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  • Citation de : chipeur59 (au 27-06-2011 14:10:26)

    Citation de : jeanroger (au 27-06-2011 13:51:58)

    Citation de : chipeur59 (au 27-06-2011 13:47:15)

    Citation de : jeanroger (au 27-06-2011 13:36:21)

    Citation de : swift (au 27-06-2011 13:28:26)

    Citation de : jeanroger (au 27-06-2011 13:25:09)

    Citation de : chipeur59 (au 27-06-2011 13:17:57)

    Citation de : timlead (au 27-06-2011 13:11:31)

    C'est calme ici ce matin ...


    suis sur l euro et jr est long




    C'est peut-être la chaleur.On économise ses forces.A nos âges c'est prudent.





    40° à Bordeaux , c'est le sirocco , pas moyen de trader , sont tous à l'apero





    J'ai déjà fréquenté cette adresse.

    http://www.restaurant-leregent.com/






    oui c est vrai pour grivèlerie..

    ensuite il est parti a cet hôtel durant les vacances ...

    http://www.annuaires.justice.gouv.fr/etablissement...








    Oui mais dans cet hotel le room service était déplorable...
    C'est pourquoi je ne conseille pas cette adresse.







    pas étonnant c est la chaine d hotels..Rikers Island




    Elle ne figure pas au Michelin.C'est dire...

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    • Tout est figé

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      • Hello,

        J'arrive un peu tard, trop chaud ...
        Peu pas me concentrer quand je regarde par la fenêtre les filles du canal déjeuner...

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        • Y a eu des bugs sur l'affichage des résultats éco ForexPros ...

          Personal Spending a été un moment à 0.3% puis à 0% ...

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          • Citation de : timlead (au 27-06-2011 14:34:14)

            Y a eu des bugs sur l'affichage des résultats éco Forexpros ...



            je lui en ai demandé beaucoup, erroris humani

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            • long 1,4166 (E6) voy a bailar...

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              • Accusés d’être l’arme favorite
                des spéculateurs, ils se
                sont imposés comme l’un
                des symboles de la crise grecque:
                les CDS, ou Credit Default Swaps,
                ces produits financiers complexes
                qui permettent de se protéger
                contre le risque de faillite d’un
                Etat. Agissantcommedes contrats
                d’assurance qui garantissent au
                créancier qu’il sera remboursé
                même si son débiteur se défausse,
                lesCDSdonnentaujourd’huidufil
                à retordre aux milieux financiers.
                Al’heure oùles dirigeants européens
                se retrouvent à Bruxelles,
                jeudi23 et vendredi 24juin, pour
                tenterdesauverinextremislaGrèce
                de la banqueroute, une questionsepose:
                les institutions financières
                qui ontvendudesCDSvontelles
                devoir payer? «On peut toujours
                finasser, mais la réalité, c’est
                que la Grèce ne peut pas rembourser
                ses dettes », tranche un banquier
                de la place.
                En théorie, tout laisse donc croirequelepaysnes’en
                tirerapassans
                une «restructuration », assimilée
                par les agences de notation à un
                défaut. Ce qui, techniquement,
                devrait entraîner le débouclage des
                CDS. En pratique, l’affaire est plus
                compliquée. Comme le notent les
                experts,ilyadéfautetdéfaut.Comment
                serait donc interprétée une
                participation volontaire des créanciers
                privés au sauvetage de la Grèce?
                La réponsen’est pas claire.
