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  • #61
    Bush affirme au Premier ministre israélien sa détermination à isoler l'Iran
    lundi 13 novembre 2006 à 19:07
    :

    Le président américain George W. Bush (d) et le Premier ministre israélien Ehud Olmert, le 13 novembre 2006 à la Maison Blanche à Washington

    Le président américain George W. Bush (d) et le Premier ministre israélien Ehud Olmert, le 13 novembre 2006 à la Maison Blanche à Washington (Photo: Tim Sloan / AFP)

    WASHINGTON (AFP) - Le président George W. Bush a affirmé lundi sa détermination à isoler l'Iran si Téhéran persiste dans son défi nucléaire, signifiant au Premier ministre israélien Ehud Olmert que la nouvelle donne américaine et les difficultés irakiennes n'avaient pas changé sa politique.

    M. Bush a signalé de même à M. Olmert que son attitude vis-à-vis de la Syrie n'avait pas changé elle non plus, malgré la défaite de son parti républicain aux élections parlementaires du 7 novembre.

    La nouvelle donne politique à Washington a ouvert la voie à une remise en cause de la politique américaine et posé la question d'un nouveau dialogue américain avec les deux voisins iranien et syrien de l'Irak.

    Israël est très préoccupé par l'Iran et de la Syrie, ses deux ennemis les plus farouches qui sont également les bêtes noires des Etats-Unis dans la région.

    Devant M. Olmert dans le Bureau Ovale de la Maison Blanche, M. Bush a affirmé que l'Iran doté de l'arme nucléaire serait une "menace pour la paix mondiale".

    "Dans l'intérêt de la paix mondiale, je dis que si l'Iran a l'arme nucléaire, cela sera incroyablement déstabilisateur, et évidemment une menace pour notre loyal allié", Israël, a dit M. Bush devant la presse.

    Israël se considère comme la cible désignée des activités nucléaires et ballistiques de l'Iran, dont le président Mahmoud Ahmadinejad a appelé ouvertement à "rayer (l'Etat hébreu) de la carte".
    Le président américain George W. Bush, le 13 novembre 2006 à la Maison Blanche

    Le président américain George W. Bush, le 13 novembre 2006 à la Maison Blanche (Photo: Tim Sloan / AFP)

    M. Ahmadinejad est venu conforter les inquiétudes israéliennes juste avant les entretiens Bush-Olmert en déclarant, selon les médias de son pays, qu'Israël était voué à la "destruction".

    Les Etats-Unis pressent depuis des mois pour obtenir des sanctions contre la République islamique qui, selon eux, dissimule sous ses activités nucléaires civiles un programme pour se doter de la bombe.

    "Je crois qu'il est très important que le monde dise aux Iraniens d'une seule voix: si vous choisissez de continuer, vous vous retrouverez isolés. Et l'une des sources d'isolation serait l'isolation économique (...) Leur intransigeance doit avoir une conséquence", a-t-il dit.

    La position des Etats-Unis sur l'Iran "n'a pas changé", a-t-il dit: les Iraniens doivent suspendre leurs activités d'enrichissement d'uranium pour que les Américains acceptent de discuter avec eux, même au sujet de l'Irak.

    Quant à des discussions avec la Syrie, celle-ci doit d'abord cesser de s'ingérer dans les affaires libanaises, ne pas "abriter des extrémistes" et "aider la jeune démocratie irakienne à réussir", a-t-il dit.

    "Le président syrien connaît ma position", a ajouté M. Bush écartant là aussi un changement.

    M. Olmert s'est déclaré "très encouragé" par le contenu de ses discussions à ce sujet avec M. Bush. "Le fanatisme et l'extrémisme du gouvernement iranien (...) n'est pas quelque chose que nous pouvons tolérer", a-t-il souligné.

