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  • Issu de la presse vénézuelienne de ce dimanche.

    D'abord, dans Prensa Latina, un article qui nous informe de deux choses essentielles:
    - Chavez déclare n'avoir aucun problème à suspendre l'exportation de 1,5 million barril/jour en cas de supsension des relations diplomatiques avec les USA.
    - Chavez, après un premier achat massif d'arme, réitéere cette démarche, afin de se prémunir de l'impérialisme US.

    Venezuela advierte posible suspensión de petróleo a EEUU

    Caracas, 4 feb (PL) Venezuela advirtió hoy a Estados Unidos que podrá suspender el envío de 1,5 millones diarios de barriles de petróleo si el gobierno de George W. Bush rompe relaciones diplomáticas con la nación sudamericana.

    Al abordar las presiones estadounidenses, incluyendo agresiones verbales y un caso de espionaje militar recién revelado, el presidente Hugo Chávez afirmó que puede dejar de enviar crudo y cerrar ocho refinerías venezolanas en territorio norteamericano.

    Habría que ver a que precios llegaría el petróleo, agregó el mandatario venezolano en un discurso ante una multitud que conmemoró el 14 aniversario de una rebelión militar que encabezó en 1992.

    "Si lo que el gobierno de Estados Unidos quiere es romper relaciones con Venezuela, allá ellos, que tomen la decisión. A mí no me cuesta nada mandar a cerrar las refinerías que tenemos en Estados Unidos", subrayó.

    Chávez aseguró que su país no quiere llegar a ese extremo, pero mantendrá una posición inflexible ante las agresiones y las acciones de espionaje como la recientemente denunciada de un agregado naval estadounidense.

    En relación con el petróleo, adelantó la posibilidad de colocar los 1,5 millones de barriles que se entregan a Estados Unidos en otros países amigos, entre ellos China, India y otros países de Europa, América Latina y el Caribe.

    Chávez también adelantó que Venezuela reforzará su capacidad defensiva con la compra de armamento, ante los intentos de Estados Unidos de socavar la adquisición de armas en el exterior.

    Precisó que, además de los 100 mil fusiles comprados recientemente a Rusia, solicitará permiso a la Asamblea Nacional para adquirir un nuevo lote de armamentos.

    Asimismo, adelantó que ya se iniciaron las gestiones para la adquisición de fusiles y lanzacohetes en países que declinó identificar.

    En relación con el espionaje, Chávez adelantó que serán expulsados del país todos los funcionarios estadounidenses que se dediquen a esa actividad, dirigida a tratar de desestabilizar al país.

    D'autre part, Chavez a lancé un appel auprès de sa population, qui la soutient très largement, à 78%, à mettre fin à l'impérialisme américain.

    Chávez convoca a derrotar imperialismo estadounidense

    Caracas, 4 feb (PL) El presidente Hugo Chávez llamó hoy a derrotar al imperio estadounidense en las elecciones presidenciales venezolanas de este año y afirmó que este siglo será el de la caída de ese imperio.

    En un discurso por el 14 aniversario de la rebelión militar que encabezó en 1992, Chávez indicó que el verdadero enemigo es el imperialismo de Estados Unidos.






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    • un autre texte à coller dans vos archives:



      Irak : Le pillage du pétrole est prêt, par Comaguer.
      Imprimer cet article
      14 décembre 2005




      S’il existait encore le moindre doute sur la motivation pétrolière dans l’invasion et l’occupation de l’Irak, l’étude publiée récemment par plusieurs associations britanniques et étasuniennes PLATFORM, INSTITUTE FOR POLICY STUDIES, WAR ON WANT, GLOBAL POLICY FORUM, OIL CHANGE INTERNATIONAL, NEW ECONOMIC FOUNDATION : sous le titre : « CRUDE DESIGNS : THE RIP-OFF OF IRAK’S OIL WEALTH », téléchargeable sur le net en anglais et en arabe, le lèverait définitivement.


      Ce document a été présenté par un de ses auteurs, GREG MUTTIT, le 26 mai 2005 à une réunion du syndicat des employés du pétrole à BASRAH.

      Nul besoin d’attentats du 11 septembre, nul besoin d’armes de destruction massive, nul besoin de démocratie à construire, le destin de SADDAM HUSSEIN et de son régime étaient scellés dès l’instant où le chef d’orchestre du grand pillage, DICK CHENEY accédait à la Vice-présidence.


