Annonce
Réduire
Aucune annonce.
Ads
Réduire
[ mathsilver ] : actualités du système bancaire
Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #31
    Piraeus confirme avoir utilisé le fonds de la Banque de Grèce 31/08/2011 11:51

    ATHENES (Dow Jones)--Piraeus Bank SA (TPEIR.AT) est devenue mercredi la première grande banque grecque à confirmer avoir eu recours au fonds spécial de liquidités mis en place par la banque centrale du pays pour se refinancer.
    Cette facilité - Emergency Liquidity Assistance ou ELA - a été activée la semaine dernière sur fond de signes d'un nouveau resserrement du crédit pour les banques grecques, qui ont de plus en plus de difficultés à se financer auprès de la Banque centrale européenne.
    "En ce qui concerne l'ELA, la banque s'est toujours efforcée d'avoir accès à tous les mécanismes disponibles. Au dernier trimestre, nous avons eu accès à l'ELA", a expliqué aux analystes l'un des dirigeants de Piraeus, Alex Manos.
    Piraeus Bank est la quatrième banque de Grèce en termes d'actifs.
    Selon les données les plus récentes, les emprunts des banques grecques auprès de la BCE ont atteint en juin un niveau record de 103 milliards d'euros.
    Mais la BCE n'accepte pas toutes les formes de garanties et applique un système progressif de décotes sur celles qui sont acceptées.
    L'ELA est un dispositif spécial d'octroi de liquidités mis en place par les banques centrales nationales, qui doit être approuvé par la BCE.
    Le coût de l'emprunt auprès de l'ELA est toutefois plus élevé que celui de l'emprunt auprès de la BCE. Le taux d'intérêt sur les prêts de l'ELA est d'environ 3%-3,5%, contre 1,5% pour la BCE.
    -Alkman Granitsas, Dow Jones Newswires

    Commentaire


    • #32
      GB: banques et gouvernement s'échauffent autour d'une réforme controversée


      LONDRES - La tension est montée mercredi entre le gouvernement et les banques britanniques au sujet d'un projet controversé de réforme du secteur bancaire, qui vise à obliger les établissements à compartimenter leurs activités de détail et d'investissement.

      Le ministre du Commerce Vince Cable, un des chefs de file des libéraux-démocrates membres de la coalition au pouvoir, a accusé dans un entretien au Times les banquiers d'exploiter la crise de l'euro pour tenter de bloquer cette réforme défendue par le gouvernement.

      C'est un manque extrême de sincérité que d'utiliser le contexte actuel comme argument contre la réforme, a insisté M. Cable, selon qui les banques sont en train d'essayer de créer un mouvement de panique autour de quelque chose qu'elles savent inéluctable.

      Une commission indépendante dirigée par l'économiste John Vickers, dont le rapport final est attendu le 12 septembre, doit préconiser une vaste réforme pour mieux séparer activités de détail et d'investissement des grandes banques, sans toutefois demander la disparition pure et simple des banques universelles.

      Le ministre des Finances, le conservateur George Osborne, a d'ores et déjà endossé au printemps les grands axes de cette réforme, qui vise à tirer les leçons de la crise financière et éviter un nouveau sauvetage des banques aux frais des contribuables.

      Mais les milieux d'affaires britanniques s'opposent à cette nouvelle réglementation, arguant que les banques seraient désavantagées par rapport à leurs concurrentes étrangères, et certains établissements menacent de délocaliser leur siège.

      Au début de la semaine, la directrice de l'Association des banques britanniques, Angela Knight, et le patron des patrons, John Cridland, directeur générale de la confédération patronale CBI, ont tiré à boulets rouges sur cette réforme, faisant monter la pression à l'approche de la remise du rapport final.

      Lundi, Angela Knight avait affirmé que ce projet allait nuire à l'économie britannique, alors qu'elle est sortie fragilisée de la crise financière et que la croissance a ralenti brutalement au printemps, faisant ressurgir le spectre d'un retour dans la récession.

      Mardi, John Cridland avait à son tour donné de la voix.

      C'est tout simplement complètement dingue de prendre une telle décision, au moment où la croissance est en danger et affaiblit la capacité des banques britanniques à fournir les capitaux dont les entreprise ont besoin pour croître, avait-il déclaré au Financial Times.

      Cette réforme vise à résoudre le problème épineux des banques dites too big to fail, c'est-à-dire trop grosses pour qu'on les laisse tomber.

