bravo, quite well argumented ! c'est plutôt rare sur les forums en général...
Nul doute que l'humanité aura à faire face à des problèmes croissants du fait de l'accession du quart-monde aux "bienfaits" de la société de consommation. En effet, problèmes écologiques, vieillissement de la population, exigences économiques croissantes des particuliers du fait de l'augmentation du niveau de vie, épuisement des ressources, inflation pour synthétiser les propos de Makaveli seront effectivement les problèmes auquel sera confrontée la nouvelle humanité.
L'humanité devra faire en sorte de mieux gérer son patrimoine naturel, de réallouer les ressources plus efficacement afin de prévenir les conflits, d'inventer de nouvelles technologies non polluantes (ou à pollution fortement réduite), pratiquer l'économie d'énergie qu'elle avait jusque là dilapidée (ou dois-je dire la partie privilégiée constituée par les pays occidentaux)...etc
Je fais confiance à l'humanité dans sa capacité à penser de nouvelles solutions (je suis un optimiste => à chaque problème sa solution, et nous avons tous un cerveau). En revanche, ce qui m'inquiète c'est la vitesse avec laquelle les évènements risquent de s'enchaîner paralysant du même coup nos capacités de réflexions, trop lentes pour suivre la cadence. La menace vient du fait que le mal risque de survenir bien avant que le remède n'ait été pensé. Si on ajoute à cela que les sociétés humaines sont d'une rare complexité, sans équivalent dans la nature alors on peut être sûr que l'action sera lente à la détente (chaque problème en dissimulant un autre dans ce maillage complexe).
En conclusion, si la menace est bien sûr liée aux catastrophes qui nous sont prédites, le véritable danger lui provient de nos possibilités d'action et de réaction qui risquent de se retrouver paralysées. Car jusqu'à maintenant les problèmes qui se sont successivement présentés à l'humanité étaient locaux et d'urgence relativement réduite, là ils sont à la fois globaux et systémiques, et leurs conséquences sont à échéance rapprochée.
A+
Nul doute que l'humanité aura à faire face à des problèmes croissants du fait de l'accession du quart-monde aux "bienfaits" de la société de consommation. En effet, problèmes écologiques, vieillissement de la population, exigences économiques croissantes des particuliers du fait de l'augmentation du niveau de vie, épuisement des ressources, inflation pour synthétiser les propos de Makaveli seront effectivement les problèmes auquel sera confrontée la nouvelle humanité.
L'humanité devra faire en sorte de mieux gérer son patrimoine naturel, de réallouer les ressources plus efficacement afin de prévenir les conflits, d'inventer de nouvelles technologies non polluantes (ou à pollution fortement réduite), pratiquer l'économie d'énergie qu'elle avait jusque là dilapidée (ou dois-je dire la partie privilégiée constituée par les pays occidentaux)...etc
Je fais confiance à l'humanité dans sa capacité à penser de nouvelles solutions (je suis un optimiste => à chaque problème sa solution, et nous avons tous un cerveau). En revanche, ce qui m'inquiète c'est la vitesse avec laquelle les évènements risquent de s'enchaîner paralysant du même coup nos capacités de réflexions, trop lentes pour suivre la cadence. La menace vient du fait que le mal risque de survenir bien avant que le remède n'ait été pensé. Si on ajoute à cela que les sociétés humaines sont d'une rare complexité, sans équivalent dans la nature alors on peut être sûr que l'action sera lente à la détente (chaque problème en dissimulant un autre dans ce maillage complexe).
En conclusion, si la menace est bien sûr liée aux catastrophes qui nous sont prédites, le véritable danger lui provient de nos possibilités d'action et de réaction qui risquent de se retrouver paralysées. Car jusqu'à maintenant les problèmes qui se sont successivement présentés à l'humanité étaient locaux et d'urgence relativement réduite, là ils sont à la fois globaux et systémiques, et leurs conséquences sont à échéance rapprochée.
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