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  • #16
    PIERRE ORPHELIN moi j'attends mieux. Taper sur Roque c'est une chose, nous expliquer plus longument ca en serait une autre, surtout sur un sujet pareil, ou les aspects personnels doivent être écartés.

    Critiquer les fourchettes d'andrews à un sens venant de votre part: vous êtes un expert en modélisation de stratégies boursières. Moi, je travaille sur les marchés, et je sais parfaitmeent de quoi on parle quand vous le faite.

    L'avenir de la terre j'y connais rien d'autre que ce qu'on en dit dans "le soir" en Belgique. J'ai 24 ans, je voudrais bien savoir ce qu'il en sera probablement pour mes enfants si je les concois dans une petite dizaine d'années.

    Les discours rassurants, comme ceux tenus par Roque, me touchent. Sans doute parce que je VEUX croire que tout ne va pas si mal (surtout: que ca va aller mieux). C'est MAJEUR de leur laisser la parole si ils sont crédibles, parce qu'avec ces discours alarmistes vous allez castrer ma génération, qui sera la premiere de l'histoire de l'univers à se soucier directement de sa progéniture sous l'aspect écologique. Pourquoi on prednrait le risque d'en faire?

    Mes descendants proches(disons pour 3 génération) sont ils en danger? De quoi?

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    • #17
      Citation de : Pierre Orphelin

      Je ne peux pas vous décrire le mépris que me procurent ces gens qui ont tendance à nous faire croire que les dérèglements climatiques sont bénins, alors que la planète est en train de crever sous le poids de leurs propre déjections.


      Certains ont la mémoire un peu courte.
      Ils ont oubliés que cette prise de conscience a été très longue, et que beaucoup de temps est passé avant que la majorité des scientifiques finissent par accepter ce réchauffement.

      Rogue doit être le fruit de l'union entre bush et allègre.

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      • #18
        ]Citation de : Alexis[/
        PIERRE ORPHELIN moi j'attends mieux. Taper sur Roque c'est une chose,

        C'est juste pour le son que ça fait.


        L'avenir de la terre j'y connais rien d'autre que ce qu'on en dit dans "le soir" en Belgique. J'ai 24 ans, je voudrais bien savoir ce qu'il en sera probablement pour mes enfants si je les concois dans une petite dizaine d'années.

        Je sé pa.


        Les discours rassurants, comme ceux tenus par Roque, me touchent. Sans doute parce que je VEUX croire que tout ne va pas si mal (surtout: que ca va aller mieux). C'est MAJEUR de leur laisser la parole si ils sont crédibles, parce qu'avec ces discours alarmistes vous allez castrer ma génération, qui sera la premiere de l'histoire de l'univers à se soucier directement de sa progéniture sous l'aspect écologique. Pourquoi on prednrait le risque d'en faire?

        Est -ce qu'un mensonge, connu comme tel, peut encore être rassurant ?
        Rassurez vous, il y a eu d'autres sacrifiés dans l'histoire de la terre, les dynozores, les trilobites (si !) etc...


        Mes descendants proches(disons pour 3 génération) sont ils en danger? De quoi?

        Pour l'instant, ils ne risquent rien.

        Commentaire


        • #19
          Citation de : Pierre Orphelin

          Mes descendants proches(disons pour 3 génération) sont ils en danger? De quoi?

          Pour l'instant, ils ne risquent rien.





          Ah bon ?

          Terminator n'est pas un documentaire de National Géographie ?

          Commentaire


          • #20


            "Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles". Panglouss*


            * grand écologiste du 18e. Il a démontré que la pression des nappes stratosphériques était à son comble, et que pour des raisons de momentum, il fallait s'attendre à un revirement climatique baissier, dû à une divergence baissière des mêmes nappes. Sa découverte laissât pantois et admiratif en son temps plus d'un serviteur du royaume...




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            • #21
              voici ce que j'avais recu en message privé lorsque j'avais posé mes questions. Je trouve ca intéressant. J'espere aussi que tous ces aspects rassurants seront un jour vérifiés...


