LE TRADING AU FEMININ

[moovies]

Bonjour,

si je puis me permettre,Je crois en effet que les femmes soient plus courageuses que les hommes, et cela sez confirme dans beaucoup de situation de la vie quotidienne, cela ne peut qu'aider en bourse mais ce passage du texte :"Cette ressource insoupçonnée a été maintes fois mentionnées dans des circonstances extrêmes, telles que par exemple les entraînements militaires." ne reflète malheureusement pas la réalité, ou alors pour les entrainements lègers, de source sure...
J'ose espèrer que ce texte dit plus de vérité que ce passage

[coyotito]

citation :

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Citation de paal

[quote]Citation de Prune
Il n'y a qu'à voir la fréquentation du salon de l'AT et le peu de femmes qui étaient présentes pour constater que c'est un monde d'hommes.

La grosse différence entre les hommes et les femmes dans le trading, vient aussi, amha, dans leur rapport à l'argent, qui conditionne peut être leur manière de trader.

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Lors d'un des derniers salons, il y en avait au moins une de femme, et c'était Linda...
Et je crois me souvenir qu'elle a fait un carton .... très pro !
et je crois qu'un certain Kiki a bien capté l'essentiel de ses propos.
...

Paal devait parler de kiki27 du sympathique site du même nom et qui a retranscrit l'interview de Linda :

http://kiki27dt.free.fr/Dossiers/Interview_traders...

[ben]

Bonjour Corinne

Bonne initiative que l'ouverture d'un sujet consacré au trading féminin Dans la mesure où vous, les femmes, ne représentaient que 5% du nombre total des membres de Pro-AT, ça fait tjrs plaisir de vous entendre !

Pour en revenir au sujet, je pense que votre approche du trading est peut-être plus rationnelle que pour un homme dans la mesure où votre aversion au risque est plus élevée. Pour ce qui est du respect de la méthode de trading,c'est-à-dire de la discipline, difficile de dire qui en a le plus. Pour ma part, je pense que quelqu'un qui se prend 10 moins-values consécutives dans la figure et qui est un tant soit peu objectif commence à se poser des questions sur la fiabilité et/ou la performance de sa méthode (voire sur l'absence de méthode) et ce quel que soit le sexe.

Par ailleurs, compte tenu de ses "obligations" maternelles, une femme est sans doute moins enclin à faire du trading sa seule et unique activité...

Quoiqu'il en soit, le sujet est vaste et passionnant, à l'image de la Bourse !

[Corine]

Padmee, tu as le feu vert...

[Corine]

mlgs n'ayant pas reussi à poster sur la file, il me demande de le faire pour lui. je le cite donc :

Féminisme ou anti feminisme ?
Masculinité ou anti masculinité ?
quotas- égalité ?
à part la question " rigolade" à quoi rime tout ceci à l'époque de l'unisexe
revendiqué par une societé ou l'EGO est
roi (ou reine)?
S'agit-il dune figure de rhétorique ou d'un essai psyco-philosophique ?
Quand à moi je prefere l'harmonie et la "complementarité" ceci est sans doute vieux jeu mais aucunement MACHO.
a part cela :Bisous à Toutes.
michel septua encore tres jeune...

PS:ma sénilité fait que je n'est pas été capable de repondre directement sur le site :trading au féminin. soit gentille de le faire a ma place merci et à tres bientot.

[ben]

On ne vous entend plus mes demoiselles
Vous câlez

[Prune]

Chez les hommes comme chez les femmes , il y a deux type de trader. Celles ou ceux qui interviennent régulièrement sur les forums boursiers et qui parlent plus de bourse, qu'ils ne pratiquent. Et celles ceux qui gagnent et que l'on verra jamais s'exprimer. Les premiers se noyent dans la littérature après la clôture des marchés, les second dépensent l'argent gagné

[ARTMONY]

Raison et émotion, le cerveau humain en conflit perpétuel

Samedi 16 octobre 2004, 05h54.




Coupe cranio-encéphalique exposée au musée Orfila-Rouvière à Paris (Photo Joël Saget/AFP/Archives)
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Le cerveau humain est en conflit perpétuel avec lui-même entre son centre de l'émotion qui recherche la satisfaction immédiate et celui de la raison privilégiant des objectifs à long terme, selon une étude publiée dans le revue américaine Science datée de vendredi.

Des chercheurs de quatre universités dont Harvard et Carnegie Mellon, ont découvert que deux zones du cerveau semblent être en concurrence pour contrôler le comportement d'une personne évaluant une décision entre satisfactions immédiates et objectifs lointains.

Cette étude s'inscrit dans le cadre de la discipline émergente de la "neuroéconomie" qui étudie les processus mentaux et neurologiques derrière les décisions micro-économiques comme celles de consommer, d'épargner ou d'investir.

"Cette recherche comme celles que nous avons déjà faites illustre le fait que nous agissons rarement d'un seul élan de l'esprit", a expliqué Jonathan Cohen, un professeur à l'Université de Pittsburgh (Pennsylvanie, nord-est).

"Nous avons différents systèmes neurologiques qui entrent en action pour résoudre plusieurs types de problèmes et notre comportement est dicté par la concurrence ou la coopération entre eux", a-t-il poursuivi.

Ces scientifiques ont plus particulièrement examiné le le choix économique et le fait que les consommateurs agissent le plus souvent irrationnellement face à un choix à très court terme mais de façon raisonnée quand il s'agit de trancher sur le long terme.

C'est ainsi que des personnes à qui on offre dix dollars aujourd'hui ou onze dollars demain, choisissent le plus souvent la première option. En revanche, placées devant le choix d'avoir dix dollars dans un an ou 11 dollars dans un an et un jour, ces mêmes personnes retiennent la deuxième option.

Ces chercheurs ont soumis un groupe d'étudiants de l'Université de Princeton à un test similaire tout en observant leur cerveau avec un système d'imagerie par résonance magnétique qui permet d'observer l'intensité de l'activité dans les différentes zones cérébrales en mesurant les flux sanguins.

L'expérience a montré que les décisions portant sur la possibilité de gain immédiat activait fortement les seules parties du cerveau associées aux émotions.

En revanche, toute décision concernant des choix à plus long terme, activait des zones cérébrales associées avec le raisonnement abstrait, ont constaté les scientifiques.

En outre, quand les sujets avaient la possibilité d'obtenir un gain immédiat mais choisissait l'option à long terme, la région cérébrale du raisonnement était beaucoup plus active que celle des émotions. Mais quand ils optaient pour la satisfaction immédiate, ces deux zones du cerveau montraient un degré d'activité comparable avec une intensité un peu plus forte dans la zone de l'émotion.