    M. Olmert avait d'autant plus de raisons de rechercher des assurances que le premier ministre britannique Tony Blair, le principal allié de M. Bush en Irak, devait appeler la Syrie et l'Iran à s'impliquer davantage dans les efforts de paix en Irak et au Proche-Orient, dans un discours prévu lundi soir.

    En outre, M. Bush a reçu lundi, avant M. Olmert, un groupe de personnalités qui pourraient, dans les prochaines semaines, proposer une importante révision de la politique américaine en Irak.

    Parmi leurs propositions, ils pourraient préconiser aux Etats-Unis de reprendre langue avec l'Iran et la Syrie pour contribuer à restaurer la stabilité en Irak. M. Bush a refusé de "préjuger" des conclusions du groupe qui pourraient être présentées d'ici à la fin de l'année.

    M. Olmert a soutenu les efforts américains en Irak et dit "prier et espérer que cette politique réussira totalement".

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    • #62
      Bush's post-election approval hovers near lowest of presidencyUpdated 11/13/2006 1:00 PM ET E-mail | Save | Print | Reprints & Permissions |
      By USA TODAY staff
      WASHINGTON — President Bush's job approval ratings have slumped in the latest USA TODAY/Gallup poll, with the president's rating hovering near the lowest of his tenure.
      In the poll, taken Thursday through Sunday, 33% of Americans approve of Bush's job performance and 62% disapprove. That compares to 38% approval and 56% disapproval in a USA TODAY/Gallup poll taken Nov. 2-5, just before the Nov. 7 midterm elections.

      ON DEADLINE: 'Approval' lowest since May

      Bush, an asset for congressional candidates four years ago, was a liability for many this time. His approval rating was 42% in midterm exit polls. That's 10 percentage points lower than on Election Day in 2004 and 24 points lower than in 2002.

      Sixteen percent of those who said they voted for Bush in 2004 supported Democrats in the midterms, according to exit polling.

      Bush's lowest job approval rating came in a poll taken May 5-7, where 31% of Americans approved of his job performance. The same poll pegged Americans' disapproval of his job performance at 65%, the highest of his tenure.

      The president's approval ratings have hovered near or below 40% for most of this year in the poll. The president's highest approval ratings came in late September 2001, shortly after the 9/11 terror attacks. Ninety percent of Americans approved of Bush's job performance at that time.

      The poll was based on telephone interviews with 1,004 adults. It has a margin of error of plus or minus 3 percentage points.

      Contributing: Randy Lilleston, Susan Page.
      Posted 11/13/2006 12:49 PM ET

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      • #63
        Olmert et Bush même combat ( sans Blair déjà out...):

        http://www.haaretz.com/hasen/spages/787238.html



        ..Olmert ne semble pas réaliser qu'il est le Bush israëlien:


        http://www.haaretz.com/hasen/spages/786912.html








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        • #64
          Bien qu'echec et mat, l'empereur s'entête:


          Le lundi 13 novembre 2006
          Agrandir l'image

          George W. Bush
          Photo AFP

          MALGRÉ L'INSTABILITÉ IRAKIENNE

          Bush refuse de parler à l'Iran et la Syrie

          Agence France-Presse

          Washington

          George W. Bush a écarté lundi des discussions directes avec l'Iran et la Syrie sur l'Irak, ainsi qu'un calendrier contraignant de retrait des troupes américaines, malgré la pression accrue pesant sur lui pour un changement de politique.

          Le président américain avait lui-même renforcé les attentes aux États-Unis en se disant ouvert à de «nouvelles perspectives» et à «toutes les idées» pour l'Irak après la défaite de son parti républicain aux élections parlementaires du 7 novembre.

          Et il a reçu lundi un groupe de personnalités qui pourraient formuler de telles propositions d'ici à la fin de l'année.



