ARGUMENTS DES BEARS

[HENRYK3]

Citation de : eric_delage (au 15-03-2009 21:32:54)

Si le chapitre 11 de la + grosse compagnie devait arriver cette semaine ( pour ceux qui ont lu la rumeur sur le web (ici l'origine)) ... humm ... imaginons que GM ou Chrysler passe sous chapitre 11 ... faudra bien que ca arrive un jour ou l'autre ... cela serait-il de nature à expliquer un rally? J'ai lu sur sur un site que la faillite au début des années 2000 de la + grosse compagnie sud-coréenne avait provoqué un rally de la bourse sud-coréenne. Euh ... pourquoi? Si une énorme compagnie tq GM ou Chrysler se casse la gueule, les conséquences sur le tissu économique sont difficile à calculer et le risque devrait augmenter rendant les marchés actions moins attractifs. Non? Là je suis en plein brouillard.

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Si une société se met en dépot de bilan, elle se dégage de la plupart de ses engagements, notamment les retraites de ses salariés. Si c'est une catastrophe pour les salariés actuels et anciens, d'un autre côté, ça peut permettre à la société de survivre.
Dans ce cas de figure, il n'y a pas que les salariés de GM à être lésés. Les actionnaires seraient eux aussi baisés. Ainsi que les porteurs d'obligations ou autres produits divers.
J'imagine mal un rebond de la Bourse suite à ce genre d'évènement.

[HENRYK3]

Citation de : HENRYK3 (au 15-03-2009 21:45:58)

Citation de : eric_delage (au 15-03-2009 21:32:54)

Si le chapitre 11 de la + grosse compagnie devait arriver cette semaine ( pour ceux qui ont lu la rumeur sur le web (ici l'origine)) ... humm ... imaginons que GM ou Chrysler passe sous chapitre 11 ... faudra bien que ca arrive un jour ou l'autre ... cela serait-il de nature à expliquer un rally? J'ai lu sur sur un site que la faillite au début des années 2000 de la + grosse compagnie sud-coréenne avait provoqué un rally de la bourse sud-coréenne. Euh ... pourquoi? Si une énorme compagnie tq GM ou Chrysler se casse la gueule, les conséquences sur le tissu économique sont difficile à calculer et le risque devrait augmenter rendant les marchés actions moins attractifs. Non? Là je suis en plein brouillard.

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Si une société se met en dépot de bilan, elle se dégage de la plupart de ses engagements, notamment les retraites de ses salariés. Si c'est une catastrophe pour les salariés actuels et anciens, d'un autre côté, ça peut permettre à la société de survivre.
Dans ce cas de figure, il n'y a pas que les salariés de GM à être lésés. Les actionnaires seraient eux aussi baisés. Ainsi que les porteurs d'obligations ou autres produits divers.
J'imagine mal un rebond de la Bourse suite à ce genre d'évènement.

Dernière question. Qui achètera une voiture à une société en dépot de bilan ou sur le point de le devenir.

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[chris83]

WASHINGTON — Top administration economic advisers walked a careful line Sunday, saying that despite a few hopeful indicators and President Obama’s call to investors to consider returning to the share markets, that it would “take some time” to turn a corner.

Mr. Obama and his senior aides also sought over the weekend to quell Chinese concerns about the long-run security of U.S. Treasury notes, which had brought a rare expression of high-level concern last week from Prime Minister Wen Jiabao.

“Not just the Chinese government, but every investor can have absolute confidence in the soundness of investments in the U.S.,” Mr. Obama said Saturday after a White House meeting with President Luiz Inacio Lula da Silva of Brazil.

But despite the recent attempts of the president and others to buck up investor confidence, and a week in which American share markets registered their best performance in months, the message Sunday from one of the administration’s top economists, Lawrence H. Summers, director of the National Economic Council, was essentially one of caution.