      Pour éviter à l'avenir de tels sauvetages publics, la commission Vickers a préconisé d'obliger les banques dites universelles à isoler leurs activités de détail de celles d'investissement, en érigeant des cloisons ou pare-feux entre les deux. Les activités de détail deviendraient des filiales à part, et seraient dotées de leurs propres réserves de capitaux.

      La commission Vickers avait toutefois écarté dans son rapport d'étape une solution plus radicale, qui aurait consisté à forcer les banques à choisir entre les deux types d'activités, et aurait forcé les établissements universels à se scinder purement et simplement.


      AFP / 31 août 2011

      Commentaire


      • #33
        Grèce : la dynamique de la dette est hors de contrôle

        ATHENES - La dynamique de la dette grecque est désormais hors de contrôle et les dérapages par rapport aux objectifs de réduction du déficit, exacerbés par une profonde récession, menacent d'annuler les bénéfices du nouveau plan de sauvetage, constate la nouvelle commission de contrôle du budget.

        Dans un rapport rendu public mercredi, la commission, composée d'analystes indépendants, estime qu'une augmentation importante de la dette, un grand déficit de départ et une profonde récession ont poussé à l'extrême la dynamique de la dette qui est maintenant hors de contrôle.


        (AFP / 31 août 2011 21h56)

        Commentaire


        • #34
          La dette grecque est hors de contrôle et les mesures prises par le gouvernement ne peuvent pas restaurer l'état des finances, selon le rapport d'une commission parlementaire indépendante publié aujourd'hui. "La forte hausse de la dette, le déficit primaire élevé (...) ont exacerbé à l'extrême la dynamique de la dette, qui a échappé à tout contrôle", estiment ces experts nommés par le ministère des Finances. La commission, mise en place en 2010, a pour mission de contrôler le budget de façon indépendante.

          Elle dépeint un sombre tableau de l'économie grecque alors que les représentants de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI) effectuent une mission d'inspection en Grèce afin de déterminer si la prochaine tranche d'aide du plan de sauvetage peut être accordée à Athènes. "Il est clair que le problème de ce pays n'est pas seulement le volume de sa dette publique, mais aussi l'incapacité de consolider la gestion budgétaire actuelle. Malgré le gigantesque effort d'ajustement budgétaire, aucun excédent primaire n'a été dégagé et, au contraire, le déficit primaire s'est creusé."

          La commission a enfin invité le gouvernement à redoubler d'efforts pour lutter contre la fraude fiscale et réduire le déficit primaire. "La dynamique du ratio dette/PIB reste hors de contrôle tandis que les facteurs déterminants évoluent de façon négative", estime la commission.

          Commentaire


          • #35
            Grèce : la dynamique de la dette est hors de contrôle

            ATHENES - La dynamique de la dette grecque est désormais hors de contrôle et les dérapages par rapport aux objectifs de réduction du déficit, exacerbés par une profonde récession, menacent d'annuler les bénéfices du nouveau plan de sauvetage, constate la nouvelle commission de contrôle du budget.

            Dans un rapport rendu public mercredi, la commission estime qu'une augmentation importante de la dette, un grand déficit de départ et une profonde récession ont poussé à l'extrême la dynamique de la dette qui est maintenant hors de contrôle.

            La commission nouvellement constituée est composée d'analystes indépendants.

            Ces développements semblent contrebalancer dans une large mesure l'impact positif du dernier plan de sauvetage de l'Union européenne qui s'élève à 159 milliards d'euros (230 milliards de dollars) consenti le mois dernier, ajoute la commission dans son rapport dont des extraits sont publiés par l'agence semi-étatique Athens News Agency.

            Bridée par les coupes budgétaires, l'économie grecque se rétracte à un rythme alarmant. Le ministre des Finances Evangelos Venizelos a déclaré la semaine dernière que le produit Intérieur Brut diminuerait vraisemblablement de plus de 4,5% en 2011, contre 3,5% prévu initialement.

            Entre-temps, la dette grecque a enflé pour atteindre 350 milliards d'euros.

            La Grèce est actuellement soumise à un audit de la part de l'Union européenne, du Fonds monétaire international et de la Banque centrale européenne pour savoir si la sixième tranche du prêt de 110 milliards d'euros consenti à Athènes l'année dernière sera débloquée.

            Selon certaines informations, les représentants de ces trois organisations, arrivés lundi à Athènes pour procéder à l'audit, auraient constaté des retards dans la mise en oeuvre du programme de relance, notamment dans les secteurs qui peuvent susciter de forts mouvements de protestation de la part des syndicats.

