Annonce
Réduire
Aucune annonce.
Ads
Réduire
[ mathsilver ] : actualités du système bancaire
Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • http://www.etf-corner.com/markets/2012/06/jpm-come...

    Cliquez pour agrandir

    Commentaire


    • Un témoin abonde dans le sens d'une manipulation de la Société générale au procès Kerviel

      PARIS (AP) — La Société générale a rendu "un immense service à la place financière de Paris" en imputant à Jérôme Kerviel des pertes en réalité liées à la crise des subprimes, a affirmé jeudi un témoin devant la cour d'appel de Paris chargée de rejuger l'ancien trader.

      "En transformant l'étiquette subprimes par l'étiquette Kerviel", la banque "a rendu un immense service à la place financière de Paris", a déclaré à la barre Jacques Werren, ancien directeur général adjoint du Marché à terme des instruments financiers (MATIF). "On a dû certainement estimer qu'avoir créé les conditions qui évitent d'annoncer des pertes pareilles, forcément avec une retombée extrêmement redoutable sur les marchés, c'est une opération dont on doit se féliciter".

      L'affaire a été révélée en janvier 2008 et, selon lui, il était alors "impossible d'annoncer officiellement qu'on a cinq milliards d'euros de pertes, sauf à provoquer un tsunami". Ainsi, "on a mis en place une opération au niveau le plus élevé de la banque pour transformer ces pertes", a ajouté M. Werren, un témoin appelé à la barre par la défense de Jérôme Kerviel, accusé d'avoir fait perdre à la Société générale 4,9 milliards d'euros.

      Admettre que ces pertes sont celles d'un opérateur, "c'est grave, mais la gravité de cet aveu n'a rien à voir avec celle d'une annonce sur les subprimes", a-t-il observé. "On l'a fait, pas seulement pour défendre la banque, pas seulement pour défendre la place, on l'a fait pour la bonne cause".

      Face à ce témoin qui va dans le sens de la supposée manipulation qu'il tente de démontrer depuis quelques jours, l'avocat de Jérôme Kerviel, Me David Koubbi, se félicite: "les moments de clarté chez les témoins sont assez rares". Reste que Jacques Werren n'a donné aucun argument en faveur d'une telle opération. AP

      ir/sb

      (AP / 21.06.2012 14h06)

      Commentaire


      • Espagne: S&P veut connaître les détails du plan d'aide aux banques


        MADRID - L'agence de notation Standard & Poor's a estimé jeudi que les 100 milliards d'euros maximum promis par la zone euro pour aider les banques espagnoles étaient suffisants pour couvrir leurs besoins, mais s'est dite impatiente de connaître les détails du plan de sauvetage.

        Le plan de sauvetage de 100 milliards d'euros pour l'Espagne donne aux banques un peu d'air, mais les détails seront clés pour évaluer ses conséquences, a indiqué l'agence dans un communiqué.

        Le gouvernement espagnol dévoilera jeudi à 17H30 (15H30 GMT) les résultats des audits menés par les cabinets allemand Roland Berger et américain Oliver Wyman, permettant de chiffrer les besoins en capitaux des banques.

        Il devrait dans la foulée déposer sa demande formelle d'aide européenne, profitant de la réunion de l'Eurogroupe programmée à Luxembourg à partir de 14H00 GMT.

        Les marchés sont impatients de savoir combien la zone euro devra prêter à l'Espagne pour redresser son secteur bancaire, fragilisé depuis l'éclatement de la bulle immobilière en 2008.

        L'enveloppe de 100 milliards maximum promise par la zone euro est suffisante pour couvrir les besoins potentiels en capitaux du système (financier espagnol) pour 2012-2013, juge Standard & Poor's.

        En revanche, nous considérons qu'il y a toujours des incertitudes sur les détails de mise en oeuvre de ce plan, en particulier en ce qui concerne les provisions et les exigences de capital (qui pourraient en découler, ndlr), ainsi que les implications des audits indépendants actuellement menés, note l'analyste Elena Iparraguirre.

        Nous sommes sceptiques sur la capacité du plan de sauvetage à réduire les défis de financement du système bancaire à court terme, et sur un redémarrage rapide du crédit, ajoute-t-elle.

        L'agence précise qu'elle ne prévoit pas d'impact immédiat de cette aide sur la notation des banques espagnoles, mais, en fonction des détails du plan, elle n'écarte pas des révisions à la baisse des notes de certaines banques.