          M. Bush a cependant opposé une fin de non-recevoir à ce qui pourrait être l'une des recommandations de ce Groupe d'études sur l'Irak : l'ouverture de discussions directes avec l'Iran et la Syrie pour qu'ils usent de leur influence et contribuent à restaurer la stabilité chez leur voisin. «Ma position n'a pas changé», a dit M. Bush en des termes semblables au sujet de l'Iran et de la Syrie.

          Il s'exprimait à l'issue d'entretiens avec le premier ministre israélien Ehud Olmert, dont le pays a toutes les raisons de s'inquiéter d'une reprise de contact des États-Unis avec les deux principaux ennemis de l'État hébreu.

          L'Iran et la Syrie sont aussi les deux bêtes noires des États-Unis dans la région. En reprenant langue avec Téhéran et Damas, Washington opérerait un revirement spectaculaire.

          Or l'un des chefs du Groupe d'étude sur l'Irak, l'ex-secrétaire d'État James Baker, a déclaré publiquement que les États-Unis devaient parler à leurs ennemis.

          Mais M. Bush a de nouveau conditionné des discussions avec le régime islamique à son renoncement aux activités nucléaires les plus sensibles.

          «Je dis que si l'Iran a l'arme nucléaire, cela sera incroyablement déstabilisateur, et évidemment une menace pour notre loyal allié», Israël, a dit M. Bush.

          Les élections parlementaires ont pourtant suscité l'attente forte d'un changement de direction en Irak. Les démocrates, vainqueurs du scrutin, en avaient fait l'argument majeur de leur campagne.

          Le premier ministre britannique Tony Blair, principal allié de M. Bush en Irak, a lui-même prôné lundi une «évolution» de la stratégie irakienne.

          Mais il s'est gardé d'appeler à impliquer davantage l'Iran et la Syrie en Irak, comme la presse britannique lui en prêtait le projet, ce qui aurait étayé les spéculations sur une reprise de contacts.

          Le département d'État américain a même signifié que la possibilité, offerte par les États-Unis l'an dernier, de discussions spécifiques entre leur ambassadeur à Bagdad et les Iraniens sur l'Irak, était enterrée.

          Quant à la Syrie, elle doit cesser de s'ingérer dans les affaires libanaises et «d'abriter des extrémistes», a-t-il dit.

          M. Bush s'est aussi prononcé contre tout calendrier de rapatriement des quelque 150 000 soldats américains déployés en Irak.

          La majorité des Américains et la nouvelle majorité démocrate réclament un tel retrait, au moins progressif.

          M. Bush a dit ne pas savoir ce que proposerait le Groupe d'études sur l'Irak et attendre de voir ses suggestions. Mais «il est très important pour les gens qui font des propositions de comprendre que les meilleures options militaires dépendent des conditions sur le terrain», a-t-il dit.

          Le président a aussi souligné que le Groupe n'était pas le seul à étudier de nouveaux moyens pour sortir à la fois les Américains et les Irakiens du guêpier, rappelant que l'état-major américain planchait aussi sur le sujet.

          Le Groupe devait avoir lundi des discussions avec d'autres hauts dirigeants, comme la secrétaire d'État Condoleezza Rice, le secrétaire démissionnaire à la Défense Donald Rumsfeld ou les commandants militaires américains.

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          • #65
            http://www.usatoday.com/news/world/2006-11-14-iran...

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            • #66
              Bush envisagerait d'envoyer 20 000 soldats supplémentaires en Irak

              Agence France-Presse

              Londres

              Le président George W. Bush souhaite un «dernier gros effort» en Irak, qui pourrait se traduire par l'envoi de 20 000 soldats supplémentaires, rapporte jeudi le quotidien britannique The Guardian.

              Citant des sources «familières des discussions en cours au sein de l'administration américaine», le journal affirme que M. Bush refuse de céder aux appels en faveur d'une nouvelle stratégie ou d'un retrait à court terme des troupes.

              Selon le journal, cette attitude a un «impact décisif» sur le réexamen de la politique irakienne mené par le Groupe d'étude sur l'Irak, co-présidé par l'ancien secrétaire d'État James Baker.