            Les prochaines semaines jusqu'au 15-20 octobre seront cruciales et graves, a déclaré M. Venizelos mercredi à la radio Real FM, dans une interview.

            Le déficit public - à l'origine de tous les maux du pays - est devenu insoutenable à 14,69 milliards d'euros (21,3 milliards de dollars) au premier semestre 2011, alors que l'objectif fixé était de 16,68 milliards pour toute l'année.

            Pour combler le déficit, les autorités grecques vont augmenter jeudi les taxes sur la nourriture dans les restaurants et les hôtels de dix points à 23%.

            Les restaurateurs ont qualifié cette mesure de ruineuse et certains menacent de ne pas percevoir cette taxe pour ne pas être contraints de fermer.

            Athènes est également confronté à une cacophonie en Europe concernant un accord controversé consenti par la Grèce à la Finlande pour lui garantir son financement du deuxième plan de sauvetage.

            Les dirigeants de la zone euro ont accordé un plan de sauvetage de 109 milliards d'euros en juillet à la Grèce pour éviter la banqueroute au pays. Le secteur privé a aussi avancé 50 milliards d'euros.


            (AFP / 31 août 2011 22h39)

            Commentaire


            • #36
              FMI : les banques européennes, baptême du feu pour Christine Lagarde


              Christine Lagarde a affronté mercredi son baptême du feu comme directrice générale du Fonds monétaire international avec une réunion de son conseil d'administration sur les banques européennes, après des jours de controverse.

              Cette instance où siègent les représentants de 24 Etats membres, dont cinq de la zone euro, a discuté selon son ordre du jour officiel des conclusions préliminaires de ses économistes sur l'état de l'économie et de la finance mondiales.

              Selon une source proche de l'institution, le "Rapport sur la stabilité financière dans le monde" publié par le FMI chaque semestre, et attendu le 21 septembre, examine en détail la solidité du système bancaire européen.

              Cette source s'est refusée à donner des précisions à l'AFP sur la teneur des discussions.

              Elle a fuité dans la presse, contrairement à la tradition de confidentialité de l'institution de Washington. D'après le Financial Times, qui a cité "deux responsables", la réunion a vu éclater une "vive controverse" entre fonctionnaires du FMI et Européens.

              Les calculs des économistes du FMI montrent que si les banques européennes inscrivaient à leur bilan les obligations des Etats de la zone euro à leur valeur de marché, leurs fonds propres tangibles chuteraient d'environ 200 milliards d'euros au total, soit de 10 à 12%, a rapporté le quotidien britannique.

              Ces chiffres sont visiblement ceux qui ont poussé samedi Mme Lagarde, lors d'une conférence à Jackson Hole (Wyoming, Ouest des Etats-Unis), à encourager les Européens à recapitaliser, si besoin par des fonds publics, les banques du continent. Selon elle, ce serait "essentiel pour mettre fin à la contagion" de la crise financière.

              Ces propos lui ont valu une pluie de critiques en Europe, dont les dirigeants ont fait valoir la bonne santé des grands établissements.

              Son successeur au ministère des Finances à Paris, François Baroin, a déclaré mercredi qu'il n'y avait "aucune interrogation et aucune inquiétude à avoir" sur le système bancaire français. La veille, le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, avait dit son étonnement après les propos de Mme Lagarde.

              Celle-ci, qui a pris ses fonctions au FMI le 5 juillet, a promis au conseil d'administration de ne pas "représenter les intérêts d'une région particulière". Mais si elle est la directrice des services du FMI, les statuts lui imposent aussi de veiller à la prise en compte des intérêts des Etats membres. En l'occurrence, le rejet ferme par les Européens des calculs de ces services devrait l'obliger à un exercice délicat de compromis.

              "Nous allons réfléchir à la discussion d'aujourd'hui avec le conseil d'administration" d'ici à la publication du rapport prévue le 21 septembre, a indiqué dans un communiqué un porte-parole du FMI, William Murray. "Jusque-là, il ne serait pas convenable de faire d'autres commentaires", a-t-il ajouté.

              Le précédent "Rapport sur la stabilité financière dans le monde", publié en avril, désignait clairement les banques européennes comme le maillon faible du système financier mondial. Il recommandait déjà de recapitaliser les plus faibles. Mais il ne contenait pas les chiffres qui font aujourd'hui débat.

              Un autre rapport publié en avril 2009 avait créé une polémique semblable: les Européens avaient jugé exagérément pessimistes les projections des pertes de leurs banques du fait de la crise financière aux Etats-Unis. Mme Lagarde, alors ministre, avait fait part des "plus grandes réserves" des gouvernements du continent sur les calculs du FMI.