      Le contexte pétrolier :


      L’exploitation du pétrole irakien commence après la première guerre mondiale et elle est confiée, par la monarchie mise en place par la Grande-Bretagne, à une société internationale créée pour les besoins de la cause. Cette société : l’IRAK PETROLEUM COMPANY, fabriquée sur mesure par les gouvernements britanniques et français rassemble l’anglo-néerlandais SHELL, la future BP britannique, et la COMPAGNIE FRANCAISE DES PETROLES, future TOTAL. Les Etats-Unis qui, à l’époque, sont largement autosuffisants en pétrole forceront quand même la porte et un groupement de pétroliers US deviendra le quatrième larron actionnaire.

      Le pétrole irakien est abondant, facile à extraire, donc très bon marché et comme le prix international se fixe à un niveau permettant aux producteurs des Etats-Unis qui ont des coûts de production plus élevés, posséder et exploiter un champ de pétrole en Irak garantit de plantureuses marges bénéficiaires. Après le coût d’état militaire du 14 Juillet 1958 qui renverse la monarchie, les nouveaux dirigeants irakiens voudront reprendre le contrôle de cette richesse. Après avoir éliminé ses rivaux, SADDAM HUSSEIN et le parti BAAS mèneront à bien cette tâche en nationalisant le pétrole en 1972. Parallèlement le régime consacrera tous les moyens nécessaires à la formation d’un personnel national capable à tous les niveaux d’assurer le bon fonctionnement et le développement de l’industrie pétrolière nationale.


      Aussi, le jour même de l’arrivée de l’armée d’invasion US à Bagdad en mars 2003, le premier soin de l’envahisseur sera de prendre le contrôle du Ministère du pétrole et de s’approprier toute la documentation et l’information qu’il recèle. Ayant un mandat très précis, l’armée d’invasion laissera piller sans sourciller les autres ministères- tout comme les musées - mais celui du pétrole deviendra une forteresse imprenable et ses trésors ne tomberont pas entre « de mauvaises mains ».

      Au nombre de ces trésors, les résultats des recherches géologiques, des forages effectués sur tout le territoire irakien constituent un véritable inventaire du potentiel pétrolier du pays. Potentiel énorme quand on sait que sur 80 champs pétroliers identifiés, seuls 17 étaient en exploitation avant l’invasion.

      Il est donc possible de mettre en exploitation 63 nouveaux gisements et de hisser l’Irak à la première place des producteurs mondiaux.

      Les compagnies pétrolières qui n’ignorent pas cette réalité ne dédaignent pas dans le même temps de semer l’inquiétude en parlant d’absence de nouveaux grands gisements dans le monde, d’une demande croissante bientôt impossible à satisfaire, des énormes appétits de la Chine et de l’Inde etç, etç..., discours connu qui a l’immense et immédiat avantage de faire monter les prix et les bénéfices.

      La question qui se pose à la Maison Blanche, comme dans les états-majors des multinationales pétrolières, est donc de savoir qui va mettre la main sur la manne irakienne. Elle ne se pose d’ailleurs plus guère dans un pays gouverné par un pouvoir fantoche et occupé par une armée de plus de 200 000 hommes (militaires et mercenaires de tous poils) et les solutions mises au point dans la discrétion, avant d’être validées par le nouveau gouvernement irakien (qui sortira les 15 décembre des urnes comme un lapin d’un chapeau de magicien) sont très bien décrites dans le rapport.


      La stratégie consiste à donner l’illusion que l’Irak n’est pas spolié et en même temps de s’assurer qu’aucun gouvernement irakien pour les décennies à venir ne pourra mette la main sur ce pactole. Une première mesure consiste à laisser la propriété et l’exploitation des 17 champs actuels aux nouveaux gouvernements régionaux institués par la nouvelle constitution. En pratique le pétrole de la zone Nord sera exploité par une société contrôlée par le gouvernement régional, gouvernement à dominante ou exclusivement kurde, et le pétrole de la zone Sud à une société contrôlée par le gouvernement à dominante chiite de cette région. La région du centre, autour de Bagdad, n’aura rien et les divisions ethnico-religieuses soigneusement entretenues par l’occupant et entérinées par la nouvelle constitution rendent très improbable un partage national de la richesse pétrolière existante ( sans oublier que la guerre, les destructions, les sabotages, n’ont pas permis à l’Irak de retrouver les niveaux de production d’avant l’invasion, loin s’en faut). Est donc ainsi mise en place un formidable outil de sécession économique.