              Le Groupe n'a pas achevé ses travaux, mais ses recommandations devraient s'articuler autour d'une «stratégie de la victoire» en quatre points, affirme le Guardian, selon lequel un «brouillon» de ces recommandations a été discuté à huis clos avec M. Baker et le vice-président Dick Cheney.

              - la première appelle à un renforcement du nombre des Américains en Irak, qui pourrait aller jusqu'à 20.000 soldats supplémentaires, pour sécuriser Bagdad et permettre des redéploiements ailleurs dans le pays.

              - la deuxième recommandation se concentre sur la coopération régionale pour sortir du bourbier irakien. Cela pourrait conduire à susciter une conférence internationale des pays voisins, ou une implication plus grande, diplomatique, financière et économique d'alliés des États-Unis tels l'Arabie Saoudite ou le Koweït, écrit le Guardian.

              - la troisième favorise la réconciliation entre chiites, sunnites et les autres communautés, avec le souci de «créer un cadre politique crédible», jugé «crucial» par le Groupe d'étude sur l'Irak, qui est hostile à l'idée d'une partition du pays en trois zones autonomes.

              - la quatrième réclame un financement plus important par le Congrès américain, pour permettre l'envoi de troupes supplémentaires et payer pour l'équipement et la formation des forces de sécurité irakiennes, ajoute le Guardian.

              Le Groupe d'étude sur l'Irak, créé par le Congrès, doit remettre ses conclusions dans les prochaines semaines. Ses membres se sont entretenus cette semaine avec le président Bush et le premier ministre britannique Tony Blair.

              Mercredi, le général John Abizaid, qui supervise les opérations militaires américaines en Irak, a estimé que des renforts n'étaient pas la solution.

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              • #67
                Sondage:


                Le jeudi 16 novembre 2006

                Les Américains veulent que les démocrates, non Bush, prennent l'initiative

                Agence France-Presse

                Washington

                Les Américains comptent sur la nouvelle majorité parlementaire élue la semaine dernière, plutôt que le président Bush, pour prendre l'initiative sur les grands dossiers, selon un sondage publié jeudi.

                Selon l'institut Pew, 60% des Américains sont satisfaits des résultats des élections du 7 novembre, qui se sont soldées par la défaite du parti républicain du président George W. Bush, même si seulement la moitié (50%) approuvent le programme des démocrates.

                En dépit de cette incertitude, il semble que les électeurs ont bien confié un mandat de gouvernement aux démocrates, puisque 51% des Américains comptent sur eux pour prendre l'initiative, contre seulement 29% qui estiment que M. Bush doit avoir un rôle moteur.



                Lors du précédent basculement de majorité, en 1994, seulement 43% des Américains estimaient que les républicains arrivés au pouvoir au Congrès devaient avoir l'initiative, contre 39% pour le président démocrate Bill Clinton.

                Le Pew enregistre en outre une popularité au plus bas pour M. Bush, à 32%.

                Le sondage confirme par ailleurs que l'Irak a pesé très lourdement sur le scrutin du 7 novembre, même si seulement 22% des Américains pensent que les démocrates ont un plan clair pour gérer la guerre. Seulement 19% des Américains estiment que M. Bush a un plan clair pour l'Irak.

                Dans la perspective de la présidentielle de 2008, les sénateurs Hillary Clinton et Barack Obama sont les favoris de la course à l'investiture démocrate (39% et 23%).

                L'ancien maire de New York Rudolph Giuliani et l'influent sénateur John McCain sont au coude à coude pour l'investiture républicaine (27% et 26%).

                Le sondage a été réalisé auprès de 1.479 adultes entre le 9 et le 12 novembre.