              Depuis, cette crise n'a fait que muter et se reporter sur la dette publique, sans trouver de solution convaincante.

              AFP le 01/09/2011 à 06:45

              Commentaire


              • #37
                AFP le 31/08/2011 à 23:55

                Baroin : "aucune inquiétude" sur les banques françaises

                Le ministre de l'Economie François Baroin a assuré mercredi que le secteur bancaire français ne suscitait "aucune inquiétude", en réponse à la directrice générale du FMI Christine Lagarde qui a jugé "urgente" une recapitalisation des banques européennes.

                "Il n'y aucune interrogation et aucune inquiétude à avoir sur le dispositif bancaire", a déclaré François Baroin sur France 3.

                "Nos banques françaises ont passé les stress tests, les fonds propres ont augmenté, se sont renforcés et nous avons un dispositif bancaire qui est l'un des atouts aujourd'hui de l'économie française et reconnu dans le monde entier", a-t-il insisté.

                La patronne du Fonds monétaire international, à laquelle François Baroin a succédé en juin à Bercy, a estimé le week-end dernier aux Etats-Unis que les banques européennes avaient "besoin d'une recapitalisation urgente" afin d'être "suffisamment solides pour faire face aux risques que représentent les dettes publiques et la faiblesse de la croissance".

                "C'est la clé pour couper la chaîne de contagion", a-t-elle souligné. Pour y parvenir, les établissements bancaires devraient selon elle "d'abord chercher auprès de fonds privés" et "utiliser des fonds publics si nécessaire".

                Ces propos lui ont valu des critiques, notamment du gouverneur de la Banque de France Christian Noyer et de la présidente du Medef Laurence Parisot.

                Commentaire


                • #38

                  "la bombe à retardement" des emprunts toxiques aux collectivités est en train d'exploser.

                  Produits structurés sur le dollar yen; dollar franc suisse, euro franc suisse......

                  ça ne vous concerne pas ? et bien si, avec un peu de poisse (pas de chance) votre commune en a 40% de sa dette et donc vous le re facturera sur vos impots


                  http://videos.tf1.fr/jt-20h/le-20-heures-du-31-aou...

                  Commentaire


                  • #39
                    Le régulateur néerlandais va davantage surveiller les banques 01/09/2011 10:03

                    AMSTERDAM (Dow Jones)--L'autorité boursière des Pays-Bas a indiqué qu'elle surveillerait de plus près l'an prochain la façon dont les banques et les assureurs présentent leurs investissements en dettes souveraines, afin de parvenir à une plus grande transparence en ce qui concerne leur exposition aux pays qui connaissent des difficultés budgétaires.
                    L'AFM, le régulateur néerlandais des marchés, a déclaré mercredi soir qu'il ferait davantage attention à la manière dont les établissements financiers évaluent leurs investissements et les risques potentiels.
                    Les organismes internationaux de normalisation comptable reprochent actuellement à certaines banques européennes de ne pas avoir passé des dépréciations suffisantes sur les titres de dette grecque qu'elles détiennent.
                    Les principales banques néerlandaises, ING Groep (INGA.AE) et Rabobank Group, ont utilisé les prix du marché pour mesurer la valeur de leurs obligations grecques. Récemment, elles ont passé des dépréciations de 310 millions et 110 millions d'euros respectivement.

                    Commentaire


                    • #40
                      Sarkozy:les mesures d'austérité pourraient menacer la reprise 01/09/2011 10:17

