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Archives discussion Petrole de Pro-AT
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  • PETROLE

    Que pensez vous du brent US qui plafonne à 53$ avec un RSI de 80 ?
    A quand la conso ?

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    • fin de hausse débutée en 1999 pour bientot

      pour du CT-MT voir:


      http://36577.aceboard.net/36577-870-4418-0-hausse-...

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      • La France dispose-t-elle d'hydrates de gaz au fond de la mer de Corail, dans le sud-ouest du Pacifique? Ce curieux composé à base d'eau et de méthane intéresse les chercheurs depuis que d'importants gisements ont été découverts à travers le monde. Jusqu'au 5 octobre, une campagne d'exploration a mobilisé deux navires au large de la Nouvelle-Calédonie. Objectif de la mission ZoNéCo: vérifier l'existence d'un signal sismique généralement associé à la présence de cette matière. Connus des chimistes depuis le XIXe siècle, les hydrates de gaz ressemblent à une glace blanche, nuancée d'orange, de rouge, de bleu et de gris. Ils sont faits de molécules d'eau assemblées en cages - les «clathrates» - contenant du méthane. Très abondants sur notre planète, ils se forment naturellement dans le sous-sol: au-delà de 1 000 mètres sous la terre gelée d'un permafrost nordique ou à plus de 500 mètres au-dessous du plancher des océans profonds. L'intérêt de cet étrange solide? Il stocke d'énormes quantités de méthane. En fondant, 1 centimètre cube d'hydrate de gaz libère jusqu'à 164 centimètres cubes de gaz...

        Le stock s'avère fabuleux: le Service géologique américain (USGS) estimait, il y a quelques années, à 20 millions de milliards de mètres cubes la quantité de méthane présente dans le sol sous forme d'hydrates. Deux fois le volume équivalent des réserves prouvées de charbon, de pétrole et de gaz réunies!


        L'intégralité de l'article,
        http://www.lexpress.fr/info/economie/dossier/petro...

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        • citation :
          Citation de providence

          Le stock s'avère fabuleux: le Service géologique américain (USGS) estimait, il y a quelques années, à 20 millions de milliards de mètres cubes la quantité de méthane présente dans le sol sous forme d'hydrates. Deux fois le volume équivalent des réserves prouvées de charbon, de pétrole et de gaz réunies!

          L'intégralité de l'article,
          http://www.lexpress.fr/info/economie/dossier/petro...



          Chouette ! Ca va pouvoir en faire, du CO² à larguer dans l'atmosphère

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          • Bonjour à tous,

            voici le genre de news qui se veut rassurante, mais qui est en fait vraiment inquiétante, car elle dit bien que l'OPEP est DEJA quasi à son maxi de production :

            L'Opep produit quelque 30 mbj pour calmer les marchés (Koweït)
            AFP | 10.10.04 | 12h07


            Le ministre koweïtien de l'Energie, cheikh Ahmed Fahd Al-Ahmed Al-Sabah, a affirmé dimanche que l'Opep mettait sur le marché quelque 30 millions de barils/jour (mbj), largement au dessus de son plafond de production, dans l'espoir de contenir la flambée des prix du brut."L'Opep n'a pas hésité à assumer son rôle (...) pour rassurer les marchés. Elle s'est employée à pomper au maximum, soit presque 30 mbj", a déclaré le ministre à des journalistes en marge d'une conférence et d'une exposition internationales sur le pétrole à Abou Dhabi.L'Opep avait annoncé le 15 septembre une augmentation de son plafond officiel de production, qui passera de 26 à 27 millions de barils par jour (mb/j) à partir du 1er novembre. Cette décision est toutefois purement formelle, dans la mesure où le cartel dépasse déjà son quota."Maintenant, le problème ne relève pas de la demande ou d'une pénurie dans l'approvisionnement (...). Il est plus (lié) à la sécurité et aux inquiétudes sur le marché", a commenté le ministre.Il a répété que le Koweït, qui produit actuellement à sa pleine capacité, soit 2,5 mbj, serait en mesure de pomper 200.000 barils/jour de plus avant la fin de l'année."Le Koweit aura 200.000 barils de plus cette année", a dit le ministre, qui avait déjà fait une annonce similaire au début du mois, dans un effort de tenter de calmer les marchés.La persistance de l'envolée des prix du brut sur les marchés pétroliers malgré l'engagement de l'Opep à augmenter son plafond de production témoigne de l'influence très limitée que ce cartel a désormais sur les cours, selon des analystes.


            Je pense qu'on va voir les 60$ le baril dans les jours à venir ; ça s'excite vraiment de partout.

            A + bon dimanche

            AV

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            • C'est ce qui s'appelle bien choisir son moment. Dimanche, alors que le cours du pétrole prenait son élan pour battre le record de 53 dollars à New York, le président vénézuélien Hugo Chavez en profitait pour annoncer la hausse des royalties dans la ceinture de l'Orinoco de 1% à 16,6%. «C'est la fin du pétrole offert !», s'est félicité le leader bolivarien, en campagne électorale à trois semaines du renouvellement des gouverneurs et des maires, qualifiant cette mesure d'«acte de justice et de souveraineté».