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                • #68
                  Le vendredi 17 novembre 2006

                  Dialogue sur l'Irak : l'Iran veut des gestes «concrets» de Washington
                  Agence France-Presse

                  Téhéran

                  L'Iran attend des gestes «concrets» des États-Unis pour engager un dialogue sur la situation en Irak, a déclaré vendredi le chef de la diplomatie iranienne Manouchehr Mottaki.

                  «Les seules déclarations des Américains sur un changement de leur politique en Irak ne sont pas la solution aux problèmes. Nous attendons un (changement) de comportement concret de la Maison-Blanche», a dit le ministre, en déplacement à New Dehli, dans une interview à la télévision publique iranienne.

                  «Nous étudierons d'abord la nouvelle attitude, et son aspect concret, des États-Unis en ce qui concerne le dialogue sur l'Irak, et nous nous déciderons ensuite à ce sujet», a-t-il ajouté.



                  Washington s'est déclaré prêt discuter avec Téhéran des moyens de stabiliser la situation en Irak voisin, mais ces ouvertures ne se sont pas concrétisées jusqu'ici.

                  L'ex-président et chef du Conseil de discernement iranien, une instance d'arbitrage du régime, Akbar Hachémi Rafsandjani, a souligné lors de la prière du vendredi à Téhéran que les États-Unis étaient demandeurs d'un dialogue et non l'inverse dans ce dossier.

                  «Ils s'enfoncent progressivement dans ce marais (du Moyen-Orient) et maintenant ils ne peuvent plus s'en sortir seuls», a-t-il dit dans le sermon retransmis sur la radio d'État.

                  «Cela nous demanderait beaucoup d'efforts pour les tirer du fond de ce marais (...) et ils disent maintenant qu'ils sont prêts en principe à parler avec nous», a-t-il poursuivi.

                  Il a conclu cette tirade sur un ton sarcastique en demandant : «Est-ce qu'ils pensent que nous sommes intéressés par ces discussions, et qu'ils nous font une concession ?» en les proposant ?

                  Jeudi, le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale iranien Ali Larijani avait estimé que «ce qui est important, c'est (que les Américains) disent clairement ce qu'ils veulent».

                  L'administration Bush avait indiqué mercredi qu'elle était prête à entamer des discussions avec Téhéran sur l'Irak, tout en exprimant de sérieux doutes sur le succès d'une telle démarche. Un appel en ce sens au début de l'année n'avait débouché sur rien.



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                  • #69
                    Comme chaque vendredi, à la clôture du cac: les sermons de la prière...



                    : Friday November 17, 2006
                    Hashemi Rafsanjani : Bush a commis une erreur stratégique
                    TEHERAN 17 NOVEMBRE 2006.

                    Politique. Iran.

                    L’imam provisoire de la prière de vendredi, l'ayatollah Akbar Hashemi Rafsanjani a déclaré vendredi àTéhéran que les Etats-Unis avec à leur tête le président américain George W. Bush ont commis "une erreur stratégique".

                    Les "politiques de George Bush dans le monde et dans la région du Moyen-Orient sont responsables de la plupart des dommages infligés à la nation américaine a souligné l'ayatollah Akbar Hashemi Rafsanjani dans son sermon de la prière de vendredi devant un grand rassemblement de fidèles réunis sur le campus de l'université de Téhéran.


                    Evoquant les développements dans la région, il a ajouté, " l'erreur principale de George W. Bush et de ses corollaires a été de penser qu’ils pourraient réaliser leurs buts à court terme en ignorant les dommages à long terme qu’ils auraient à subir."

                    Le Président du Conseil du Discernement a poursuivi que " George W. Bush a pensé qu'il pourrait réaliser ses objectifs en créant une atmosphère de sécurité aux USA et dans la région.


                    " George W. Bush a eu l'intention de gagner une élection par une vague de duperie (…) mais il était incapable d’envisager ce qui se produirait à l'avenir. »

                    ---> Iran.Prière de vendredi.Hashemi Rafsanjani.Bush.





