à faire des bénéfices n'est qu'un aspect très marginal du redressement des finances publiques".


                http://permanent.nouvelobs.com/economie/20040414.O...

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                • #53
                  La banque londonienne Rothschild a annoncé son retrait du marché des matières premières. Outre le marché du pétrole, elle quitte celui du métal précieux et doré qui a fait sa renommée. Le Financial Times rappelle que “la compagnie qui a fait de la contrebande de pièces d’or à travers la Manche pour financer l’avancée militaire du duc de Wellington en France, il y a deux cents ans, va se retirer du marché de l’or à Londres, où elle a présidé à la fixation du prix du métal jaune depuis la première fois que le cours de l’or a été fixé, en 1919”...

                  En définitive, la décision de l’illustre maison londonienne de se retirer du marché de l’or marque l’adaptation de cette famille aux évolutions contemporaines. “A présent, les Rothschild quittent le pétrole et l’or au profit de secteurs plus avantageux de la banque privée et du management financier”, note The Independent. C’est la fin de l’ère du métal jaune en tant que valeur d’investissement, observe le Financial Times. “La fétichisation de l’or, plusieurs décennies après qu’il a cessé d’être utilisé comme étalon du système monétaire international, est une anomalie dépassée sur les marchés financiers”. Conséquence du virage entrepris par la banque londonienne, “une quarantaine de postes pourraient être supprimés et près de 75 millions d’euros de capitaux seront dégagés pour être réinvestis”.

                  A n’en pas douter, les Rothschild comptent perpétuer le succès qu’ils ont obtenu jusque-là. “En 1997, la holding suisse de la famille a augmenté ses bénéfices de 66 %. La société ne s’appelle pas Rothschild Continuation pour rien”, commente The Independent.


                  http://www.courrierinternational.com/article.asp?o...

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                  • #54
                    Rothschild quite le navire avant qu'il coule.
                    pour avoir un début de réponse :
                    http://www.gold-eagle.com/editorials_04/north04220...

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                    • #55
                      Le marché français de l'or est suspendu jusqu'à nouvel avis. Il n'y a donc plus de cotation du napoléon et du lingot à Paris depuis le 31 juillet. Derrière la raison officielle du manque d'activité au mois d'août se cache en fait une réalité plus inquiétante : la désaffection des intervenants. De trois, ils sont passés à deux. Le Crédit du Nord vient en effet de jeter l'éponge et sous-traitera dorénavant son activité, à l'image des autres banques françaises, à la CPR. Cette dernière va donc se retrouver en tête à tête au Palais Brongniart avec Cookson Clal.

                      Outre le fait que la notion économique de marché semble incompatible à deux, la réglementation française impose de toute façon un quorum de trois participants sur le marché libre de l'or. Une solution doit donc être trouvée assez rapidement. Certes la réglementation peut être modifiée, mais le problème qui se pose est plus profond puisqu'il concerne l'avenir même de ce marché en France, du moins sous sa forme actuelle.


                      A force de surtaxer l'or ce n'est pas étonnant.

                      La suite de l'article,
                      http://www.lefigaro.fr/eco-entreprises/20040809.FI...

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                      • #56
                        Bataille autour des mines d'or en Afrique du Sud. Le numéro six mondial, le sud-africain Harmony Gold, a lancé, lundi 18 octobre, une offre d'achat sur son compatriote Gold Fields, classé au quatrième rang, en vue de créer le leader mondial du secteur, à la fois en termes de production (plus de 7,5 millions d'onces par an) et de réserves (139 millions d'onces).

                        Le prix proposé est de 52,9 milliards de rands (6,7 milliards d'euros). L'opération est prévue sous forme d'échange d'actions (OPE) entre les deux groupes aurifères et se traduirait par une prime de 29 % pour Gold Fields par rapport aux cours du 14 octobre.

                        Cette proposition a été rejetée, dès l'annonce, par la direction de Gold Fields, qui admet mal de se voir absorber par une compagnie plus petite et surtout qui trouve la proposition "sous-évaluée". Elle estime également qu'elle ne s'inscrit pas dans sa stratégie. Les dirigeants ont donc appelé les investisseurs à soutenir la direction actuelle, qui a proposé cet été une fusion entre Gold Fields et le canadien IAM Gold. Pourtant, de son côté, le russe Norilsk Nickel, premier actionnaire de Gold Fields (20 % du capital), s'est désolidarisé en apportant à Harmony Gold l'"engagement irrévocable" d'accepter son offre.