        (©AFP / 21 juin 2012 16h10)

        Commentaire


        • La BCE va abaisser ses critères pour prêter aux banques


          FRANCFORT - La Banque centrale européenne (BCE) va abaisser ses critères en matière de garanties demandées aux banques de la zone euro en échange de ses prêts, une mesure qui aidera notamment les banques espagnoles, a appris l'AFP jeudi de source financière.

          Il y aura une extension de certains actifs pris en garantie dans les opérations de refinancement de la BCE, selon cette source, précisant que cette décision devrait être annoncée vendredi.

          Parmi ces actifs figurent notamment des crédits hypothécaires que les banques espagnoles ont en quantité, a ajouté cette source.

          Interrogée la BCE n'a pas souhaité commenter ces informations.

          Cette mesure devrait permettre aux banques dans le besoin de pouvoir continuer à participer aux opérations de prêts de la BCE au taux de 1%, au lieu de devoir solliciter les programmes de financement d'urgence de leurs banques centrales nationales respectives (ELA), plus coûteux.

          En décembre, la BCE avait déjà décidé d'élargir la gamme des garanties (collatéraux) exigées en échange de ses prêts, afin de permettre aux banques les plus en difficulté d'accéder à ses financements.

          Le secteur bancaire espagnol est actuellement dans la tourmente et Madrid a sollicité une aide européenne et internationale pouvant aller jusqu'à 100 milliards d'euros pour l'aider à le stabiliser.

          Le gouvernement espagnol doit dévoiler jeudi à 15H30 GMT les résultats d'audits qui permettront de chiffrer les besoins de ses banques.


          (©AFP / 21 juin 2012 16h39)

          Commentaire


          • j'ai pas encore eu le temps de regarder les modalités de recapitalisation des banques espagnoles ou italiennes par le MES


            en attendant :

            http://www.lemonde.fr/europe/article/2012/06/29/la...


            La Banque d'Angleterre prône une révolution culturelle pour la finance britannique
            Le Monde.fr avec AFP | 29.06.2012 à 14h45 • Mis à jour le 29.06.2012 à 14h45


            "Il est temps de faire quelque chose dans le secteur bancaire", juge Mervyn King, qui "espère que tout le monde maintenant a compris que quelque chose est vraiment allé de travers dans le secteur bancaire britannique". | AP/Rebecca Naden
            Le gouverneur de la Banque d'Angleterre (BoE), Mervyn King, a mis en cause vendredi la "culture" dans le secteur bancaire britannique. "Nous avons besoin d'un vrai changement dans la culture du secteur", a estimé Mervyn King, lors d'une conférence de presse sur une série de récents scandales autour des banques britanniques.
            "Il est temps de faire quelque chose dans le secteur bancaire", a jugé le gouverneur, qui "espère que tout le monde maintenant a compris que quelque chose est vraiment allé de travers dans le secteur bancaire britannique, et que nous avons besoin de le remettre en ordre".

            Il a notamment évoqué "des niveaux de rémunération excessifs", un traitement pas toujours convenable des clients ou "une manipulation décevante de l'un des taux d'intérêt les plus importants", une allusion à des agissements de Barclays dévoilés cette semaine.

            La banque britannique a écopé cette semaine d'amendes record pour avoir tenté de manipuler les taux d'intérêts de référence pour les prêts interbancaires, le Libor britannique et l'Euribor européen. Cela a provoqué un scandale et lui vaut des critiques violentes dans l'opinion publique et le monde politique, certains appelant même son patron à la démission.

            MAUVAISES PRATIQUES

            Royal Bank of Scotland (RBS) est aussi sur la sellette depuis plus d'une semaine, car elle n'en finit pas de régler les conséquences d'un énorme bug informatique, qui a pénalisé des millions de clients. Le Times affirme en outre qu'elle pourrait à son tour écoper d'une amende pour des faits similaires à ceux reprochés à Barclays. Ni le régulateur financier britannique (FSA), ni RBS n'ont fait de commentaire.

            La FSA en a aussi encore rajouté vendredi en annonçant avoir découvert des mauvaises pratiques lors de la commercialisation de certains produits financiers par les quatre principales institutions financières du pays.



            Commentaire

            Chargement...
            X