              Il y a aujourd'hui un vrai problème d'information du public sur l'ABSENCE de REEL CONSENSUS parmi les scientifiques sur cette problématique de réchauffement et plus particulièrement sur les causes de celui-ci.

              L'histoire nous enseigne que la température en l'an 800 s'est brusquement élevée permettant ainsi aux Vikings d'aller s'installer au Groënland pour y faire paître des vaches. Le refroidissement qui a suivi quelques siècles plus tard les en a chassé ou plutôt l'impossibilité de faire de l'élevage les a mis en conflit ouvert avec les inuits puisqu'ils prélevaient dans leurs ressources (phoques etc...).

              Beaucoup de scientifiques et en particulier TOUS les géologues ne comprennent pas que l'on s'étonne que la Terre puisse se réchauffer. Elle l'a fait plusieurs fois depuis des millions d'années. Ceci a laissé des traces comme cette quasi mer intérieure des Andes disparue il y a bien longtemps.

              En outre le débât sur le CO2 surprend compte tenu de la faible teneur de ce produit dans l'atmosphère voir :

              http://www.ifremer.fr/lpo/cours/mouvement/sab13.html

              Plusieurs études de géologues ont montré que l'augmentation de la teneur en CO2 était une CONSEQUENCE et non pas une CAUSE (océan + chaud --> moins de dissolution de CO2).
              Enfin le CO2 n'est pas un polluant mais un produit indispensable à la synthèse chlorophylienne. Lorsqu'on brule du bois on relibère le carbone capturé ! Le chauffage au bois est donc en complète contradiction avec les stratégies de cpature de CO2 !!!

              Ce qui me navre c'est que l'on mélange des combats tout à fait justifiés comme celui du développement durable (comment continuer à vivre sur cette planète sans en gaspiller les ressources... pêche, pétrole, bois ...), de la santé (comment arrêter de génèrer des gaz toxiques dans nos villes : gasole des camions ...)et un débât sur le réchauffement.

              Faisons la part des choses dans ces débâts entre POLLUTION (y compris les crottes de chien) et CLIMAT.
              Donnons la parole à ceux, scientifiques très nombreux (voir lettre des 60 au 1er ministre canadien), qui ne soutiennent pas la thèse véhiculée par les Nations Unies et obtenues par consensus politique (un consensus en matière scientifique est toujours suspect; lesquelles scientifiques en tirent des financements ...).

              Peut être un jour verrons nous un mea culpa sur ce sujet, à l'instar de celui fait en avril dernier par Patrick Moore cofondateur de Greenpeace sur le nucléaire : lire

              http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/artic...


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              • #22
                l'automobile et les usines à charbon n'existaient pas au temps des vickings...Alors pourquoi se référer à une époque incomparable pour en déduire les temps modernes ?

                Aucun modèle scientifique ne pourra prédire les effets de la pollution sur le climat, comme l'a suggéré la théorie du chaos, et l'expérience très instructive de Lorentz et de son modèle de métérologie. La démonstration est pourtant simple :

                Comme le suggère la théorie du chaos (même non démontrée un certain nombre d'expériences comme celle de Lorentz appuient son constat), la moindre perturbation d'origine peut avoir un enchaînement de conséquences insoupçonnées mettant en jeu des mécanismes complexes. Donc en supposant la création un jour d'un modèle valable (mission possible?), il faudrait y entrer tous les paramètres imaginables. Donc il faudrait effectuer sur la nature toutes les mesures imaginables. Donc couvrir la terre entière de capteurs. Or cette solution est ridicule, puisque par leur nombre ces capteurs perturberaient par interférence le sujet de l'expérience. (et même en construisant un capteur de capteur, on parcourerait la chaîne des causes à l'infini sans jamais voir le bout du tunnel).

                Finalement deux constats :

                - il est invraisemblable de se référer au passé pour prédire l'avenir (le boom technologique étant un cas unique dans l'histoire de l'humanité)
                - il est impossible de pouvoir construire un jour un modèle de prédicion valable.