              La ceinture de l'Orinoco concentre quatre projets exploités notamment par les américaines Exxon Mobil et ConocoPhillips, la française Total et la norvégienne Statoil pour une production d'environ 600 000 barils par jour. Ces contrats, signés entre 1992 et 1997 bénéficiaient de conditions exceptionnelles (royalties très basses et faible participation de la compagnie nationale PDVSA) pour compenser les coûts d'extraction dix fois supérieurs aux estimations traditionnelles, selon la banque d'affaire Goldman Sachs. L'équipe «marché émergents» de cette dernière reconnaît toutefois qu'«étant donné le niveau des cours et les avancées technologiques, ces projets sont aujourd'hui très bénéficiaires».


              La suite de l'article,
              http://www.lefigaro.fr/eco-monde/20041014.FIG0067.html

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              • Actuellement, 90 % des réserves mondiales exploitées se situent entre 4 500 mètres et la surface. Mais ces 4 kilomètres et demi ne sont pas une limite géologique, juste une limite technique et économique. « Les sédiments accumulés dans les grands deltas, comme celui du Niger, font jusqu'à 12 kilomètres d'épaisseur », indique Rémi Eschard, géologue à l'Institut français du pétrole (IFP), installé à Rueil-Malmaison, près de Paris. Tous les bassins sédimentaires profonds seraient susceptibles de receler des hydrocarbures. Et cela fait beaucoup de monde ! On peut citer le golfe du Mexique, l'Alaska, la Méditerranée orientale, la mer Noire, le golfe Persique, l'extrême nord, de la Sibérie à la Norvège, le golfe de Bengale... « Dans la plupart de ces lieux, on a trouvé du pétrole, explique Yves Mathieu, géologue à l'IFP. Forer ces roches plus profondément laisse espérer une bonne probabilité de trouver des hydrocarbures. » Les couches situées sous les montagnes andines, en Bolivie, sont également de bonnes candidates.

                Un défi de grande envergure

                La nature des roches-réservoirs ne devrait pas être très différente de celle des gisements actuellement exploités, à savoir des grès ou des calcaires. Par contre, ils seront plus compactés, plus cimentés, et donc moins poreux. Ils contiendront moins d'hydrocarbures, à volume constant, que leurs cousins plus proches de la surface, et l'extraction du pétrole y sera plus longue et à débit plus faible. Mais, heureusement pour les exploitants, c'est surtout du gaz, associé à des huiles légères et des huiles paraffiniques (les condensats), qui devrait être trouvé. Le pétrole est en effet naturellement « craqué » par l'augmentation de température avec la profondeur (environ 30 °C par kilomètre). Le gaz s'exploite bien, même avec une porosité faible, et il n'est pas besoin de le pomper.

                Mais, pour l'instant, les compagnies se regardent en chiens de faïence. Pour Philippe Geiger, de la direction hydrocarbures du ministère de l'Industrie, « il suffirait qu'un gros gisement soit découvert pour que se déclenchent d'importants investissements. »


                L'intégralité de l'article,
                http://www.lepoint.fr/sciences/document.html?did=153916

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                • Investir ? Pour quoi faire ? Telle semble être la question que se pose l'industrie pétrolière. Les compagnies et les pays producteurs d'or noir sont montrés du doigt, depuis quelques mois : par leur sous-investissement, ils alimenteraient la hausse des prix du pétrole en entretenant le risque de pénurie, face à une demande croissante d'énergie, notamment en Chine et en Inde.

                  Les chiffres rendus publics, lundi 18 octobre, par l'Institut français du pétrole (IFP), étayent en partie cette thèse. Certes, les investissements engagés, dans l'ensemble du monde (hors Chine et Russie), dans les activités d'exploration et de production de pétrole, devraient atteindre, en 2004, 125 milliards de dollars (100 milliards d'euros), en augmentation de 10 %. Et l'IFP table sur un nouveau bond, de 8 %, en 2005, qui porterait le montant global d'investissements à 135 milliards de dollars. Traditionnellement, rappelle l'institut, la courbe des investissements suit, avec six mois à un an de décalage, celle des cours du brut.

                  Cependant, l'IFP relève un relatif décrochage des deux courbes : "Nous prévoyons une hausse de 15 % à 18 % des investissements sur la période 2003-2005, alors que le prix du brut aura lui-même progressé de 34 %." Compte tenu de la flambée de ces derniers mois, qui a vu le prix du baril doubler en un an, "la part des revenus du pétrole réinvestie en exploration-production a tendance à diminuer, note l'IFP. Alors que sur la période 1995-2000 -ces investissements- représentaient chaque année plus de 20 % des revenus pétroliers, ils ne totalisent plus depuis 2001 que 15 % à 16 % chaque année". Soit leur plus bas niveau, en pourcentage, depuis la fin des années 1980, après le contre-choc pétrolier de 1986.