Asked on ABC’s “This Week” whether a bottoming of the economy was in sight, Mr. Summers said, “No one can make that judgment.” Job losses were likely to continue for some time, he suggested, noting: “We’ve got an economy that’s losing 600,000 jobs a month. It’s probably not going to stop imminently.” And queried about whether the unexpected profit reports for this year from Citibank and some other major banks meant that they were “out of the woods,” he replied, “I wish I could say that.”



c est con le réel

[chris83]

la défense des frontieres lointaines a amené l effondrement de Rome

Jacques Attali

KABUL, Afghanistan — Four American soldiers were killed in eastern Afghanistan in a roadside explosion on Sunday, the United States military said, in the worst of several attacks by insurgents around the country.

The Taliban claimed responsibility for the attack, a spokesman, Zabiullah Mujahid, said.

The Taliban have been threatening to increase attacks on foreign and Afghan forces in Afghanistan to counter the increase in American troops arriving in the country over the coming months. Military officials have been predicting an increase in violence this year.


3 trillions en Irak......faut en garder un peu pour l Afghanistan......demandez aux russes....ils en connaissent un rayon sur le sujet

[peanuts]

Citation de : chris83 (au 15-03-2009 21:59:54)

c est con le réel

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[meteor13]

Le GEAB n °33 est disponible
http://www.leap2020.eu/GEAB-N-33-est-disponible!-Tensions-transatlantiques-croissantes-a-la-veille-du-G20-Exemple-d-une-tentative-de_a2936.html

[Roque]

Le prochain chapitre à s'ouvrir ... la faillite des fonds de pension :
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Pension fund plummets

By Sydney P. Freedberg, Times Staff Writer

Published Thursday, March 12, 2009

Florida's giant public employee pension fund needs a bailout.

Hit by the stock market crash and losses in risky investments, the pension plan faces a big funding gap, according to a study presented Thursday.

That means that the Legislature likely will have to ask financially strapped state and local governments to pony up additional cash to meet their pension promises.

Almost 1 million public employees and retirees — from teachers and firefighters to social workers and police officers — participate in Florida's plan.

Because of the funding hole, their employers could see their pension costs roughly double from 10 to 20 percent of their payrolls in six years, according to the study.

The more local governments put in the fund, the more they will have to compensate by hiking property taxes or reducing services. All Floridians, not just those in the pension plan, could be affected.

... lire la suite sur le site de tampabay.com

[chalouette]

G20: une cacophonie bienvenue
Par Philippe Riès

Mediapart.fr

Aux plus belles heures du G7 des ministres des finances et gouverneurs des banques centrales, les participants ne se contentaient pas de publier des communiqués insipides fleurant bon la langue de bois. Ils se mettaient également d'accord sur des «éléments de langage» pour être certains que les communications à la presse ne viendraient pas troubler cette harmonie de façade. C'est ainsi que les Européens et les Japonais ont pendant des années accepté d'endosser des appels à la discipline budgétaire adressés aux Etats-Unis, qui s'en souciaient comme d'une guigne.

Il semblerait, restons prudents, que le G20, qui permet désormais aux grands pays émergents de se joindre à ces conclaves autrefois réservés à une poignée de grands pays industrialisés, n'ait pas encore eu le temps d'apprendre l'art de la palinodie diplomatique. C'est le ministre allemand Peer Steinbrück qui a mis les pieds dans le plat en sortant des discussions organisées par le chancelier britannique de l'Echiquier Alister Darling pour préparer la réunion des chefs d'Etat et de gouvernement, le 2 avril prochain à Londres. «Cela n'aucun sens, a lancé M. Steinbrück, d'injecter toujours plus d'argent dans notre économie tant que nous n'avons pas rétabli la confiance dans le système financier.»

Les Etats-Unis, représentés par le secrétaire aux Trésor, Tim Geithner, et le président de la Réserver fédérale, Ben Bernanke, étaient venus dans le sud de l'Angleterre pour se plaindre de la modestie des plans de relance mis en œuvre jusqu'ici par les Européens. Les déclarations de Geithner lui-même, comme celles de Larry Summers, principal conseiller économique du président Obama, avaient été plutôt mal reçues de ce côté-ci de l'Atlantique. Ces déclarations «ne nous conviennent pas», avait lancé le premier ministre luxembourgeois et président de l'eurogroupe, Jean-Claude Juncker. «L'Europe et l'eurogroupe ont fait ce qu'ils avaient à faire.»

