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  • #31
    ça squeez sur les UT courtes, sortie violente à venir...

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    • #32
      break up... le marché est-il en train de se retourner vers le nord ?

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      • #33
        Une vue de la nouvelle dynamique haussière pour l'instant encore fragile sur le 5 min., sortie de squeeze suivie de 2 appuis sur la MA50.
        Le break down du canal inciterait à initier de nouvelles positions courtes.

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        • #34
          poursuite de cette nouvelle et fragile dynamique haussière, pour l'instant pas prise en défaut.

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          • #35
            Le 15 minutes permet de garder à l'esprit qu'on reste bien dans une dynamique de fond baissière qui DOIT etre confirmée dans les minutes à venir...

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            • #36
              C'est passé au-dessus, il reste à surveiller le comportement au-dessus de 3724 qui est la grosse résistance à toute nouvelle dynamique haussière pertinente, si ça passe avec des belles patern il faudra lâcher les positions shorts...

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              • #37
                La dynamique de fond reprend ses droits, il y avait 10 minutes dans la journée pour se placer baissier autour de 3724, et le break de canal haussier TCT se fait dans les dernières minutes.
                Du grand art de la part des black box...

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                • #38
                  Il fut très difficile de se placer aujourd'hui en cours de séance puisque les incitations d'entrées furent majoritairement bull.
                  Un break d'entrée short en début de matinée, puis un break d'entrée long sur 5 min. puis un canal fragile de dynamique haussière suivi d'un break up sur 15 min.
                  Le plus gros signal de la journée a eu lieu encore une fois sur 3724, c'était un signal de résistance baissière, suivi de la rupture du fragile canal de dynamique haussière.
                  "fragile" car il avait pour base une patern de chandelier faible ce qui faisait douter de sa pérennité.

                  A l'heure où j'écris cet article les ricains reprennent de la force, cela ne m'empêche pas de garder un sentiment baissier assez fort sur le cac, ce, pour les 2 raisons ci-dessus : 3724 garde toute sa puissance, ce qui en fait l'arbitre du moment et le marché n'est pas capable d'étendre ses dynamiques haussières pour en faire des vrais mouvements de fond.
                  Les volumes du jour restent fort, ils accompagnent une baisse ce qui montre aussi que les prix sont tirés vers le bas.

                  3672 gagne un peu de pertinence ce jour puisqu'il vient de soutenir les cours pour la deuxième fois en trois séances, ce serra certainement un point clé demain ( une résistance ? ).

                  La thèse de la consolidation latérale est partagée par nombre d'analystes très compétents sur ce site notamment, je n'y crois pas vraiment car il parait difficile de consolider sous une R aussi forte que 3724, de plus nous avons eu vendredi un hypothétique plus bas de 10 séances,or, théoriquement pour qu'un plus bas soit un creux fiable il faut que le range des trois jours suivants soit supérieur au plus haut de la séance du creux ( règle des trois jours ). Cette règle aujourd'hui n'est plus tout à fait vrai, il faut seulement en garder "l'esprit" c'est à dire que les échanges pendant trois jours se fassent au moins à proximité du plus haut ( ou de la cloture selon la forme du chandelier ). Or, sachant la force de 3724 les échanges ont plus de probabilités de se faire loin des plus hauts de cette journées ( 3721/3748 ).

                  Et comme on ne trade que des probabilités....

                  Des points pour demain qui ne changent pas trop ( j'ai ajouté 3672 )

                  "Lucky trade"