                        La suite de l'article,
                        http://www.lemonde.fr/
                        web/article/0,1-0@2-3234,36-383576,0.html

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                        • #57
                          Vendredi 12 novembre, une animation inhabituelle régnera au siège du groupe minier sud-africain Harmony Gold, à l'occasion de l'assemblée extraordinaire appelée à approuver l'offre de reprise hostile de 8,1 milliards de dollars (6,4 milliards d'euros) sur son rival Gold Fields, lancée le 18 octobre. Il s'agit d'une semaine décisive pour Harmony : en cas d'accord de ses actionnaires, la voie pourrait s'ouvrir afin de créer le numéro un mondial de l'or, à la fois en termes de production (plus de 7,5 millions d'onces par an) et de réserves (139 millions d'onces).

                          L'issue est toutefois incertaine, car la cible, quatrième producteur mondial, est bien plus grosse que le prédateur, sixième du même classement. Gold Fields, plus vieil extracteur d'Afrique du Sud, entend contrecarrer l'offre hostile de son compatriote en deux temps, en saisissant les tribunaux américains et les organismes boursiers sud-africains...

                          "Nous apportons deux choses à l'actionnaire de Gold Fields. Nos mines sont mieux gérées et sont plus rentables et nous arrêtons la transaction avec IAMGold, destructrice de valeur", explique Bernard Swanepoel, directeur général d'Harmony. Car la reprise de Gold Fields est stratégique pour Harmony. Ce dernier tire 88 % de sa production de mines sud-africaines. Cet or est bien plus coûteux à produire que celui des concurrents américains, australiens ou canadiens dont la plupart des gisements sont situés en surface. Les mines sud-africaines sont plus difficiles à exploiter en raison de leur grande profondeur, jusqu'à 5 000 m. Les difficultés de la mécanisation nécessitent une main-d'œuvre nombreuse. Résultat, le coût moyen d'extraction y est de 352 dollars l'once, contre une moyenne mondiale de 250 dollars. Même avec un prix de l'or en hausse, la survie des mines les plus marginales n'est pas garantie.

                          Gold Fields n'est pas dans la même situation : implantée au Ghana et en Australie, l'entreprise ne tire que 64 % de sa production de son pays d'origine. Un équilibre de production aussi atteint par l'autre grand concurrent national, AngloGold, contrôlé par le conglomérat AngloAmerican : l'Afrique du Sud fournit moins de la moitié de sa production.

                          Harmony cherche d'autant plus à se diversifier à l'étranger que le climat actuel en Afrique du Sud est peu propice aux affaires...

                          Gold Fields a beau jeu de souligner les mauvais résultats de son prédateur lors des trois derniers trimestres. Reste que, pour parvenir à ses fins, M. Swanepoel dispose de plusieurs atouts. Les investisseurs institutionnels ont un faible pour ce champion de la libre entreprise qui se présente avec des costumes fripés et de larges cravates. En comparaison, les cadres anglophones, hautains et arrogants, de Gold Fields ont une réputation détestable sur la place de Johannesburg.

                          Aussi, l'OPA a le soutien du principal actionnaire de Gold Fields, Norilsk Nickel, numéro un mondial du nickel et du cobalt, en délicatesse avec le Kremlin. La compagnie contrôlée par l'oligarque russe Vladimir Potanine espère mettre ses avoirs aurifères à l'abri dans le nouveau groupe pour échapper à la vindicte de l'administration Poutine. Par ailleurs, l'arrivée éventuelle d'un chevalier blanc, un groupe surenchérissant l'offre d'Harmony en accord avec Gold Fields, paraît peu probable...

                          De l'avis général, le secteur reste trop fragmenté. D'autres rapprochements pourraient suivre.


                          L'intégralité de l'article,
                          http://www.lemonde.fr/
                          web/article/0,1-0@2-3234,36-386211,0.html

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                          • #58
                            Sur les six premiers mois de 2004, la Chine a connu une croissance de 9,7% en rythme annuel d'après le BNS. Mais les statistiques provinciales font ressortir un taux de 13,5% sur le même semestre, soit un écart de près de 4 points avec le chiffre national.