      La seconde mesure consiste à mettre en place un nouveau dispositif pour l’exploitation des 63 gisements nouveaux. Ce dispositif existe, est bien connu de l’industrie pétrolière internationale qui l’utilise en général pur l’exploitation de petits gisements dans des régions difficiles et dans des pays où le pouvoir politique central est trop faible et trop pauvre pour imposer autre chose que l’obtention d’un modeste bakchich. Il est souvent pratiqué par des « outsiders », sociétés pétrolières petites ou moyennes qui tentent leurs chances dans des zones à risque où les grandes hésitent à se lancer. Il est connu dans le monde pétrolier sous le nom de PRODUCTION SHARING AGREEMENT (PSA) *. Il s’agit d’un accord passé entre l’Etat, propriétaire du sous-sol et de ses ressources, et une société étrangère spécialisée à qui il confie pour des périodes longues (de 25 à 50 ans) l’exclusivité de l’activité productive et de ses revenus. Cette société de gérance investit, embauche, extraie, transporte, vend. Elle fait apparaître les réserves pétrolières qu’elle découvre dans son bilan alors qu’elle n’en est pas propriétaire mais ça fait monter le cours de ses actions en bourse. Elle fonctionne dans un cadre fixé pour toute la durée du contrat et intangible. Il est en effet stipulé que si jamais l’Etat venait à modifier des règles qui pénaliseraient le gérant, il en supporterait le coût. Exemple : si dix ans après la signature du PSA, l’Etat prend des mesures de protection de l’environnement qui entraînent des dépenses nouvelles pour le gérant, il doit compenser financièrement cette mesure nouvelle et rembourser au gérant les dépenses anti-pollution ainsi occasionnées ! Le fameux principe pollueur-payeur passe à la trappe ! Même chose en matière de nouveaux droits sociaux !

      Ce type de disposition existait dans le défunt AMI (Accord Multilatéral pour l’investissement) et fait partie des exigences de base des grands prédateurs multinationaux qui créent ainsi l’insécurité permanente dans les revenus des travailleurs et des Etats mais veulent la sécurité des gains du Capital.


      Dans un PSA, le gérant fait ce qu’il veut, sans aucune référence à une politique nationale de gestion raisonnée des ressources naturelles, sans référence à une politique des prix sur le marché mondial. Il achète la complicité de l’Etat propriétaire en lui versant une partie des bénéfices. Ceci peut paraître alléchant pour des dirigeants nationaux totalement soumis ou impuissants : aucun souci d’entrepreneur, aucune responsabilité et de l’argent qui tombe régulièrement. Mais il s’agit d’une façade trompeuse. Le gérant sera filiale d’un grand groupe multinational, il pourra assez facilement et artificiellement alourdir ses charges - en achetant très cher du matériel à des fournisseurs étrangers - et réduire ses recettes en facturant son pétrole très peu cher à sa maison mère laquelle empochera le gros de la marge bénéficiaire dans son pays d’origine ou dans un quelconque paradis fiscal. L’illusion d’une gestion nationale de la richesse pétrolière est totale. Il suffira de payer grassement quelques comparses irakiens mis à la tête de la Société d’Etat qui signera le PSA et le tour sera joué.

      Conséquence indirecte mais certaine de cette perte de contrôle national : l’affaiblissement de l’OPEP. En effet, si les deux sociétés nationales en voie de création pour l’exploitation des gisements irakiens actuels peuvent adopter une attitude de défense collective des intérêts des pays producteurs, les gérants des PSA qui exploiteront les nouveaux gisements ne seront pas liés au cartel des pays producteurs. Ils produiront, vendront, feront des bénéfices à leur guise et dans leur seul intérêt. L’Irak pourra continuer à faire partie de l’OPEP, ce qui pourra peut-être satisfaire un orgueil national à courte vue, mais n’y pèsera en réalité d’aucun poids.