                      PARIS (Dow Jones)--Nicolas Sarkozy a mis en garde mercredi les pays membres du G20 contre la mise en oeuvre de mesures d'austérité budgétaires excessives susceptibles de mettre en péril la reprise économique mondiale.
                      Le président français a également souligné que la situation relative aux dettes et aux déficits dans la zone euro était moins préoccupante qu'aux Etats-Unis et au Japon, et a réaffirmé sa détermination à tout faire pour défendre la monnaie unique.
                      Des politiques d'austérité à l'échelle mondiale risquent de faire replonger le monde dans la récession, a estimé Nicolas Sarkozy lors d'une intervention pendant la conférence des ambassadeurs, réunis à l'Elysée.
                      Réduire le déficit et la dette est essentiel, mais ce doit être progressif et crédible, a-t-il souligné.
                      Alors que la crise de la dette et le ralentissement des économies matures ont alimenté ces dernières semaines les inquiétudes du marché, le président a appelé les membres du G20 à prendre des mesures pour renforcer la croissance mondiale.
                      La France préside actuellement le G20 et organisera le dernier sommet de sa présidence à Cannes en novembre.
                      Alors que la croissance titube aux Etats-Unis et que la zone euro est empêtrée dans ses problèmes de dette souveraine, le discours de Nicolas Sarkozy aux ambassadeurs vise aussi à accentuer les pressions sur la Chine et d'autres pays émergents pour les inciter à jouer le rôle de principaux moteurs de la croissance économique mondiale.
                      Les pays émergents, qui sont moins contraints par leur situation budgétaire, devraient jouer un rôle dans la reprise économique mondiale grâce à l'augmentation de leur demande intérieure, a-t-il déclaré.
                      Il a par ailleurs ajouté avoir évoqué cette question avec le président chinois Hu Jintao lors de son escale à Pékin la semaine dernière, alors qu'il se rendait en Nouvelle-Calédonie.
                      N.Sarkozy a rappelé que la consommation des ménages ne représentait que 35% du produit intérieur brut de la Chine, contre 60% dans la zone euro et 70% aux Etats-Unis.
                      La France plaide pour que le système monétaire international tienne mieux compte du poids croissant de la Chine dans l'économie mondiale, notamment en incluant le yuan au panier de devises servant à établir la valeur des droits de tirage spéciaux - DTS - du Fonds monétaire international.







                      tiens tiens on reparle des DTS ?

                      Commentaire


                      • #41
                        PRESSE: Le déficit public grec vu à 8,8% du PIB en 2011 01/09/2011 10:39

                        ATHENES (Dow Jones)--Le déficit public de la Grèce devrait atteindre 8,8% du produit intérieur brut en 2011, alors que le gouvernement devait le ramener cette année à 7,6%, rapporte mercredi Kathimerini.
                        Le quotidien grec, qui cite des sources anonymes, ajoute que le ministère grec des Finances et les représentants de la "troïka" - le Fonds monétaire international, la Banque centrale européenne et la Commission européenne - ont revu à la hausse leur prévision de déficit en raison de l'aggravation de la récession que traverse le pays et du retard pris dans l'application des réformes structurelles.
                        Selon Kathimerini, la troïka a du mal à faire un rapport positif sur la réalisation des objectifs fixés à la Grèce. Le déblocage d'une sixième tranche d'aide dans le cadre du plan de soutien mis en place l'an dernier pour la Grèce dépend de l'avis que rendra la troïka sur les progrès accomplis par Athènes.
                        Les inspecteurs du FMI, de la BCE et de la Commission européenne sont arrivés à Athènes en début de semaine et devraient faire connaître leur verdict mi-septembre.
                        Site Internet : www.kathimerini.gr

                        Commentaire


                        • #42
                          La Grèce impute à une gaffe une estimation sur sa dette 01/09/2011 11:48

                          ATHENES (AFP)--Le ministre grec des Finances, Evangélos Vénizélos, a imputé jeudi à une gaffe due à l'inexpérience l'estimation alarmante selon laquelle la dynamique de la dette grecque serait désormais "hors de contrôle".
                          Cette estimation a été rendue publique mercredi, après une fuite, d'origine indéterminée, d'un rapport du nouveau Bureau du budget de l'Etat, qui venait d'être remis à la commission parlementaire des Finances.
                          Ce texte, le deuxième rapport mensuel établi par les experts du Bureau depuis sa récente création, "ne dispose pas des élements de validité de rapports internationaux" comparables, a jugé M. Vénizélos, cité dans un communiqué.
                          "Il est clair que le Bureau", dont la mission est d'informer les commissions parlementaires compétentes, "ne dispose ni des connaissances, ni de l'expérience, ni de la responsabilité" qui régissent la rédaction de rapports "par les organismes internationaux et les autorités indépendantes nationales", a-t-il insisté.
                          Il a indiqué avoir demandé au président du parlement "de prendre toutes les mesures pour garantir la validité de l'oeuvre du Bureau".
                          Le rapport incriminé mettait en garde contre une "dynamique de la dette qui est maintenant hors de contrôle" du fait de l'accroissement du déficit budgétaire et d'une récession plus grave que prévue.
                          "Ces développements semblent contrebalancer dans une large mesure l'impact positif" du dernier plan de sauvetage de la Grèce, adopté le 21 juillet par l'Union européenne, ajoutait le texte selon l'agence de presse grecque Ana.
                          Le rapport, dont seuls des extraits ont filtré, n'était pas disponible jeudi, selon le Bureau, dirigé par la docteur en économie Stella Savva-Balfousia.