Ce n'est pas d'hier que le «story telling» en vogue aux Etats-Unis propose une lecture singulière de la crise financière, de ses origines et de ses effets. Dans un commentaire livré au Wall Street Journal, l'ancien président de la Fed, Alan Greenspan, a ressorti la fable inventée en 2005 par celui qui allait lui succéder, Ben Bernanke. Si les Etats-Unis ont connu entre 2003 et 2007 une bulle de crédits phénoménale, n'y voyez aucunement la responsabilité de la politique monétaire laxiste suivie par la Fed après l'éclatement de la bulle Internet ou d'une défaillance généralisée des autorités de surveillance bancaire et financière (dont la Fed) dans le contrôle des dérives de Wall Street. Non, c'est la faute des Chinois, et accessoirement des autres Asiatiques, qui ont trop épargné et ont déversé sur les Etats-Unis, contraints et forcés de les accepter, leurs excédents financiers.

Washington: la faute aux autres

C'est pousser un peu loin la théorie de l'offre. Mais les Etats-Unis sont coutumiers du fait. Il est bien connu que les seuls responsables de la consommation de drogues dures en Amérique sont les planteurs de coca boliviens et les paysans afghans. Nancy Reagan, ancienne starlette devenue Première dame des Etats-Unis, avait une vision un peu plus réaliste des choses : «Just Say No !»

Donc, les Européens ont dit clairement «Non» aux pressions américaines. «C'est à chaque pays de décider ce qui est bon pour lui», a résumé M. Darling. «Ils doivent juger jusqu'à quel point ils doivent agir, quel impact en résulte, quels secteurs de l'économie doivent être aidés, selon ce qu'ils estiment appropriés à leur situation», a-t-il précisé.

Le seul gouvernement à s'être aligné strictement sur les Etats-Unis, mais il s'agit là d'une seconde nature, est celui du Japon, où l'équipe conservatrice à la dérive dans les sondages à quelques mois d'élections générales, annonce la présentation d'un troisième plan de relance. Sous les gouvernements du réformateur Junichiro Koizumi, le Japon avait échappé pendant quelques années à son penchant traditionnel pour la stimulation budgétaire en série qui avait fait la démonstration de son incapacité à le sortir d'une crise engendrée par la déflation des actifs et le naufrage du système financier. Mais les successeurs de Koizumi à la tête du Parti libéral démocratique et du pays ont vite repris le mauvais pli.

A la veille du G20, la Chine, premier créancier étranger des Etats-Unis devant le Japon, s'était inquiétée publiquement, par la voix du chef du gouvernement Wen Jiabao, de la solidité de ses avoirs en dollar, compte tenu de l'orgie de dépenses publiques en cours aux Etats-Unis. Cette sortie très peu diplomatique («Pour être franc, je suis réellement un peu inquiet», avait confié M. Wen), a placé Washington sur la défensive.

Le porte-parole de la Maison Blanche Robert Gibbs a répondu qu'il n'y avait «pas d'investissement plus sûr au monde qu'aux Etats-Unis». Les milliers de victimes de Bernie Madoff, qui a enfin rejoint la cellule où il devrait finir ses jours, apprécieront. Comme les investisseurs du monde entier, les banques européennes notamment, auxquels Wall Street a fourgué des centaines de milliards de dollars en produits toxiques, pendant que la SCE, le «gendarme de la bourse américaine, dormait sur ses deux oreilles.

Vers un changement des règles du jeu ?

20 mois après le début de la crise dite des subprimes, les partenaires des Etats-Unis sont obligés de constater que la Maison Blanche et le Trésor avancent toujours à tâtons vers ce qui devrait être la priorité des priorités: l'assainissement et la remise en ordre de marche du système de crédit aux Etats-Unis. A la veille du G20, les primes du risque sur le marché interbancaire avaient retrouvé les niveaux de crise de janvier dernier. On dirait que Peer Streinbrück a compris quelque chose qui échappe encore à Timothy Geithner.