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                  • #39
                    Bonsoir à tous, je fais remonter ma file dont j'ai peu de temps de prendre soin étant actuellement en plein déménagement et réorientation professionelle.
                    J'en profite pour faire remarquer que je m'étais bien planté avec mon analyse baissière, c'est pas la forme en ce moment côté performances, mais il en est ainsi en matière de trading on en apprend tous les jours.
                    Après deux bons mois d'affilé, ce mois-ci est une ruine , ce qui me fait remarquer qu'on use énormément d'influx nerveux sur le marché et qu'après de bonnes séries il faut savoir s'arrêter, on ne reviendra jamais assez sur l'importance de la psychologie pour tout trader.
                    Je voulais profiter de ce passage pour partager avec vous cet article sur les HFT et l'utilisation de plus en plus fréquente de machines sur les marchés.
                    La plupart des traders actifs auront remarqué depuis quelques temps que leurs indicateurs classiques sont pris à défaut par des comportements de marché résistant à l'analyse, l'évocation de "machines de trading" a quelquechose d'assez surprenant dans un premier temps, d'irrationel même pourrait on dire. On pourrait même se faire accuser de chercher une excuse à des contre-performances, ceci n'est pas mon cas, j'ai gagné de nombreux concours boursiers, j'enchaîne des mois à plus de 30% sur actions Françaises, et je devrais pouvoir vivre du trading à partir de 2010, je recherche donc avant tout l'analyse d'un phénomène plutôt qu'un prétexte à des échecs. Attention je ne cherche pas non plus à me la raconter, ce mois-ci un de mes comptes s'est pris une claquasse de - 20% !! .
                    Cette parenthèse sert à enlever le doute de la subjectivité.

                    Deuxième point important pour l'analyse RATIONNELLE : ne pas penser que le marché est "truqué". Il ne faudrait pas déformer l'intention de cet article. On arrive encore à anticiper les réactions globales et surtout à surfer sur les grosses vagues de tendance. Le but de cette petite analyse est de chercher des pistes permettant d'exploiter les nouveaux types de comportement du marché.
                    Deux exemples :
                    1- les phases de range étiré pouvant durer parfois plusieurs jours sur des niveaux très étroit et très "risqués". Par exemple conso horizontale dans un marché baissier sous un support historique ou sous une moyenne mobile forte.
                    2- Les marchés qui avancent en reculant ou reculent en avancant. Exemple : marché tendance haussière MT : gap ascendant hausse matinale baisse brutale et fin de journée positive, lendemain re-gap haussier. Une sorte de marché haussier sur bougies baissières. Très difficile d'entrer dans le bon sens sur ce type de marché. Comportement plutôt robotique que comportement massif.

                    Au total : nos indicateurs classiques permettent normalement d'anticiper/analyser des comportements psychologiques de masse. Or, ces comportements ressemblent plus à des calculs mathématiques qu'à des mouvements psychologiques de masse ou à des mouvements de consensus sur les prix. Conclusion : le marché SEMBLE orienté par des calculateurs.

                    Cette conclusion, de plus en plus de trader commencent à la partager, je serais donc curieux de savoir ce qu'en pense chacun de vous puisque de nombreux traders de qualité semblent fréquenter ce forum, voici un article du Monde Financier du 7 décembre 2009, pour étayer ces propos :

                    " LE HIGH FREQUENCY TRADING,
                    EXPRESSION DE LA MODERNITE FINANCIERE

                    Ces mois de crise qui n’en finissent pas, et ne sont pas prêts de le faire, auront déjà été l’occasion de multiples et étonnantes découvertes. Non pas en raison de l’attitude de ses principaux acteurs – sans surprise, la plupart d’entre eux restant rigoureusement dans leur rôle – mais à cause de l’inventaire en cours des petites merveilles que contient la boîte à outils de la finance, désormais que son couvercle est un peu ouvert.

                    Il est devenu courant, parfois même dans les milieux bien-pensant, d’évoquer la partie fantôme du monde de la finance et de reconnaître qu’un secteur important de celle-ci échappe, faute d’être à ciel ouvert, à toute inventaire. De la même manière que l’on s’est mis à parler de l’économie réelle, comme si une partie d’entre elle ne l’était pas. Des esquisses de la finance fantôme peuvent commencer à être tracées, en s’appuyant sur de premiers repères : centres non coopératifs (paradis fiscaux), structured investment vehicles (structures de parking d’actifs), hedge funds (mercenaires de la finance), etc… On parvient à distinguer dans ces coulisses dépourvues de tout éclairage un petit monde assez mystérieux qui actionne toute une machinerie complexe aux rouages qui nous dépassent. Jouant de commodités semble-t-il d’autant plus décisives qu’elles restent dans l’ombre. On finit par pressentir que le monde visible de la finance a un double qui ne l’est pas, et qui joue pourtant un rôle fonctionnel. Etablissant le parallèle avec le double langage que les membres de sa confrérie pratiquent couramment, s’étant donné entre initiés des raisons d’être distinctes de celles qu’ils affichent pour la galerie (soutenir l’économie).