                  "En Amérique du Nord, les dépenses en exploration et production progressaient seulement de 1 % en 2003", souligne l'IFP. Au Canada, elles "devraient diminuer de 4 % en 2004", après, il est vrai, une année 2003 marquée par des progressions de 20 % à 30 % des dépenses des compagnies.

                  Plus inquiétant pour l'avenir, "le poids des capitaux investis dans la seule activité d'exploration continue de décroître et ce depuis déjà une dizaine d'années", révèle l'étude. Et ce "au profit du développement de gisements déjà en production ou des nouveaux champs, dont les nombreuses découvertes ont été réalisées au début des années 1990", explique Nathalie Alazard, directrice des études économiques à l'IFP. Les données techniques de l'institut sont imparables : les spécialistes de l'exploration sismique à l'œuvre sur le terrain sont de moins en moins nombreux (il y en a deux fois moins qu'en 2000), et le nombre de plates-formes de forage en construction est en diminution.


                  La suite de l'article,
                  http://www.lemonde.fr/
                  web/article/0,1-0@2-3234,36-383571,0.html

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                  • que voyez-vous des conséquences de cette hausse du petrole?
                    car maintenant meme si l'on revient en dessous de 40 cela ne sera tout de meme pas les prix du debut des annes 2000.
                    alors bien sur enrichississement du lobby petrolier et du parti encore au pouvoir aux usa. rentabilisation de conflit petrolier.
                    rentrée de taxes pour des etats taxant fortement le produit
                    ralentissement de la croissance mais soi-disant peu en occident du fait d'une economie tres tertiaire
                    gene du secteur agricole(engrais machine outils) in duisant tout de meme un surcout des produits alimentaires.
                    gene des pays en voie de developpement (chine inde dragon etc..)par industrie consommatrice d'or noir
                    mais aussi:
                    induction d'une forme de protectionisme par rencherissement des couts de transports
                    stimulation de recherche en energie alternative.
                    discount aerien et tourisme (viabilité ryanair?) fortement modifié

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                    • Bonjour,

                      Juste une "image" celle des cours du WTIC depuis 1945 :



                      Si ce décompte se révèlait correct , l'objectif des vagues 3 (de deux degrés différents) est presque atteintUn pull back devrait suivre avant de nouveaux sommets.

                      Bonne journée

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                      • Article sur les stocks US, vraiment pas bon pour l'évolution du cours :


                        AOF le 20/10/2004 16:32
                        Les stocks de produits pétroliers distillés suprennent négativement

                        (AOF) - Le département de l'énergie aux Etats-Unis a indiqué que les stocks de produits pétroliers distillés (dont le fuel domestique) ont reculé de 1,9 millions de barils au cours de la semaine qui s'est terminée le 15 octobre, alors que le consensus Reuters tablait sur une hausse 1,1 million. Avec l'hiver qui se rapproche, cette statistique est de plus en plus surveillée. Les stocks de pétrole ont eux progressé de 1,2 million de baril à 279,4 millions, alors que le consensus tablait sur un hausse de 2,1 millions.

                        Le prix du baril de pétrole progresse de 1,35% à 53,35 $ sur les marchés à terme américains.



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                        • et pourtant, que dire de ce croisement qui oriente vers le sud?

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                          • macd histo en divergence baissière sur sommet ?
                            je ne l'ai pas mis mais confirmé également par divergence sur rsi14
                            adx au top également




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                            • une conso dans une tendance, rien d'anormal en attendant
                              les élections.
                              A 50, il est pricé. A 60 pas encore et à 80 encore moins.
                              Achtung à l'accélération haussière, surtout si le dollar continue sa
                              dégringolade.

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                              • Les remèdes envisagés par l'Union européenne pour endiguer la hausse des cours du pétrole équivalent à chasser l'éléphant avec un tue-mouches. Au moment où les ministres des Finances de l'Union européenne se montraient incapables, jeudi à Luxembourg, de définir une position commune face à ce fléau qui mine la croissance, la Commission européenne enterrait son projet de directive visant à renforcer la sécurité des approvisionnements énergétiques de l'Union. La reculade n'a chagriné personne, et surtout pas les Etats membres, trop heureux de se débarrasser d'un texte qui faisait figure d'ovni juridique.

                                En novembre 2002, Bruxel les exigeait de chacun des Quinze qu'il se constitue des stocks de sécurité équivalents à 120 jours de consommation, contre les 90 aujourd'hui requis par l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Une partie de la politique énergétique était ainsi transférée sous parapluie communautaire. Le Conseil et le Parlement s'y sont aussitôt opposés, jugeant le système inutile, redondant et coûteux. Rares étaient les pays qui entendaient se déposséder de leur pouvoir au profit de la Commission. «Non seulement celle-ci demandait aux Etats de payer, mais elle choisissait en plus la date des échéances ainsi que les modalités de paiement», affirme un expert européen. Furieux de devoir encaisser cette rebuffade, l'exécutif européen a annoncé son intention de revenir à la charge. La flambée actuelle des cours, explique-t-elle, ne peut que l'encourager en ce sens.


                                La suite de l'article,
                                http://www.lefigaro.fr/eco-monde/20041023.FIG0169.html

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