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  • Citation de : Roque (au 13-03-2009 07:43:31)


    van : "en période de déflation le cash affiche de meilleures performances que l'or" merci de le démontrer.


    Impossible.
    Celà me semble logique.

    Commentaire


    • Citation de : van (au 13-03-2009 09:17:44)

      Citation de : Roque (au 13-03-2009 07:43:31)


      van : "en période de déflation le cash affiche de meilleures performances que l'or" merci de le démontrer.


      Impossible.
      Celà me semble logique.




      Logique ?
      Regardez de plus près ce graphique :



      A+

      Commentaire


      • Il n'y a pas eu de déflation depuis la suppression de l'étalon or, d'où impossibilité à prouver ou infirmer.

        Commentaire


        • Citation de : Galuel (au 13-03-2009 08:07:10)

          @Roque

          --- van : "en période de déflation le cash affiche de meilleures performances que l'or" merci de le démontrer. Cette légende tient au fait que les historiques de déflation que l'on a date de l'époque de l'étalon-or ... mais précisément à cette époque l'or était le cash. ---

          C'est tout vu de 1980 à 2000 l'or a baissé, nous étions en période déflationniste. Depuis 2000 il monte, nous sommes en période inflationniste forte.




          Faux, il n'y avait pas de déflation de 1980 à 2000 !!!!
          Ne pas confondre désinflation (diminution de l'inflation) et déflation (diminution des prix).
          En 1980 l'inflation en France était de +- 13% pour revenir autour des 2% àpd 1986. Depuis 2000 il n'y a pas eu de forte inflation.

          La baisse de l'or en période de désinflation ou de faible inflation est normale vu que les monnaies actuelles sont purement fiduciaires. Il y plein d'autres placements plus rentables dans ces conditions.

          Commentaire


          • Citation de : van (au 13-03-2009 09:32:32)

            Il n'y a pas eu de déflation depuis la suppression de l'étalon or, d'où impossibilité à prouver ou infirmer.



            Dans ce cas vous avez la réponse.
            Le cash ... avant c'était l'or !

            A+

            Commentaire


            • @Roque

              Oui ok c'est clair, 1980 - 2000 désinflation et pas déflation.

              Commentaire


              • Citation de : Roque (au 13-03-2009 09:53:44)

                Citation de : van (au 13-03-2009 09:32:32)

                Il n'y a pas eu de déflation depuis la suppression de l'étalon or, d'où impossibilité à prouver ou infirmer.



                Dans ce cas vous avez la réponse.
                Le cash ... avant c'était l'or !

                A+


                Ce qui risque de se produire est sans précédent.
                La première déflation depuis que l'étalon or n'est plus.

                Commentaire


                • "Ce qui risque de se produire est sans précédent.
                  La première déflation depuis que l'étalon or n'est plus."

                  Aucune chance de se produire.

                  "l'assouplissement quantitatif" est là pour l'éviter.

                  Une déflation sans réaction de la part des Banques Centrales provoquerait une faillite généralisée des Banques, des Etats, des Entreprises... Les dettes seraient impayables.

                  Commentaire


                  • Citation de : Galuel (au 13-03-2009 13:28:42)

                    "Ce qui risque de se produire est sans précédent.
                    La première déflation depuis que l'étalon or n'est plus."

                    Aucune chance de se produire.

                    "l'assouplissement quantitatif" est là pour l'éviter.



                    Opération impossible!

                    Commentaire


                    • Déflation?

                      http://philippulus.daily-bourse.fr/

                      PIB et INFLATION

                      Le PIB est une mesure fausse de la santé économique, puisqu'elle correspond à la demande de consommation finale, mais exclu toutes les transactions intermédiaires.

                      Cette mesure de la santé économique donne une fausse image, à partir du postulat que c'est la consommation (les dépenses) qui génère la croissance économique, et non pas l'offre (l'épargne).

                      Mises expliquait que le PIB n'est en finalité que le reflet de l'inflation monétaire, et plus particulièrement de celle du crédit de circulation, c'est-à-dire de la monnaie virtuelle créée par le miracle du multiplicateur bancaire, les banques n'étant légalement tenues de conserver en coffre qu'une proportion minime des montants prêtés à crédit (ce qu'on appelle le taux de réserve bancaire, actuellement de 8% selon les accords de Bâle II).

                      En réaction aux mauvaises politiques économiques des gouvernements, les individus à travers le monde augmentent leur épargne et ne font au contraire plus appel au crédit (contrairement au postulat qui veut que ce sont les banques qui n'accordent plus de prêts) dans l'attente d'une baisse des prix majeure dans tous les domaines.

                      Face au credit crunch, les gouvernements recourrent à l'arme ultime, à la solution finale inflationniste pour tenter de relancer la croissance du PIB sous une forme nominale - et non réelle - l'inflation de la base monétaire (quantité totale des pièces et billets) par le biais de la presse à imprimer des "faux billets".