                            Qui croire ? L'économie tend-elle vers l'atterrissage en douceur, ou poursuit-elle une ascension enfiévrée ? L'appareil statistique est certes moins biaisé aujourd'hui qu'en 1959, lorsqu'il proclamait une récolte record pour plaire à Mao tandis que des dizaines de millions de Chinois crevaient de faim. Mais le régime reste une dictature obsédée par le secret et sans contre-pouvoir. Chacun – juge, politicien ou économiste – a intérêt à flatter son chef plutôt qu'à lui décrire la vérité...

                            En l'occurrence, l'écart de 4 points de croissance s'explique par deux exigences contradictoires. D'un côté, le souci de Pékin de prouver au reste du monde l'efficacité de sa politique «antisurchauffe». De l'autre, le désir de chaque province de montrer que son économie marche mieux que les autres. Entre les deux, les chiffres ne pèseraient pas lourds : «La promotion et la carrière des cadres dépendent du résultat, pas de la réalité», note le Ersheyi Shizi Jingji. L'incertitude chinoise dépasse le PNB, et sa mesure. La République populaire est l'un des premiers producteurs d'ordinateurs, mais il reste impossible d'en connaître la population à 50 millions près, ou l'étendue des terres arables à des dizaines de millions d'hectares près. L'article du Ersheyi Shizi Jingji marque un progrès dans la transparence. D'après le journal, le premier ministre, Wen Jiabao, a convoqué une réunion d'urgence sur l'incohérence des chiffres de la croissance et dépêché une mission d'inspection statistique dans plusieurs provinces.


                            L'intégralité de l'article,
                            http://www.lefigaro.fr/eco-monde/20041110.FIG0405.html

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                            • #59
                              Or, signale The Economist, les Banques centrales asiatiques détiennent actuellement la bagatelle de 1 890 milliards de dollars de réserves de devises, essentiellement en dollars. Que le dollar s’écroule et les réserves font de même, avec des conséquences néfastes pour ces banques. Le magazine donne quelques exemples : "Si le dollar perd 10 % par rapport au yuan chinois, la Chine subira une perte de capital équivalent à 3 % de son PIB. De même pour la Corée du Sud. Pour Taïwan, ce serait même pire, cela lui coûterait 8 % de son PIB !"

                              Les Banques centrales asiatiques ne savent pas trop comment réagir à cette situation. En effet, si elles veulent éviter la dévaluation du dollar, elles doivent alors acheter du billet vert, ce qui les rend encore plus vulnérables à une dévaluation future… Si elles diversifient leurs réserves, en se procurant de l’euro par exemple, cela accélérera la chute du dollar… et donc leurs pertes. Et pourtant, constate The Economist, "les Asiatiques se taisent, et ce sont les Européens qui font du ramdam".

                              Ils devraient plutôt voir, affirme l’hebdomadaire, "que cet euro élevé permet à la Banque centrale européenne de lutter efficacement contre l’inflation, qui n’a jamais réellement été maintenue en dessous de 2 %, comme cela devait être. En outre, l’euro élevé rend le pétrole moins cher. Enfin, si l’euro donne un meilleur pouvoir d’achat, cela incitera peut-être les ménages à le dépenser et donc relancera la consommation interne qui fait cruellement défaut à l’Union européenne". Une aubaine, quoi !


                              L'intégralité de l'article,
                              http://www.courrierinternational.com/article.asp?o...

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                              • #60
                                Conformément à la promesse de Nicolas Sarkozy, entre 500 à 600 tonnes d'or vont être cédées par la Banque de France dans les cinq prochaines années, soit une "fraction limitée" de ses réserves, annonce vendredi 19 novembre le ministère des Finances dans un communiqué.
                                Le gouverneur de la BdF Christian Noyer a confirmé son intention de "procéder dans les cinq prochaines années à un 'arbitrage' au sein des réserves de change, en vendant une fraction limitée (de 500 à 600 tonnes sur les 3.000 tonnes détenues par la Banque de France) des réserves en or", précise Bercy. Dans le même temps, les réserves en devises vont être augmentées.


                                L'intégralité de l'article,
                                http://permanent.nouvelobs.com/economie/20041119.O...

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