      Les auteurs de l’étude ont cherché à chiffrer les conséquences financières de ces nouveaux contrats en comparant, pour un volume donné de pétrole extrait et vendu la recette d’une véritable compagnie pétrolière nationale vendant sur le marché international un pétrole au coût d’extraction très faible aux bénéfices reversés par le ou les gérants. Les résultats sont édifiants : la perte pour l’Etat irakien s’établit entre 60 et 150 milliards de dollars. Voilà le hold-up qui est en cours de préparation dans les coulisses et qui sera, à n’en pas douter, cautionné par le nouveau gouvernement irakien aux ordres. Un premier « couac » vient d’ailleurs de se produire, le gouvernement de la région Nord ayant déjà signé sans en avertir Bagdad, un PSA avec la société pétrolière norvégienne DNO qui vient de commencer à forer.

      Ultime manifestation du cynisme et de l’impudence néocoloniale orchestrée par Washington et Londres : les PSA seront « vendus » à l’opinion publique irakienne et internationale en expliquant que face aux énormes charges de reconstruction du pays - en ne précisant pas qu’il a été dévasté par une guerre (du Golfe), une décennie d’embargo, des bombardements réguliers et l’état de guerre qui se poursuit- le gouvernement irakien doit donner la priorité à cette immense tâche à ses obligations en matière de santé, d’éducation ....et délègue à des professionnels riches et avertis le soin d’exploiter le pétrole.

      Non seulement les agresseurs n’envisagent pas un instant des réparations pour les immenses dommages des guerres qu’ils ont conduites, mais en plus ils mettent la main sur la seule ressource qui aurait permis de faire face aux immenses besoins du pays. Le gouvernement irakien en sera réduit à vivre de mendicité auprès des institutions financières internationales et des myriades d’ONG qui viendront lui faire la charité de leur présence « humanitaire ».


      *Quelques exemples de PSA

      - Les premiers contrats de ce type furent signés avec l’Indonésie à partir de 1965 c’est-à-dire après le renversement de SOEKARNO et l’élimination physique - de 500 000 à 1 million de morts - du parti communiste indonésien et de tous ses sympathisants réels ou supposés.

      - Au Timor Oriental après l’indépendance de ce petit pays très pauvre et saigné par sa guerre d’indépendance contre l’Indonésie,

      - dans l’est du Congo (RDC) dans les régions où l’Etat congolais est quasiment absent, en Tanzanie .

      - En 1994, ELTSINE, qui fut décidément un serviteur dévoué des intérêts occidentaux, fit voter par la Douma une loi autorisant les PSA en Russie. Le gouvernement russe, soucieux de redevenir maître chez lui, refuse désormais de l’appliquer. Une évolution analogue est en cours au Kazakhstan et en Azerbaïdjan dont les dirigeants avaient, eux aussi, cédé aux sirènes pétrolières occidentales jusqu’à la fin des années 90. Qu’importe : les pétroliers se rabattent sur l’Ukraine à qui ils laissent espérer des découvertes somptueuses et lui assurant une moindre dépendance par rapport au pétrole russe.

      - Plus récemment en Syrie, en Jordanie et au Soudan.




      Après ça, on comprend quand mieux les résistances de l'Iran et du Vénézuela....


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      • à coller dans vos archives.....

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        • Consolidation en février comme d'habitude....
          Le cycle du pétrole va t'il continuer ses habitudes....
          ( voir les pages précédentes)
          Si oui, le prochain démarrage dans une semaine ou deux sera plus spectaculaire....

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          • J'avais hésité sur la possibilité d'une correction, et je me suis trompé. Correction il y a.
            En deux mots, bien vu le départ, raté l'arrivée, ou à tout le moins une étape.

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            On remarque sur le graphe les similitudes actuelles avec les vagues de hausse précédentes. Pendant chaque hausse, le LCO avait marqué une pause, et les oscillateurs repassaient alors en négatif.
            En outre, le retracement avait été de 50 et de 38%. Il est actuellement de 50%.

            Trois supports importants se dégagent.
            D'abord, la MM10, située à 62.95. C'est sur cette MM10 que le LCO a part le passé rebondit.
            Ensuite, la MM20 à 61.90. Un rebond dessus alors que MM10 et MM20 se confondaient.
            Enfin, le support graphique à à 58.80/59.20. Il est important de noter que celui-ci n'a fonctionné que lors de la fin des retracements.

            En conclusion.
            Je surveillerai attentivement le comportement du cours sur la MM10 et la MM20. Leur dépassement ne trouverait plus alors que le support graphique pour freiner la baisse CT, et le contact avec ce support indiquerait une "anormalité" dans l'évolution haussière du cours.

            Comme d'habitude, je guetterai le passage en positif du momentum pour me repositionner.