                          Commentaire


                          • #43
                            Les valeurs bancaires britanniques ont le vent en poupe 01/09/2011 11:51

                            LONDRES (Dow Jones)--Les valeurs bancaires britanniques continuent de progresser jeudi, à la suite d'un article du Financial Times rapportant que le gouvernement pourrait reporter la réforme du secteur à 2015, mais les analystes soulignent que les incertitudes liées à la législation vont continuer de peser sur ces titres tant que ce projet ne sera pas bouclé.
                            Vers 11h20, Royal Bank of Scotland Group PLC (RBS) s'adjugeait 7,5% à 26 pence, Lloyds Banking Group PLC (LYG) gagnait 4,3% à 35 pence, et Barclays PLC (BCS) progressait de 4,9% à 179 pence. Ces titres sont cependant bien en dessous de leurs niveaux d'il y a un mois, lorsqu'un mouvement de vente a touché les valeurs financières sur fond de crise de la dette dans la zone euro.
                            Le Financial Times a écrit jeudi que des représentants du gouvernement britannique avaient admis que la pierre angulaire de ces réformes, à savoir une séparation nette entre activités de banque de détail et de banque d'investissement, pourrait n'entrer en vigueur qu'après les élections législatives de 2015.
                            Une porte-parole du ministre du Commerce Vince Cable a affirmé jeudi que les membres du gouvernement chargés de ce dossier n'avaient pas encore discuté d'un calendrier, et ne le feraient pas avant la publication du rapport final sur les réformes le 12 septembre.
                            Personne n'était disponible au Trésor britannique pour apporter un commentaire.
                            Des personnes proches des banques ont déclaré jeudi qu'un report serait bénéfique car il leur donnerait davantage de temps pour se préparer à la hausse des charges financières qu'engendreraient ces réformes.
                            Des analystes soulignent cependant que les banques risquent de subir encore les retombées de ces réformes, et que leur cours de Bourse pourrait continuer de reculer jusqu'à ce que la nouvelle réglementation soit finalisée.

                            Commentaire


                            • #44
                              La BCE achète des emprunts d'Etat espagnols jeudi - opérateurs 01/09/2011 12:23

                              LONDRES (Dow Jones)--La Banque centrale européenne a de nouveau acheté des emprunts d'Etat espagnols jeudi après une adjudication décevante de dette à cinq ans, rapportent des opérateurs.
                              L'Espagne a vendu pour 3,621 milliards d'euros de titres lors de cette adjudication, un montant inférieur au maximum visé, et l'opération s'est faite à un taux supérieur à celui du marché secondaire.
                              La BCE a commencé à acquérir des emprunts d'Etat espagnols et italiens en août, ce qui a fait baisser le rendement de ces titres qui était, selon les observateurs du marché, devenu insoutenable.
                              Un opérateur a indiqué que la BCE achetait jeudi des obligations espagnoles de maturité inférieure ou égale à dix ans.
                              La banque centrale achète également des titres de dette italienne jeudi, selon deux opérateurs

                              Commentaire


                              • #45
                                Moody's: volatilité supportable pour les banques européennes à CT


                                01/09/2011 15:16

                                LONDRES (Dow Jones)--Les banques européennes peuvent supporter à court terme la volatilité des actions et des CDS - ou credit default swaps, une catégorie de dérivés de crédit - ainsi que la forte contraction des financements disponibles en dollars, a déclaré jeudi Moody's Investors Service.
                                Cependant, l'agence de notation a souligné que le secteur restait vulnérable à une baisse soutenue de la confiance des investisseurs, alors que la conjoncture économique internationale reste fragile, que le marché s'inquiète de la solidité financière à long terme d'un certain nombre de pays européens et des répercussions sur leur capacité à soutenir leur système bancaire national.
                                Selon Moody's, son opinion relativement favorable à très court terme reflète les améliorations apportées aux infrastructures de marché depuis la crise financière mondiale, le renforcement des liquidités et des fonds propres de nombreuses banques européennes depuis trois ans, l'abondance des financements à court terme en euros et l'absence de perturbations sur le marché des swaps de devises.
                                A plus long terme, Moody's se dit plus préoccupée, car la capacité des gouvernements à soutenir leur système bancaire est amoindrie.

                                -Michael Haddon, Dow Jones Newswires
                                (Version française Aurélie Henri)

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X