                D'où une conclusion comportementale pour l'humanité:

                Toute analogie et toute prédiction s'avérant soit irréaliste soit impossible, l'humanité est condamné à marcher à l'aveuglette, en ce qui concerne l'analyse des forces climatiques. La possibilité même de construire un modèle approchant étant irréaliste, puisque sa différence avec le modèle vérité absolue est cause de son inutilité. Alors une seule voie possible l'intuition d'être nuisible avec nos activités et l'adoption logique qui en découle du principe de précaution...

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                • #23
                  intéressant merci!

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                  • #24
                    Bonjour.

                    Il y a une nuance entre la déforestation et l'exploitation des forêts.
                    Si l'on parvient à réduire à grande échelle la consommation énergétique nécessaire à la construction des logements ou encore pour la fabrication des instruments de cuisson, ensuite, de part la TECHNOLOGIE utilisée, qu'elle soit dite alternative, naturelle ou industrielle, à réduire les déperditions caloriques, les QUANTITES de combustibles quels qu'ils soient, y compris le charbon lors de l'UTILISATION des équipements, il y aura moins d'émissions et moindre PRELEVEMENT dans les RESERVES non RENOUVELLABLES, dont le bois et certains végétaux ligneux ne font pas partie.

                    Le conversion d'énergie solaire la plus facilee à mettre en oeuvre à l'heure actuelle consiste en la CULTURE des végétaux, en dehors bien sur des forêts primaires ou espaces naturels, savanes, steppes, océans où la photosynthèse n'a pas attendu l'homme. Il y a des parties de ces espaces naturels qui peuvent être exploitées mais qui nécessitent pour se renouveller beaucoup plus de temps et de soins, si l'on ne veut pas appeler cela destruction souvent irréversible plutôt que culture.

                    Il est évident que si les soins consistent à remplacer les arbres par d'autres, il s'agit bien d'une destruction d'un espace écologique naturel, sa transformation en zone de culture industrielle au même titre que la production de céréales.

                    Tout ça c'est ce qui se fait depuis tout le temps, la France était couverte de forêt primaire il y a que quelques siècles. Mais selon la localisation géographique, les mêmes procesus n'ont pas les mêmes conséquences, en rapport avec l'érosion, vents, précipitations ou le cycle de l'eau selon la nature des sols.

                    Il est désormais tout à fait possible de quantifier les destructions des sols dans le monde, et l'on sait ce qu'il faudrait TECHNIQUEMENT faire selon cette localisation pour y remédier lorsqu'il s'agit de l'action humaine, autrement dit dans la plupart des cas de la stopper, dans d'autres, la modifier par une meilleure gestion technique ou exploitation.

                    Les australiens, les nord-américains, par exemple, en ont les moyens, ce qui ne les empêche nullement de faire comme les autres, de détruire à grande échelle leur patrimoine. Ce que je veux dire c'est qu'il ne faut pas se contenter de regretter la disparition de la forêt amazonienne puisque ceux qui en ont les moyens ne font le plus souvent pas mieux, que ce n'est pas leur priorité.

                    Des milliards de gens qui pour chauffer le pain ou le riz utiliseraient des autoclaves ou des fours économes, ça peut atténuer les destructions des forêts, qui sont quand même chose autrement plus urgente que de se disputer sur la part humaine entrant dans l'augmentation du co2 atmosphérique, même si ça peut aller avec.
                    Ce qui est intéressant, c'est d'améliorer les techniques culturales, d'exploitation, de construction, de fabrication des matériaux et des équipements , c'est de faire de la recherche dans tous ces domaines, d'informer les populations, de les aider à financer les changements qu'il serait souhaitable qu'elles adoptent massivement mais en permettant une compétition à l'intérieur de cette offre ALTERNATIVE par rapport à celle qui revient peut-être encore moins cher mais qui est destructrice, que cela soit du fait de leur caractère obsolète, voire d'une structure économique purement financière ou marchande telle qu'elle domine à l'heure présente.

                    Toutes ces questions ne peuvent pas se règler d'elles-mêmes, en comptant justement sur la seule compétition des forces en présence comme il est coutûme de le fanfaronner en évoquant les miracles du libéralisme.