Les Européens s'inquiètent d'ailleurs tout autant de la solitude du secrétaire au Trésor qui affronte une crise aux proportions historiques sans qu'aient été pourvus des postes clefs dans son équipe. La lenteur de l'administration Obama à compléter un processus de nomination entravé par des défections en série a été critiquée par les hauts fonctionnaires britanniques chargés de préparer le G20.

Sur le second point à l'ordre du jour de cette réunion, le renforcement du système financier international, le catalogue de déclarations d'intention ne doit préjuger de rien. Le diable est dans les détails, qui feront l'objet dans les semaines et les mois qui viennent d'âpres marchandages. Bien plus significative est la décision des grands pays émergents (les BRICS, c'est-à-dire Brésil, Russie, Chine, Inde, Afrique du Sud) de se réunir séparément avant la séance plénière pour affirmer qu'ils conditionnent leur participation à l'augmentation des ressources du FMI à une nouvelle répartition du pouvoir au sein d'une l'institution multilatérale outrageusement dominée par les Etats-Unis depuis sa création par les accords de Bretton Woods en 1944.

La véritable innovation du communiqué du G20, c'est bien son ultime sentence. «Les dirigeants des institutions financières internationales doivent être choisis à travers un processus de sélection transparent, fondé sur le mérite». C'est, en bon anglais, l'annonce de la fin du monopole européen sur la direction générale du FMI et de l'exclusivité américaine à la tête de la Banque Mondiale. Un seul regret: que cette règle de bon sens, déjà mise en œuvre au demeurant à l'Organisation mondiale du commerce, n'ait pas été appliquée pas aussi au choix du président de la Commission européenne. Dans cette occasion historique, l'exécutif européen ne serait peut-être pas évanoui.

URL source: http://www.mediapart.fr/journal/economie/150309/g2...

[Bernie_Bruxelles]

Je perds un peu mon latin dans ce dossier mais là les chiffres deviennent délirants sachant que BNP se fait la part belle avec Fortis banque et que les actionnaires "gardent" le holding .... 22,5 M de pertes et une AK en vue ?????? euh qui va souscrire ???? les pigeons déjà plumés "une fois"


Fortis Holding prévoit une perte de 22,5 milliards d'euros pour 2008

Fortis Holding s'attend à une perte de 22,5 milliards d'euros pour l'exercice écoulé et ne distribuera pas de dividende. Le groupe a également annoncé que la convention entre Ping An Insurance Company of China, Ltd. et Fortis datée du 28 novembre 2007 avait expiré vendredi. C'est cette convention, initialement conclue pour 3 ans qui avait fait de Ping An le premier actionnaire de Fortis.

suite et source : http://www.lecho.be/actualite/entreprises_finance/...

[Bernie_Bruxelles]

Une faillite d’AIG aurait coûté 11,9 mds USD à SG
dimanche 15.03.2009, 22:43

La banque française Société Générale est l’une des principales bénéficiaires du sauvetage sur fonds publics du groupe AIG, car une faillite de l’assureur américain lui aurait coûté 11,9 milliards de dollars, selon des documents publiés dimanche par AIG.

[chris83]

c est bien ca qui est tellement amusant....

qui savait que AIG devait autant de CDS à la SG ? la SG n a jamais mentionné ca....et ca ne se voit pas dans son bilan....

si AIG sautait....SG était nationalisé.....

comment un homme sérieux peut il prétendre à la fin du bear market dans un tel contexte ?? très amusant.....bien sur il y a une probabilité qu il n y a plus du tout de black swan....))

(notons que si un tel événement arrivait,l annonceur de la mort du bear market dirait tranquillement..."je ne pouvais savoir qu un tel evenement arriverait")

les lecteurs assidus de la file se demanderont pourquoi j insiste autant sur ce point....hé bien,moi j ai bossé....