                Pour les dirigeants de la zone
                euro, il faut à tout prix éviter que
                le marché conclue à ce que l’on
                nomme, en jargon financier, un
                «événement de crédit », à même
                d’entraîner le paiement des
                fameux CDS. Une telle procédure
                incarnerait concrètement la faillited’Athènes.
                «Etpersonnen’avraimentenviequ’onrécompenseceux
                qui ont joué contre la Grèce», ajoute
                Jean-François Robin, stratégiste
                chez Natixis. Destinés à l’origine à
                protéger un investisseur contre
                un défaut de paiement, les CDS
                sont devenus pour certains un
                moyen efficace de gagner beaucoup
                d’argent.
                Le principe ? Plus le risque de
                faillite est élevé, plus l’assurance
                est chère. A en croire les autorités
                européennes, des spéculateurs
                auraient acheté massivement ces
                produitspourgonflerlesinquiétudes.
                Actuellement,ilencoûte2millions
                d’euros par an à un investisseur
                souhaitant assurer un portefeuille
                de 10 millions d’euros de
                dette grecque. Dujamais vu!
                Les responsables de la zone euro
                craignent aussi qu’un déclenchementdesCDSsoit
                le véhiculed’une
                contagion de la criseau secteur privé.
                Sur ce marché obscur, impossible
                de savoir précisément qui sont
                les acheteurs, les vendeurs, et le
                montant de leurs engagements.
                Regain de volatilité
                «Personne au monde ne sait qui
                détient des CDS, qui devrait payer
                quoi en cas d’événement de crédit
                grec», a alerté, mercredi, la chancelière
                allemande, Angela Merkel. Au
                moment de la crise financière de
                2008, ces contrats avaient joué un
                rôle déterminant dans la quasifaillite
                de l’ex-numéro un mondial
                des assurances, l’américain AIG,
                gros émetteur de CDS.
                Mais certains acteurs du secteur
                s’inquiètentdelatournuredesévénements.
                « Les CDS sont utilisés
                comme une protection», souligne
                Gary Jenkins, responsable de l’obligataire
                auprès du courtier londonien
                Evolution Securities. Quelle
                sera leur crédibilité si les banques
                décidaient de ne pas payer, malgré
                l’incapacité manifeste de la Grèce à
                honorer ses dettes? M.Jenkins met
                engardecontreunregaindevolatilité
                sur les marchés: «Les investisseurs
                en dette souveraine incapables
                de se protéger pourraient exiger
                des garanties supplémentaires,
                ce qui augmenterait le coût d’emprunt
                de certains Etats.»
                Pour l’heure, l’ISDA (InternationalSwapsandDerivatives
                Association),
                l’organisationprofessionnelle
                qui chapeaute ce marché, semble
                aller dans le sens des capitales
                européennes. Mi-juin, elle a estiméqu’une
                participation volontaire
                des créanciers ne constituerait
                pasun«creditevent».Mais,endernier
                ressort, la décision de payer
                ou pas échoira à son Determination
                Committee, une discrète commission
                composée d’une dizaine
                de banques. p
                Marie de Vergès
                avec Marc Roche
                (Londres, correspondant