            Enfin, une note plus générale. L'actualité est actuellement riche de situations pré-conflictuelles qui pourraient marquer l'évolution du cours du LCO. Iran, Vénézuela, Nigéria. La diplomatie peut certainement résoudre les trois, mais il suffirait d'un unique échec pour enflammmer les cours.

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              le contrat continu sur le pétrole Brute à New York remonte tout doucement ce matin en attendant les stocks US à 16h30 (la baisse a été anticipé par les analystes) si ça passe la figure qui se présente et positive, pour le pétrole, car on a ouvert sur la ligne de clôture d’hier
              On aurait alors un fond de pincette (Kenuki) C a d les cours plus bas sont allignés dans une tendance baissière – signal de fin de baisse
              L’idéal serait de clôturer sur l’axe media de la bougie rouge d’hier à 63.89$ a noter que les oscillateurs sont bien bas RSI 44 – STO – TRIX sont prés à repartir

              Aroon fait drôle d'allure pas assez connaisseur

              En cas d’échec retour sur le bas du canal vers 59.7$ / 60$ le baril US en attendant d’autres annonces et la correction continuera sur les pétrolières qui sont loin de leur MM20 -

              J’aurai du anticiper l’ouverture car
              La courbe sur le TSE pour les produits pétroliers et charbon pas belle cette nuit à Tokyo
              http://www.tse.or.jp/EREALIDX/def13.html

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              • Une petite note à l'attention de IN-OUT. L'idée n'est certainement pas bête...
                Mais pas encore trouvé la société qui pourrait être intéressante. Si de ton côté tu as fait des progrès, tiens nous informé.


                Bruxelles veut relancer la production de biocarburants

                L'Union européenne a proposé mercredi de donner un "nouvel élan"à la production de biocarburants, tels le biodiesel et l'éthanol, en augmentant l'aide et les investissements dans le domaine des "énergies vertes", et ce afin de réduire la forte dépendance de l'Europe en hydrocarbures polluants comme le pétrole et le gaz naturel.

                Bruxelles reconnaît toutefois que ce chantier sera difficile à mener à bien et que l'Europe devra dépenser des millions d'euros en recherche et en investissements pour atteindre l'objectif d'un taux de 5,75% de biocarburants dans les carburants traditionnels d'ici 2010.

                "A ce stade, nous sommes vraiment loin des objectifs fixés", a reconnu la commissaire européenne à l'Agriculture, Mariann Fischer Boel, qui est chargé du dossier biocarburants au sein de la commission. "Le fait est aujourd'hui que nous ne sommes capables de fournir que 1,4%."

                Les objectifs chiffrés, fixés en 2003, ne sont pas contraignants et ne seront vraisemblablement pas tenus par les gouvernements de l'UE, sauf s'ils deviennent obligatoires et que la Commission est chargée de les faire appliquer, a précisé Mme Fischer Boel.

                Quoi qu'il en soit, selon la commissaire à l'Agriculture, "c'est l'occasion ou jamais de marquer des points dans le dossier des biocarburants". "Les prix du pétrole brut restent élevés, le protocole de Kyoto nous fixe des objectifs stricts et la controverse récente autour des importations de gaz a mis en lumière la nécessité d'accroître l'autonomie énergétique de l'Europe".

                En outre, a-t-elle ajouté, "les matières premières pour la production de biocarburants constituent également un nouveau débouché potentiel pour les agriculteurs européens". Les biocarburants sont produits à partir de matières premières agricoles. AP


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                • Bonjours à tous,

                  Je voudrai savoir où telecharger les cours du pétrole. Je me permets de poser cette question car je vois des graphes perso utilisées dans ce forum et je voudrai egalement travailler avec mon soft sur cette valeur.

                  Merci.

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                  • C'est le charts seasonnal qui a pour le moment raison.....
                    Hausse en Décembre Janvier correction en février et reprise en Mars....etc.
                    L'avenir nous le dira.....
                    Pour le moment cela corrige....
                    Alors on attend Mars....
                    D ici la dodo....