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                    • #70
                      Malgrés l'euphorie savamment entretenue par la FED , des fonds spéculatifs commencent à chanceler :
                      http://www.marketwatch.com/News/Story/Story.aspx?g...
                      Amaranth avait bien creusé un trou de 6 milliards de dollars : mais ce n'était qu'un record à battre .
                      Cela annonce un spectacle trés plaisant quand le marché va enfin comprendre qu'une récession est en marche .

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                      • #71
                        Military may ask $127B for wars
                        Posted 11/16/2006 11:17 PM ET By Richard Wolf, USA TODAY
                        WASHINGTON — The Bush administration is preparing its largest spending request yet for the wars in Iraq and Afghanistan, a proposal that could make the conflict the most expensive since World War II.

                        The Pentagon is considering $127 billion to $160 billion in requests from the armed services for the 2007 fiscal year, which began last month, several lawmakers and congressional staff members said. That's on top of $70 billion already approved for 2007.

                        Since 2001, Congress has approved $502 billion for the war on terror, roughly two-thirds for Iraq. The latest request, due to reach the incoming Democratic-controlled Congress next spring, would make the war on terror more expensive than the Vietnam War.

                        Sen. Kent Conrad, D-N.D., who will chair the Senate Budget Committee next year, said the amount under consideration is "$127 billion and rising." He said the cost "is going to increasingly become an issue" because it could prevent Congress from addressing domestic priorities, such as expanding Medicare prescription drug coverage.

                        Rep. Jim Cooper, D-Tenn., who put the expected request at $160 billion, said such a sizable increase still "won't solve the problem" in Iraq.Bill Hoagland, a senior budget adviser to Senate Republicans, said: "At a minimum, they were looking at $130 (billion). If it goes higher than that, I'm not surprised."

                        The new request being considered for the war on terror would be about one-fourth what the government spends annually on Social Security — and 10 times what it spends on its space program.
                        The White House called the figures premature. "They don't reflect a decision by the administration," said budget office spokeswoman Christin Baker. "It is much too early in the process to make that determination."

                        Before the Iraq war began in 2003, the Bush administration estimated its cost at $50 billion to $60 billion, though White House economic adviser Lawrence Lindsey had suggested in 2002 that it could cost as much as $200 billion.

                        Growing opposition to the war contributed to Democrats' takeover of the House and Senate in this month's elections. Pennsylvania Rep. John Murtha, an early critic of the war who lost his bid Thursday to be the House Democratic leader, vowed to use his clout as chairman of the House panel that reviews the Pentagon budget "to get these troops out of Iraq and get back on track and quit spending $8 billion a month."

                        "The war's been an extraordinarily expensive undertaking, both in lives and in dollars," said Senate Budget Committee Chairman Judd Gregg, R-N.H.

                        The new request is top-heavy with Army and Air Force costs to replace and repair equipment and redeploy troops, Hoagland said. That's why the 2007 cost is likely to top the war's average annual price tag.

                        Overall, he said, "we're easily headed toward $600 billion." That would top the $536 billion cost of Vietnam in today's dollars. World War II cost an inflation-adjusted $3.6 trillion.

                        Leon Panetta, President Clinton's former chief of staff and a member of a bipartisan panel studying recommendations on Iraq for President Bush, said the Pentagon needs $50 billion to $60 billion to "restore the units that are being brought back here, to re-equip them and get them back to a combat-readiness status."
                        Posted 11/16/2006 11:17 PM ET

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                        • #72
                          Merci meteor pour la news de Marketwatch, qui s'inscrit dans un faisceau de news convergentes. L'encre pour imprimer les dollars pourrait bientôt faire
                          défaut...