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                • @JR : Tu peux nous faire un copier-coller du dernier Goncourt ?

                  Commentaire


                  • Citation de : timlead (au 27-06-2011 14:47:43)

                    @JR : Tu peux nous faire un copier-coller du dernier Goncourt ?




                    Attention je suis capable de tout!

                    Commentaire


                    • va nous faire buger pro-hanté avec les CDS
                      Flat 1,4170


                      Commentaire


                      • CAC bloqué ...

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                        • Citation de : jeanroger (au 27-06-2011 14:45:54)

                          Accusés d’être l’arme favorite
                          des spéculateurs, ils se
                          sont imposés comme l’un
                          des symboles de la crise grecque:
                          les CDS, ou Credit Default Swaps,
                          ces produits financiers complexes
                          qui permettent de se protéger
                          contre le risque de faillite d’un
                          Etat. Agissantcommedes contrats
                          d’assurance qui garantissent au
                          créancier qu’il sera remboursé
                          même si son débiteur se défausse,
                          lesCDSdonnentaujourd’huidufil
                          à retordre aux milieux financiers.
                          Al’heure oùles dirigeants européens
                          se retrouvent à Bruxelles,
                          jeudi23 et vendredi 24juin, pour
                          tenterdesauverinextremislaGrèce
                          de la banqueroute, une questionsepose:
                          les institutions financières
                          qui ontvendudesCDSvontelles
                          devoir payer? «On peut toujours
                          finasser, mais la réalité, c’est
                          que la Grèce ne peut pas rembourser
                          ses dettes », tranche un banquier
                          de la place.
                          En théorie, tout laisse donc croirequelepaysnes’en
                          tirerapassans
                          une «restructuration », assimilée
                          par les agences de notation à un
                          défaut. Ce qui, techniquement,
                          devrait entraîner le débouclage des
                          CDS. En pratique, l’affaire est plus
                          compliquée. Comme le notent les
                          experts,ilyadéfautetdéfaut.Comment
                          serait donc interprétée une
                          participation volontaire des créanciers
                          privés au sauvetage de la Grèce?
                          La réponsen’est pas claire.
                          Pour les dirigeants de la zone
                          euro, il faut à tout prix éviter que
                          le marché conclue à ce que l’on
                          nomme, en jargon financier, un
                          «événement de crédit », à même
                          d’entraîner le paiement des
                          fameux CDS. Une telle procédure
                          incarnerait concrètement la faillited’Athènes.
                          «Etpersonnen’avraimentenviequ’onrécompenseceux
                          qui ont joué contre la Grèce», ajoute
                          Jean-François Robin, stratégiste
                          chez Natixis. Destinés à l’origine à
                          protéger un investisseur contre
                          un défaut de paiement, les CDS
                          sont devenus pour certains un
                          moyen efficace de gagner beaucoup
                          d’argent.
                          Le principe ? Plus le risque de
                          faillite est élevé, plus l’assurance
                          est chère. A en croire les autorités
                          européennes, des spéculateurs
                          auraient acheté massivement ces
                          produitspourgonflerlesinquiétudes.
                          Actuellement,ilencoûte2millions
                          d’euros par an à un investisseur
                          souhaitant assurer un portefeuille
                          de 10 millions d’euros de
                          dette grecque. Dujamais vu!
                          Les responsables de la zone euro
                          craignent aussi qu’un déclenchementdesCDSsoit
                          le véhiculed’une
                          contagion de la criseau secteur privé.
                          Sur ce marché obscur, impossible
                          de savoir précisément qui sont
                          les acheteurs, les vendeurs, et le
                          montant de leurs engagements.
                          Regain de volatilité
                          «Personne au monde ne sait qui
                          détient des CDS, qui devrait payer
                          quoi en cas d’événement de crédit
                          grec», a alerté, mercredi, la chancelière
                          allemande, Angela Merkel. Au
                          moment de la crise financière de
                          2008, ces contrats avaient joué un
                          rôle déterminant dans la quasifaillite
                          de l’ex-numéro un mondial
                          des assurances, l’américain AIG,
                          gros émetteur de CDS.
                          Mais certains acteurs du secteur
                          s’inquiètentdelatournuredesévénements.
                          « Les CDS sont utilisés
                          comme une protection», souligne
                          Gary Jenkins, responsable de l’obligataire
                          auprès du courtier londonien
                          Evolution Securities. Quelle
                          sera leur crédibilité si les banques
                          décidaient de ne pas payer, malgré
                          l’incapacité manifeste de la Grèce à
                          honorer ses dettes? M.Jenkins met
                          engardecontreunregaindevolatilité
                          sur les marchés: «Les investisseurs
                          en dette souveraine incapables
                          de se protéger pourraient exiger
                          des garanties supplémentaires,
                          ce qui augmenterait le coût d’emprunt
                          de certains Etats.»
                          Pour l’heure, l’ISDA (InternationalSwapsandDerivatives
                          Association),
                          l’organisationprofessionnelle
                          qui chapeaute ce marché, semble
                          aller dans le sens des capitales
                          européennes. Mi-juin, elle a estiméqu’une
                          participation volontaire
                          des créanciers ne constituerait
                          pasun«creditevent».Mais,endernier
                          ressort, la décision de payer
                          ou pas échoira à son Determination
                          Committee, une discrète commission
                          composée d’une dizaine
                          de banques. p
                          Marie de Vergès
                          avec Marc Roche
                          (Londres, correspondant




                          salut jean roger, je colle çà dans Memory


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                          • salut DK
                            tu peux y coller aussi un broadening top
                            à l'horizon

                            je vais

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                            • Citation de : swift (au 27-06-2011 14:59:54)


                              salut DK
                              tu peux y coller aussi un broadening top
                              à l'horizon

                              je vais





                              c fait, j'en pofite pour apprendre cette figure qui m'est inconnue


                              vagues d'éliot à plat

                              Commentaire


                              • Citation de : DK (au 27-06-2011 14:56:55)

                                Citation de : jeanroger (au 27-06-2011 14:45:54)