Selon mes infos,AXA a 6 fois plus de personnel dans sa filiale produits dérivés....que AIG.....(qui a perdu 190 M avec eux)

JDH ...savais tu que SG avait une expo de 11M à AIG ??? je ne t ai jamais vu l écrire....étais tu certain que AIG serait sauvé ? qu ils paieraient les CDS même aux institutions étrangeres ?? es tu certains qu il n y a pas encore 100M de CDS sur des produits dérivés sur les comptes de AXA ? de SG ? de Fortis ?? tiens tiens ..Fortis annonce justement 22.5M de pertes ce soir

JDH....partage tes infos avec nous.....d où proviennent ces infos que personne ne lit nulle part ?? sont elles 100% fiables ??? Bling Bling ?? De Castries ?

ES TU CERTAIN QUE C EST FINI,cher JDH ?? moi et mes amis,on a écrit 2000 pages de mises en garde......

PARLES NOUS.......que sais tu des comptes d AXA ? des SIV de toutes les banques mondiales dans le shadow banking ??

JDH,tu n as pas vu Bear Stearns,Lehman,Citigroup,AIG..Ou en tout cas,tu n as rien ecrit....

JDH ....GM va couler ?? si ils coulent ,parle nous des CDS exercables ? qui sont les émetteurs ? et les contre parties ??

Quelles banques portent le risque des CDO des LBO ??

JDH .....parle nous.....nous t invoquons.....avons nous écrit 2000 pages pour rien ?? Roubini est il un gros con ? Jorion se trompe il completement ??

DEVONS NOUS PASSER LONG MASSIVEMENT ??

Garantirais tu nos pertes si tu te trompais ??

top fun...j adore ce post

[chris83]

Notons que GEAB s amuse du miracle CITI et GM de la semaine....

GEAB est plutot pas très rassurant je trouve....

JDH,recois tu GEAB ? depenses tu 240 euros par an pour leur lettre ???

[chris83]

Bourses : le Père Noël n'existe pas
Continuez à éviter totalement les bourses sauf si vous aimez le risque et la roulette russe en
particulier. L'effondrement de la production industrielle mondiale, couplée avec la récession
généralisée, assure que les profits des entreprises (y compris les plus performantes) seront au mieux
très faibles dans les deux ans à venir (au minimum). Pour les autres, la grande majorité, c'est
l'escalade des pertes qui est au rendez-vous de 2009 et 2010.


court extrait de Leap2020

qui a raison ?? JDH ou LEAP ?? to be or not to be ....

[BipBip75]

C'est vrai que ça doit etre assez dur qd tu es le pdg d'une grosse banque de dire que tu risques de te faire enfumer de 11 milliards parce que t'as passé des contrats tout pourris avec un assureur moribond.
Ahurissant

...
Trois institutions ont reçu 70% des 52 milliards de dollars de fonds publics utilisés entre septembre et décembre pour dénouer les positions souscrites par la filiale financière d'AIG: la banque d'affaires américaine Goldman Sachs (12,9 milliards de dollars), la banque française Société Générale (11,9 milliards) et de banque allemande Deutsche Bank (11,8 milliards).
Parmi les autres gros bénéficiaires de fonds publics figurent la britannique Barclays (7 milliards), la banque d'affaires américaine Merrill Lynch (6,8 milliards) et la suisse UBS (5 milliards), selon ces documents.
Deux autres établissements français auraient pu perdre gros dans la débâcle de l'ancien numéro un mondial de l'assurance: BNP Paribas (4,9 milliards de dollars) et Calyon, la banque d'affaires du Crédit Agricole (2,3 milliards).
La britannique HSBC, les allemandes Dresdner Bank et DZ Bank, les néerlandais Rabobank et ING auraient pu aussi abandonner beaucoup d'argent dans le naufrage d'AIG si l'Etat fédéral n'était pas venu à sa rescousse...

AFP

[BipBip75]

Et surtout la tres grosse question à 100 Milliards ???

A qui ont été ou seront versés les 100 milliards restant de l'aide de 150 milliards du gouvernement US??