Envoyé par lassitude
Voir le message
Les investisseurs sont focalisés sur la Maison Blanche et l'investiture de Donald Trump vendredi", relèvent les stratégistes du courtier Aurel BGC dans une note. En outre, "il y a un certain sentiment de prudence avant la réunion de la Banque centrale européenne" (BCE) jeudi, selon Andrea Tuéni, analyste de Saxo Banque
En attendant, Le marché s'est concentré sur "une rafale d'indicateurs économiques et de résultats d'entreprises", selon des analystes de Wells Fargo.
A noter un rebond plus marqué que prévu de la production industrielle américaine en décembre ainsi qu'une avancée légère et sans surprise de l'inflation le même mois.
On attend par ailleurs la publication dans la soirée par la Réserve fédérale (Fed), de son "livre beige" sur l'état de l'économie américaine et la déclaration de sa présidente Janet Yellen, les investisseurs espérant y trouver des indices sur le rythme des hausses des taux prévues cette année.
Le 'Livre Beige' de la FED recommande un relèvement progressif des taux d'intérêt un relèvement progressif des taux d'intérêt, afin de ne pas être obligé de la faire brutalement si le rythme de la hausse des prix s'accélérait.
C'est un peu à quoi Wall Street a cru assister avec la hausse de +0,3% du 'CPI' américain au mois de décembre, soit +2,1% en rythme annuel, et même +2,2% hors 'variables volatiles' (énergie et alimentation notamment, dont +0,2% en décembre).
Et encore, la 'force' du Dollar tempère le renchérissement des biens et matières premières importées.
C'est un peu à quoi Wall Street a cru assister avec la hausse de +0,3% du 'CPI' américain au mois de décembre, soit +2,1% en rythme annuel, et même +2,2% hors 'variables volatiles' (énergie et alimentation notamment, dont +0,2% en décembre).
Et encore, la 'force' du Dollar tempère le renchérissement des biens et matières premières importées.
Par ailleurs, la production industrielle des Etats-Unis affiche +0,8% en décembre, selon la dernière enquête mensuelle de la FED (après -0,7% en novembre).
Dans le détail: la production manufacturière demeure faible (hausse de +0,2%), la production minière stagne, les 'services aux collectivités (eau/énergie) ont grimpé de 6,6%.
Le plus encourageant, c'est la hausse de 0,6Pt du taux d'utilisation des capacités industrielles, à 75,5%.
Dans le détail: la production manufacturière demeure faible (hausse de +0,2%), la production minière stagne, les 'services aux collectivités (eau/énergie) ont grimpé de 6,6%.
Le plus encourageant, c'est la hausse de 0,6Pt du taux d'utilisation des capacités industrielles, à 75,5%.
Si l'on ajoute les 1,9 milliard de dollars versés pour régler un litige avec Fannie Mae et Freddie Mac, les plus gros organismes de crédit immobilier des Etats-Unis, l'ardoise liée au dossier immobilier représente 9,1 milliards de dollars.
Cette affaire étant réglée, trois autres restent en suspens: l'une portant sur des transactions boursières suspectes en Russie, l'autre sur une manipulation présumée du marché des changes et la troisième sur une infraction présumée aux sanctions internationales décrétées par les Etats-Unis.
Toutes trois devraient déboucher sur des charges financièrement gérables.
Deutsche Bank a bon espoir de conclure un accord sur la Russie en mars, qui serait répercuté rétroactivement sur ses comptes de 2016, tout en versant bien moins que le milliard d'euros provisionné, selon des sources proches de la banque.
Cette affaire étant réglée, trois autres restent en suspens: l'une portant sur des transactions boursières suspectes en Russie, l'autre sur une manipulation présumée du marché des changes et la troisième sur une infraction présumée aux sanctions internationales décrétées par les Etats-Unis.
Toutes trois devraient déboucher sur des charges financièrement gérables.
Deutsche Bank a bon espoir de conclure un accord sur la Russie en mars, qui serait répercuté rétroactivement sur ses comptes de 2016, tout en versant bien moins que le milliard d'euros provisionné, selon des sources proches de la banque.
Goldman Sachs Group a publié mercredi un bénéfice trimestriel pratiquement quadruplé sur un an, ses revenus ayant profité de l'envolée des volumes de transactions dans les activités de courtage après l'élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis le 8 novembre.
Le bénéfice par action (BPA) trimestriel ressort à 5,08 dollars, contre 1,27 dollar un an plus tôt. Le BPA ajusté ressort lui aussi à 5,08 dollars, nettement au-dessus du consensus Thomson Reuters I/B/E/S, qui le donnait à 4,82 dollars.
oui, mais :
LE TITRE A GAGNÉ 30% DEPUIS L'ÉLECTION DE TRUMP
par contre, PER de *13, plutôt correct
Commentaire