                                Accusés d’être l’arme favorite
                                des spéculateurs, ils se
                                sont imposés comme l’un
                                des symboles de la crise grecque:
                                les CDS, ou Credit Default Swaps,
                                ces produits financiers complexes
                                qui permettent de se protéger
                                contre le risque de faillite d’un
                                Etat. Agissantcommedes contrats
                                d’assurance qui garantissent au
                                créancier qu’il sera remboursé
                                même si son débiteur se défausse,
                                lesCDSdonnentaujourd’huidufil
                                à retordre aux milieux financiers.
                                Al’heure oùles dirigeants européens
                                se retrouvent à Bruxelles,
                                jeudi23 et vendredi 24juin, pour
                                tenterdesauverinextremislaGrèce
                                de la banqueroute, une questionsepose:
                                les institutions financières
                                qui ontvendudesCDSvontelles
                                devoir payer? «On peut toujours
                                finasser, mais la réalité, c’est
                                que la Grèce ne peut pas rembourser
                                ses dettes », tranche un banquier
                                de la place.
                                En théorie, tout laisse donc croirequelepaysnes’en
                                tirerapassans
                                une «restructuration », assimilée
                                par les agences de notation à un
                                défaut. Ce qui, techniquement,
                                devrait entraîner le débouclage des
                                CDS. En pratique, l’affaire est plus
                                compliquée. Comme le notent les
                                experts,ilyadéfautetdéfaut.Comment
                                serait donc interprétée une
                                participation volontaire des créanciers
                                privés au sauvetage de la Grèce?
                                La réponsen’est pas claire.
                                Pour les dirigeants de la zone
                                euro, il faut à tout prix éviter que
                                le marché conclue à ce que l’on
                                nomme, en jargon financier, un
                                «événement de crédit », à même
                                d’entraîner le paiement des
                                fameux CDS. Une telle procédure
                                incarnerait concrètement la faillited’Athènes.
                                «Etpersonnen’avraimentenviequ’onrécompenseceux
                                qui ont joué contre la Grèce», ajoute
                                Jean-François Robin, stratégiste
                                chez Natixis. Destinés à l’origine à
                                protéger un investisseur contre
                                un défaut de paiement, les CDS
                                sont devenus pour certains un
                                moyen efficace de gagner beaucoup
                                d’argent.
                                Le principe ? Plus le risque de
                                faillite est élevé, plus l’assurance
                                est chère. A en croire les autorités
                                européennes, des spéculateurs
                                auraient acheté massivement ces
                                produitspourgonflerlesinquiétudes.
                                Actuellement,ilencoûte2millions
                                d’euros par an à un investisseur
                                souhaitant assurer un portefeuille
                                de 10 millions d’euros de
                                dette grecque. Dujamais vu!
                                Les responsables de la zone euro
                                craignent aussi qu’un déclenchementdesCDSsoit
                                le véhiculed’une
                                contagion de la criseau secteur privé.
                                Sur ce marché obscur, impossible
                                de savoir précisément qui sont
                                les acheteurs, les vendeurs, et le
                                montant de leurs engagements.
                                Regain de volatilité
                                «Personne au monde ne sait qui
                                détient des CDS, qui devrait payer
                                quoi en cas d’événement de crédit
                                grec», a alerté, mercredi, la chancelière
                                allemande, Angela Merkel. Au
                                moment de la crise financière de
                                2008, ces contrats avaient joué un
                                rôle déterminant dans la quasifaillite
                                de l’ex-numéro un mondial
                                des assurances, l’américain AIG,
                                gros émetteur de CDS.
                                Mais certains acteurs du secteur
                                s’inquiètentdelatournuredesévénements.
                                « Les CDS sont utilisés
                                comme une protection», souligne
                                Gary Jenkins, responsable de l’obligataire
                                auprès du courtier londonien
                                Evolution Securities. Quelle
                                sera leur crédibilité si les banques
                                décidaient de ne pas payer, malgré
                                l’incapacité manifeste de la Grèce à
                                honorer ses dettes? M.Jenkins met
                                engardecontreunregaindevolatilité
                                sur les marchés: «Les investisseurs
                                en dette souveraine incapables
                                de se protéger pourraient exiger
                                des garanties supplémentaires,
                                ce qui augmenterait le coût d’emprunt
                                de certains Etats.»
                                Pour l’heure, l’ISDA (InternationalSwapsandDerivatives
                                Association),
                                l’organisationprofessionnelle
                                qui chapeaute ce marché, semble
                                aller dans le sens des capitales
                                européennes. Mi-juin, elle a estiméqu’une
                                participation volontaire
                                des créanciers ne constituerait
                                pasun«creditevent».Mais,endernier
                                ressort, la décision de payer
                                ou pas échoira à son Determination
                                Committee, une discrète commission
                                composée d’une dizaine
                                de banques. p
                                Marie de Vergès
                                avec Marc Roche
                                (Londres, correspondant




                                salut jean roger, je colle çà dans Memory






                                Salut!
                                Enfin un type sérieux sur cette file.

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