                    Tout ceci n’est pas sans alimenter une abondante production fantasmatique. Ou alimenter une profonde méfiance, davantage justifiée. Imposant de garder résolument ses pieds sur terre !

                    Dans le vaste magasin de la finance, le rideau a également été écarté sur de dangereuses trouvailles, comme le sont les produits structurés. A propos de leur conception, on a beaucoup crié à une manifestation du génie de la finance, encensant et rémunérant en conséquence de supposés bons génies, alors que c’étaient les mauvais qui avaient gagné (et qui continuent néanmoins d’exiger comme due une gratification obscène).

                    Au fil de ces découvertes, l’activité financière s’est aux yeux de tous de plus en plus apparentée à un casino. Pourvue de salles et de jeux d’argent adaptés aux moyens de ceux qui y pénétrent, réservés selon les cas aux boursicoteurs du dimanche ou aux traders de haut vol, munis de machines à sous dissimulant derrière un mode d’emploi anodin de redoutables mécanismes (destinés à ce que la banque gagne mais ne pouvant éviter que parfois elle saute). Dans des salons privés ont été entre-aperçus des dark pools, ces clubs, qui pullulent par dizaine aux Etats-Unis, auxquels adhèrent de gros joueurs voulant se prémunir durant leurs longues parties des interventions intempestives des troubles-fêtes. Enfin, tout aussi discrets, une nouvelle génération de joueurs s’est assise aux tables de jeux, sans y être invitée : les pratiquants du high frequency trading, un nouveau club de parvenus qui bousculent leurs aînés du trading et veulent rafler l’essentiel de la mise.

                    C’est là où nous voulions en venir. Pour tenter de mieux évaluer l’utilisation de cette nouvelle technologie, qui fait fureur aux Etats-Unis où elle est née, et qui depuis se répand en Europe. Elle s’appuie sur l’utilisation d’algorithmes sophistiqués et la mise en oeuvre de capacités informatiques très performantes, afin de réaliser à très grande vitesse un nombre faramineux de transactions et d’accumuler au final beaucoup d’argent grâce à de très faibles gains captés lors de chacune de ces fugaces opérations d’achat-vente d’actifs (que l’on appelle flash orders). Une disposition prise en 2000, qui est apparue comme secondaire, a été l’un des éléments techniques déclenchant du HFT, lorsqu’il a été décidé que les transactions seraient effectuées selon des prix calculés à deux décimales près après la virgule ! Ouvrant la voie à la l’accumulation des mini-profits résultant des flash orders. Trois chiffres à ce propos : 1 milliard d’actions seraient traitées ainsi quotidiennement, soit 60% du volume des transactions boursières sur les places boursières américaines, pour un bénéfice annuel estimé à 21,8 milliards de dollars. Quelques noms des principaux acteurs aussi. Goldman Sachs et Citigroup sont les plus connus, mais il faut également retenir les noms des principaux nouveaux venus : GETCO, Tradebot, et Citadel Investment Group.

                    Une réflexion a été engagée aux Etats-Unis à propos du high frequency trading (tentons un acronyme de plus: HFT), donnant lieu à des prises de position de membres du Congrès, comme le sénateur Ted Kaufman, ou de l’administration, ainsi qu’à des enquêtes journalistiques s’efforçant de plonger dans le milieu assez opaque de ceux qui le pratiquent, et de donner la parole à ceux qui s’interrogent, ou même le dénoncent. Ce billet doit notamment à celle des journalistes de Reuters. La SEC, l’agence gouvernementale chargée de réguler les marchés boursiers, a entamé une réflexion et devrait rendre publiques ses conclusions début de l’année prochaine. On verra bien.