                      Compte tenu de la différence de taille entre la masse du crédit de circulation global ainsi que celle des produits dérivés à risque (qui constituent une masse monétaire fantôme encore plus importante) et dont l'implosion actuelle doit être comprise comme une force déflationniste majeure, responsable des maux de l'économie, le chemin de l'inflation de la base monétaire sera très long d'ici à ce que son montant en forte progression rattrape celui des agrégats de monnaie virtuelle (crédits et produits dérivés) en forte contraction.

                      Comme cette nouvelle monnaie diminue la valeur de la monnaie existante, les prix ne pourront à terme que progresser, mais pas avant que les bulles du crédit et des produits dérivés aient finie d'imploser.

                      Les récipiendaires privilégiés de cette nouvelle monnaie sont les grands établissements financiers, les lobbys connectés aux pouvoirs politiques, ainsi que les institutions gouvernementales par le biais des émissions de dette, c'est-à-dire ceux-là même qui n'ont pas été les acteurs les plus clairvoyants du système économique et qui nous ont mis dans la situation que nous connaissons actuellement.

                      Ces acteurs privilégiés s'empresseront bien entendus d'utiliser cet argent à leurs propres fins pour des investissements spéculatifs et inappropriés ("malinvestment"), et pour des montants majestueux ("surinvestments"), ce qui sera le déclencheur d'une hausse des prix majeure qui affectera plus particulièrement les acteurs du bout de la chaine financière, qui seront les derniers à recevoir l'"obole" des banques centrales, car les salaires sont toujours les derniers prix qui progressent dans une situation d'inflation majeure.

                      Le PIB, comme mesure de la santé économique, ne bénéficie en réalité qu'aux personnes, aux institutions et aux lobbys les mieux connectées au pouvoir centrale de nos systèmes politiques démocratiques, au détriment de ceux-là même que la démocratie (le pouvoir de la majorité) est censée servir, une raison suffisante pour remettre en cause l'organisation politique et financière de nos sociétés modernes.

                      Commentaire


                      • @ Van

                        Je suis 100% d'accord avec ton analyse, j'ai fait exactement la même !

                        Ici : http://creationmonetaire.blogspot.com/2009/02/je-v...

                        Et là : http://creationmonetaire.blogspot.com/2009/01/arge...

                        Il faut changer le système monétaire. Passer au Système Monétaire 3.0 : http://creationmonetaire.blogspot.com/2009/02/chan...

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                        • pour info

                          les analystes de BNP Paribas ont relevé leur objectif de cours sur l'once d'or.
                          En 2009, BNP Paribas s'attend à une once cotant, en moyenne, 900 dollars (+11,1% par rapport à fin janvier). Pour 2010, ils la voient évoluer autour de 950$ (+11,8%).

                          L'analyste note que la demande de bijouterie souffre, notamment en Inde. Mais du côté de l'investissement, "l'intérêt acheteur est soutenu par l'incertitude de nombre d'institutions financières, la hausse des risques souverains dans les marchés émergents.

                          Commentaire


                          • Avec de l'argent dette qu'on peut piloter à la hausse (acheter des obligations) ou à la baisse (ne rien faire, attendre les remboursements), tout est possible.

                            C'est un système monétaire qui permet les faillites sans rien faire.

                            En effet si je prête 7 milliards d'euros à 5% d'intérêt au "marché"... D'où viendront les 5% d'intérêts à payer en monnaie ? En faisant plus d'emprunts ? A l'infini ? et si j'arrête d'emprunter que se passe-t-il ?

                            Commentaire


                            • graphique GOLD & OR en clôture du 13 mars
                              retour vers la MM20 après le test du support à ~890$/oz



                              les indicateurs de préférence* sont respectivement Achat et Reverse Achat en tendance Baissière
                              Achat @ ~905$/oz = ~706€/oz = ~22.7€/g




                              BullionVault

                              *préférence Achat ou Vente (soit Neutre) ne veut pas dire Hausse ou Baisse, mais que préférer dans les tendances


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                              • Citation de : Galuel (au 13-03-2009 16:10:45)

                                Avec de l'argent dette qu'on peut piloter à la hausse (acheter des obligations) ou à la baisse (ne rien faire, attendre les remboursements), tout est possible.

                                C'est un système monétaire qui permet les faillites sans rien faire.

                                En effet si je prête 7 milliards d'euros à 5% d'intérêt au "marché"... D'où viendront les 5% d'intérêts à payer en monnaie ? En faisant plus d'emprunts ? A l'infini ? et si j'arrête d'emprunter que se passe-t-il ?



                                C'est ce que faisait Madoff... et il s'est arrêté...

                                Commentaire

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