                    Tout dépend donc de la capacité des instances politiques des différents pays à définir ensemble de grandes orientations en ce domaine, c'est à dire de privilégier cette meilleure gestion des ressources et particulièrement dans le domaine de l'énergie fossile qui pour le moment ne dispose pas d'une instance de régulation internationale digne de ce nom qui puisse permettre leur taxation afin de financer la recherche, la subvention pour les équipements économisant l'énergie consommée par les populations pauvres, des organisations locales d'incitation à la mise en oeuvre de techniques culturales plus efficaces, moins destructives et parfois bien plus avantageuses pour ces populations.

                    Quand on habite un pays tel que la France où l'offre de technologie constructive existe, permet de choisir sans problème entre des procédés économes et des dépensiers, on peut s'étonner que ce qui se porte le mieux, ce sont ceux qui sont déjà dépassés, qui détruisent et qui dans le bilan final individuel sans parler du global, reviennent plus cher.

                    Lorsque l'on construit des bâtiments collectifs ou publics neufs, est-ce que la question est systématiquement posée de recourir aux meilleures techniques en terme de technologie constructive propre à réduire la consommation énergétique, pour la construction comme pour l'utilisation?

                    Certainement pas.

                    Mais quand il s'agit de la gestion du chauffage, de l'isolation du parc existant, là c'est carrément la catastrophe, comme si les crises pétrolières de puis 73 , n'avaient jamais existé.

                    On pourrait le comprendre lorsqu'il s'agit de bâtiments classés tels certains ouvrages religieux, Versailles, mais pour tout le reste, comment se fait-il qu'il en reste qui n'aient pas été modifiés alors qu'ils sont sous gestion publique, censée disposer de tout un tas d'outils propres à règler ces questions, rationnellement?

                    C'est beaucoup plus grave dans un pays comme la France dont le patrimoine collectif est plus ancien qu'ailleurs, représente des dépenses pour le chauffage considérables.

                    Si ces questions ne peuvent être règlées à l'échelle de chaque subdivision territoriale par l'intervention des locaux, par les citoyens, il ne faut pas compter que les élus ou chrgés de la gestion s'en préoccupent, puisque leur conscience n'a guère évolué depuis 73 qu'il fallait VRAIMENT s'y employer. Les économies qui auraient pu être faites en trente ans auraient pu en financer, des équipements innovants, des panneaux solaires ou je ne sais quoi, l'amélioration des réseaux d'adduction d'eau potable, par exemple, plutôt que de les confier aveuglément à de richissimes milliardaires qui ont ainsi pu développer leurs techniques de pillage à l'international, y compris dans des pays moins riches. (et donc censés devoir être encore moins capables d'envoyer l'argent par les fenêtres)

                    La question est donc moins technologique ou financière que d'ordre politique ou de moeurs, de défaut de prise de conscience à tous les étages du décisionnel humain.

                    En France, chauffer au bois en utilisant des équipements performants répond tout à fait à des préoccupations genre taux de co2 si ça passe avant de regarder sa facture.

                    Les allemands avec lesquels il est pertinent de se comparer ont depuis longtemps mis en place une offre structurée pour la construction individuelle et collective permettant, de même qu'ils nous ont devancé en matière de contrôle automobile, de produire des logements en général isolés par l'extérieur et considérablement plus économes en énergie, c'est à dire qui reviennent moins chers, de meilleure qualité, tout simplement.

                    Comme je ne trouve pas que leurs maisons soient plus moches, moins durables, confortables, équipées que celles que je vois construire aujourd'hui ici, il est peut-être possible d'essayer de les égaler si l'on ne veut pas se servir de technologies constructives alternatives existantes ici qui correspondent mieux à nos critères culturels de bâti "en dur".

                    J'espère que ce n'a pas été pas trop pénible, ce ton sérieux.

                    Au lieu de spéculer sur la houille comme si elle était une simple matière première, pensez à ce que votre épargne spécule sur du concret qui rapporte à tous, investissez davantage dans de la technologie moderne et l'évolution des moeurs, ça me fera plaisir.




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                    • #25
                      Annoncé en début de semaine
                      Gros problème dans une mine chinoise avec arrêt de la production, celà concerne 2% de leur production!!

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