                    C’est Paul Krugman qui a été à la fois le plus simple et le plus définitif dans son appréciation. Faisant remarquer que si la raison d’être des marchés boursiers était d’apporter des capitaux aux entreprises et à l’économie, il ne voyait pas très bien en quoi le HFT pouvait d’une quelconque manière y contribuer. Mettant le doigt sur une question de plus en plus souvent à juste titre posée : à quoi sert la finance moderne ? Il est en effet clair que les rendements de cette nouvelle activité ne résultent pas de la rentatibilité des entreprises ainsi et des dividendes qu’elles distribuent ! Cela renvoie aux remarques acides de Lord Turner sur l’utilité sociale de certaines activités financières, une question centrale laissée sans réponse et dont il n’est pas besoin d’être un financier pour la partager.

                    Le débat américain est toutefois assez embrouillé, quand on l’aborde. Car nul ne sait trop la réalité des incidences du HFT sur les marchés et cela se ressent. D’autant que les traders de la vieille école, menacés dans leur business, se joignent au concert des voix qui s’élèvent pour le dénoncer, annonçant que leur activité se meurt, sous l’effet de sa montée en puissance, et l’on peut envisager qu’ils chargent un peu la barque.

                    Argument de choc de ses défenseurs : la liquidité, cette vertu cardinale des marchés, est appelée à la rescousse. Ceux-ci font valoir l’importance décisive de leur contribution dans ce domaine, qui repose sur une idée toute simple : plus les actifs changent de main souvent avec un bénéfice au passage, plus le business est florissant. A l’inverse, cela coule de source (ou plutôt n’y coule pas), l’absence de liquidité d’un titre provient du fait qu’il n’est pas négociable sur le marché, qu’il n’y a pas d’acheteur pour lui.

                    Le dossier présenté par les opposants est plus étoffé, mais a besoin d’être mieux établi. Il repose en effet plus sur des interrogations que des faits, tant en raison de la nouveauté de la pratique que de la discrétion extrême dont s’entourent ses auteurs (qui la justifient au nom de la protection de leurs technologies maison, le ticket d’entrée n’étant pas élevé – moins d’un million de dollars – et la concurrence féroce). On se rappelle également, sur ce registre, l’épisode rocambolesque de l’arrestation par le FBI de l’employé de Goldman Sachs accusé d’avoir volé du code informatique destiné à la programmation du HFT.

                    Cela n’empêche pas le procès d’être engagé. Ni les critiques d’évoquer le risque de l’introduction de codes informatiques malveillants venant créer des réactions en chaîne incontrôlables et le chaos au sein des marchés boursiers (en référence au lundi noir de 1987). Et, plus généralement, de considérer que le HFT est générateur d’un risque systémique de plus dans un monde qui s’inquiète déjà de son accroissement.

                    D’autres fortes et plus précises accusations sont également portées, évoquant des pratiques pouvant être criminelles, c’est à dire de délits d’initiés d’un type nouveau. Faisant des opérateurs de HFT des initiés par le biais de l’analyse informatique accélérée de l’énorme masse des transactions disponible, permettant de déceler des opportunités avant même les traders classiques, et de prendre leur bénéfice avant que ces derniers ne puissent intervenir. Le Nasdaq Stock Market produit à lui seul environ 50 giga-octets d’informations tous les jours, qui se mesurent en nanosecondes (un milliardième de seconde), ce qui donne une idée de l’ampleur des données analysées. Plus précisément, les investisseurs institutionnels se plaignent de la pratique des opérateurs de HFT : le taux très élevé d’annulation des ordres enregistré suggérant que leurs algorithmes sont utilisés pour analyser les flux d’ordres en attente, avant d’agir. Plus de 90 pour cent des ordres présentées à la Bourse de New York par les entreprises de haute fréquence sont en effet annulés, selon un responsable de NYSE Euronext. Il y a donc tricherie, est-il considéré. Interrogé par l’agence Reuters dans le cadre de sa récente enquête, un trader ayant requis l’anonymat a eu ce commentaire définitif : « ils ne devinent pas ce qui va se passer, ils ne spéculent pas non plus, ils savent, tout simplement… ».