                    Commentaire


                    • et si la si la Syrie contaminait le Moyen-Orient....:


                      Par mesure préventive, une circulaire ministérielle affirme l'adoption de l'euro
                      dans les transactions publiques de l'Etat Syrien.....

                      suite de la news ici: http://archquo.nouvelobs.com/cgi/articles?ad=econo...://permanent.nouvelobs.com/




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                        Salut In Out heureux de te lire

                        L'AT du light crude oil

                        il me manque la bougie du jour qui semble être rouge et avoir touché les 59.9$

                        bas de canal 59/60$
                        bien que la MM20 baisse nous sommes tjrs en croix dorée ; pas de croix mortelle pour le moment

                        Stochastique doit repartir

                        Le RSI rentre dans sa zone de sous pondérée - (sous 30) -

                        Je suis impatient de connaître, l'événement qui va encore nous faire rebondir le Baril puisque d'un point de vu technique le rebond est imminent à CT

                        si ce n'est pas demain alors ça sera l'annonce des stocks du mercredi 22 février probablement ensuite propulsé par la décision de la réunion de l'AIEA
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                        Pétrole : à l'approche des 60$ le baril à New York...
                        AVIS D'EXPERTS Mardi 14 Février 2006 - 18:58 >> Retour à la liste

                        Pétrole : à l'approche des 60$ le baril à New York...



                        Les prix du pétrole continuent de décliner à grande vitesse sur le Nymex américain ce mardi soir, avec un baril de brut pour mars en repli de plus de 1% à 60,3$ ce soir sur le Mercantile Exchange. Une chute qui soutient d'ailleurs la place boursière américaine ce jour, comme l'annonce de ventes de détail US en vive croissance en janvier (+2,3%).

                        Le déclin des prix du pétrole s'était accentué déjà en fin de semaine dernière après le rapport hebdomadaire du Département à l'Energie américain, qui faisait ressortir des stocks de brut, d'essence et de distillés tous au-dessus du haut de fourchette du "range" habituel pour cette période de l'année (semaine close au 03 février). Demain, le nouveau rapport, sur la semaine passée, close le 10 février, pourrait confirmer cette tendance plutôt saine.

                        L'actualité internationale, et surtout le dossier iranien, semble donc placée de côté par les opérateurs du Nymex pour l'heure, ces derniers observant essentiellement les fondamentaux et ces hauts niveaux de stocks US.

                        http://finances.voila.fr/actualite/avis.html?page=...:1139939880&sym=
                        --------------------------------------------------------------------------------------------------

                        Le pétrole en repli sous les 61$ (14/02/2006 :: 08:40)
                        Le pétrole était en net repli, sous les 61$ ce matin, les opérateurs anticipant de nouveau une hausse des stocks hebdomadaires ce mercredi. Le relatif calme prévalant sur le front géopolitique est également l'un des facteurs de détente sur les cours. On notera toutefois que l'Iran a repris hier, selon des diplomates ses activités d'enrichissement d'uranium, censé n'être qu'à des fins civiles et non militaires.

                        En cette période de l'année, les investisseurs restent surtout attentifs au stocks de brut, avant la "driving season", qui débute dans le courant du printemps. La hausse des stocks d'essence ces deux dernières semaines a en cela permis de rassurer les opérateurs.

                        Sur le front du temps aux Etats Unis, les prévisions météorologiques font toujours état de températures moins froides que les normales saisonnières dans les sept prochains jours, ce qui est également un facteur de détente sur les cours.

                        Le contrat future sur pétrole à échéance mars est en recul de 0.41% à 60.99$. L'échéance avril est en repli de 0.39% à 62.07$. Le brent abandonne lui 0.2% à 60.50$.
                        (© 2006 AG Presse)

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                        • J'ai l'impression que cela va repartir de plus belle....
                          En tout cas notre chouchoute géophysique aime.....
                          Même charts sur gold --> je renforce Golden Star Res.....si ils disent
                          vrai une vrai mines d'or ce titre......


                          Merci Andrex ---> j'étudie tout cela


                          Commentaire


                          • slt IN out ,

                            le graph W ,
                            s'il se confirme
                            semble être encore + prometteur /
                            marteau sur les récents + bas ...



                            bon w.e. !
                            cordialement ,
                            brxrv750

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                            • Et oui ...tout concorde....c'est sur ces niveaux que l'on doit repartir....
                              et cela semble le faire......

                              Voila deux liens pour énergies alternatives...donc un m'a été donné par
                              andrex que je remercie.....
                              Mais la pour étudier tout cela ....cela fait un fameux boulot.....
                              Theolia en France ....dans le vent......

                              https://<a href='/ref.php?uri=http%3...ies/Ren...</a>

                              https://<a href='/ref.php?uri=http%3...nvest.html</a>

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