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                          • #73

                            La prière du vendredi, suite:



                            Sermons de la prière de vendredi de Téhéran

                            IRIB - "Les Américains se feront illusion, s'ils pensent que nous sommes intéressés de négocier avec eux sur l'Irak et qu'ils nous feraient de concession en les proposant", a déclaré le Prédicateur de la prière du vendredi de Téhéran. "Ils s'enfoncent dans le bourbier irakien et maintenant ils ne peuvent plus en sortir tout seuls", a affirmé Akbar Hachemi Rafsandjani. "Que Démocrates ou Républicains soient au pouvoir, aux Etats-Unis, cela ne changerait en rien pour l'Iran; mais pour la Maison Blanche, la politique de poing de fer de George W. Bush consistant à assurer la sécurité à l'intérieur de la société américaine et au Moyen-Orient s'est révélée, à long terme, contre-productive", a ajouté Hachemi Rafsandjani. " L'erreur stratégique de George W. Bush en Irak a coûté bien cher aux Etats-Unis et au peuple américain", a souligné l'Orateur de la prière du vendredi de Téhéran, en allusion à l'occupation militaire de l'Irak et de l'Afghanistan et aux aveux des responsables US qui ont laissé filtrer que des milliers de Gis ont été tués ou blessés dans ces deux guerres. "Le plus malheureux des sondages dans l'histoire des Présidents des Etats-Unis, George W. Bush et ses conseillers cherchaient au Liban et en Syrie, une issue du cloaque irakien; ils ont entraîné aussi Israël dans ce bourbier, sans pour autant obtenir de résultat tangible", a ajouté Hachemi Rafsandjani. Le Prédicateur de la prière du vendredi de Téhéran a, également, considéré l'affaire nucléaire iranienne comme un grand défi, pour l'Occident surtout les Etats-Unis. "Les ténors de la Maison Blanche n'auront rien à dire face à l'opinion publique mondiale qui reconnaît le droit incontestable de l'Iran de faire usage de la technologie nucléaire pacifique.", a-t-il conclu.

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                            • #74
                              Olmert cherche quoi....?:



                              LIBAN SUD

                              Nouvel incident entre casques bleus français et Israël

                              Beyrouth

                              Agence France-Presse

                              La défense anti-aérienne des casques bleus français de la Finul s'est préparée vendredi à riposter, pour la troisième fois en l'espace de quelques semaines, à des survols par des avions israéliens d'une de leurs positions au Liban sud.

                              «La Finul a observé dans la matinée quatorze violations israéliennes de l'espace territorial libanais dont onze dans la zone de déploiement du bataillon français dans le secteur central du Liban sud», a affirmé le porte-parole Milos Strugar.

                              «Lorsque deux avions de combats F15 ont survolé la région à basse altitude et très grande vitesse tandis que deux autres avions de reconnaissance israéliens RC12 survolaient le quartier général du bataillon à Jabal Maroun (est de Tyr), la défense anti-aérienne de cette unité française a pris des mesures préparatoires à une riposte conformément aux règles d'engagement» de la Finul, a ajouté le porte-parole.



                              Selon M. Strugar, le commandant de la Finul, le général français Alain Pellegrini, a «fermement protesté auprès des autorités israéliennes, à la suite de ces survols, leur demandant de mettre fin à ces actions inacceptables et en violation de la résolution 1701» du Conseil de sécurité de l'ONU.

                              Les règles d'engagement de la Finul stipulent que les casques bleus ont «le droit à l'auto-défense et à prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger la troupe, ses installations et ses équipements», a rappelé le porte-parole.

                              La résolution 1701 a permis de déployer la Finul-bis, aux côtés de l'armée libanaise, pour consolider la trève à la frontière libano-israélienne, après les combats de juillet-août entre Israël et le Hezbollah chiite libanais.

                              La France est le premier contributeur de la Finul avec 1.650 casques bleus sur les 9.500 soldats déployés en son sein.

                              Il s'agit du troisième incident de ce genre au cours des dernières semaines entre le contingent français de la Finul (Force intérimaire de l'ONU pour le Liban sud) et l'aviation israélienne.