                    Enfin, il a été mis en évidence que le nombre des transactions avait très notablement baissé (tandis que les écarts s’étaient creusés à la cotation), lorsque la SEC avait l’année dernière brièvement interdit les ventes à découvert sur les titres financiers, et que les opérateurs de HFT avaient simultanément levé le pied, liant donc ces deux pratiques de manière indiscutable. Pour preuve supplémentaire, le mouvement inverse était apparu lorsque les dites mesures avaient été arrêtées.

                    Ce débat, qui va rebondir, et les informations qu’il permet de recueillir, contribue à l’acquisition d’une vue d’ensemble, sous tous ses aspects, de la finance moderne. Celle-ci exerce désormais son activité de manière très sophistiquée et, de fait, souvent hors de tout contrôle possible des régulateurs, notamment en raison de son extrême complexité, de sa rapidité, et de ses interactions. Sauf à ce que des interdictions très strictes soient promulguées à la base même de son activité et qu’une surveillance sans complaisance ni relâche soit effectuée. Une démarche totalement à l’opposé de celle qui a été adoptée.

                    Le high frequency trading n’est à cet égard que l’un des petites pièces du grand puzzle, pas encore totalement reconstitué mais qui prend déjà forme, du capitalisme financier d’aujourd’hui. L’image qui se dessine est celle d’une activité qui prétend n’obéir qu’à ses propres lois, s’affranchir de toutes les tutelles, s’imposer sans se soucier de ses conséquences dévastatrices et ne profiter au final qu’à une toute petite minorité, prenant sous sa coupe et en otage tous les autres. Prétendant exercer une forme d’asservissement moderne (au sens propre de la servitude), dont l’objectif est de régner en utilisant tous les leviers d’un contrôle social de plus en entêtant, omniprésent et sophistiqué. Non sans parvenir à une incontestable intériorisation de sa domination, la crise sociale montante étant l’occasion d’en mesurer l’intensité."

                    Ce bulletin a été publié le Lundi 7 décembre 2009 15:04 et est classé dans Economie, Monde financier.

































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                    • #40
                      Une très bonne intervention de Linda Bradford Raschke avec des réflexions sur la façon de placer un stop et la façon de placer ses ordres en fonction des volumes.
                      Une analyse intéressante sur l'utilisation des différentes UT.
                      Bref, un bon moyen de progresser en restant dans le sujet des volumes et des prix.
                      Bons trades

                      http://www.youtube.com/watch?v=wsH6fWVP3Z8

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                      • #41
                        Toujours des videos pour progresser ou se détendre.
                        La première video est centrée sur l'utilisation des stops et la façon la plus efficace de les placer en fonction de votre technique d'entrée.
                        La seconde vidéo illustre le vieil adage "les volumes précèdent les prix".
                        La troisième vidéo est le témoignage d'un acteur des marchés au sujet des HFT machines.

                        http://www.youtube.com/watch?v=hJa3Qee3p2g

                        http://www.youtube.com/watch?v=qUS9wQiJfu0

                        http://www.youtube.com/watch?v=V4cRYI2x60Q

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                        • #42
                          objectif 3834 ?



                          Cliquez pour agrandir


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                          • #43
                            Target verrouillée, prochain objectif support de canal oblique, inversion de tendance MT en cas de franchissement baissier.
                            AT un peu simpliste mais du moment que ça fonctionne.

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                            • #44
                              En 5 min, belle réaction sur le canal haussier MT, on reste orienté nord, premier objectif dans cette UT la MM courte ( MM 12 en rouge ).
                              Ceux qui ont joué l'achat du support, trailing stop sous le support de canal pour commencer.

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                              • #45
                                ça ne réagit pas très bien au contact de la mm courte...
                                On devrait REtester ce support de hausse MT.
                                pour ceux qui voudraient initier des ventes, en pensant que le support MT pourrait céder, je trouve que Soitec offre une situation de trading très intéressante pour une vente.
                                Malgré une forte dynamique haussière MT, échec d'un nouveau plus haut avec fermeture de fenêtre, c'est surtout une situation où l'on peut serrer le stop au maximum, donc peu de risque.

                                bons trades

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