                              La ministre française de la Défense, Michèle Alliot-Marie, avait déclaré le 8 novembre que des casques bleus français avaient été «à deux secondes», le 31 octobre, de tirer des missiles sol-air sur des chasseurs-bombardiers israéliens qui avaient piqué sur leur position au Liban sud.

                              Paris avait formellement protesté auprès de Tel Aviv après ce simulacre d'attaque.

                              Un porte-parole français du ministère de la Défense avait pour sa part
                              rappelé le survol par l'aviation israélienne dans des conditions analogues de deux navires français et allemand patrouillant le long des côtes libanaises au nom de l'ONU.

                              Malgré les mises en garde de la France, et le mécontentement des autres membres permanents du Conseil de sécurité de l'Onu (dont les États-Unis, alliés d'Israël), Tel Aviv a affirmé qu'il n'était pas possible d'arrêter ces survols «pour le moment».

                              De fait, les survols du Liban par les avions de combat israéliens qui poussent parfois leur incursion jusqu'à la capitale, Beyrouth, et au delà, ne ne se sont pas arrêtés depuis la fin du conflit entre Israël et le Hezbollah le 14 août.

                              L'incident de vendredi survient quelques jours seulement après que Mme Alliot-Marie se fut félicitée que l'aviation israélienne n'ait pas répété ses marques d'hostilité à l'égard des casques bleus lors de ses survols du territoire libanais.

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                              • #75
                                Olmert dans le même biseau (tdt) que Bush...?:





                                GAZA

                                L'ONU demande la fin des opérations militaires israéliennes

                                Agence France-Presse

                                New York

                                L'Assemblée générale de l'ONU a demandé vendredi la fin de toutes les formes de violence entre Israël et les Palestiniens, dont les opérations militaires d'Israël à Gaza et les tirs de roquettes sur Israël.

                                L'Assemblée a fait cette demande dans une résolution -non contraignante- adoptée par 156 voix contre 7, avec 6 abstentions. L'Union européenne a voté pour, les États-Unis ont voté contre.

                                La résolution demande également l'établissement d'une mission d'enquête sur la bavure de l'artillerie israélienne qui a tué 19 Palestiniens, surtout des femmes et des enfants, le 8 novembre à Beit Hanoun, dans le nord de la bande de Gaza.



                                Dans le texte, l'Assemblée «appelle Israël, puissance occupante, à cesser immédiatement ses opérations militaires qui mettent en danger la population civile palestinienne dans le Territoire occupé, y compris à Jérusalem-est, et à retirer ses forces de la bande de Gaza».

                                Elle appelle également à «la cessation immédiate des opérations militaires et de tous actes de violence, terrorisme, provocation, incitation et destruction entre Israël et les Palestiniens, y compris les exécutions extra-judiciaires, bombardements de zones civiles, raids aériens et tirs de roquettes».

                                Elle demande au secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, de mettre sur pied une mission d'enquête sur la bavure de Beit Hanoun et de lui faire rapport dans les 30 jours.

                                Le vote a eu lieu lors d'une séance spéciale de l'Assemblée, où siègent les 192 États membres de l'ONU, convoquée d'urgence après le rejet lundi d'un texte similaire par le Conseil de sécurité dû à un veto des États-Unis, fidèles alliés d'Israël.

                                Après l'échec au Conseil, les diplomates arabes avaient décidé de saisir l'Assemblée générale, où le veto n'existe pas et où la majorité des États membres est depuis des décennies plus réceptive aux thèses palestiniennes qu'à celles d'Israël.

                                Malgré un débat commencé dans la matinée, le vote a été retardé jusqu'en fin de journée, l'ambassadeur américain, John Bolton, ayant soulevé des objections sur la nécessité d'une mission d'enquête sur le drame de Beit Hanoun et sur son coût, estimé à 131 000 dollars.

                                (d'autres informations suivront)

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