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  • Envoyé par phg Voir le message
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    5275 (zone mm20 hebdo env.) : pour respecter la proportion d'un éventuel crabe XAB ; CD en attente


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    • PARIS (Reuters) - L'opérateur de satellites Eutelsat a confirmé lundi évaluer une offre sur son concurrent britannique Inmarsat, convoité par l'américain EchoStar , ce qui laisse envisager une bataille d'enchères.

      Le secteur des satellites, de taille réduite mais encore assez fragmenté, est mûr pour une consolidation avant l'essor attendu au début des années 2020 de nouveaux marchés comme la couverture à très haut débit des déserts numériques et la connectivité des avions et des bateaux, estiment des analystes.

      Inmarsat s'adjuge 4,3% en Bourse de Londres en fin de séance, tandis qu'Eutelsat chute de 6,5% à Paris et qu'à Wall Street Echostar varie peu (+0,25%).

      Eutelsat, basé à Paris, précise dans un communiqué qu'il note les spéculations récentes et fera une communication ultérieurement.

      "Il ne peut pas y avoir de certitudes sur le fait qu'une offre sera formulée, ni sur les modalités d'une éventuelle offre", explique le groupe.

      Un mariage Eutelsat-Inmarsat donnerait naissance à un géant européen doté d'une taille critique plus importante pour accélérer ses dépenses de recherche et développement (R&D).

      Eutelsat tiendrait aussi le rôle de chevalier blanc d'Inmarsat qui a rejeté les avances d'EchoStar. L'américain a annoncé jeudi dernier son entrée au capital du britannique.

      "Une offre tout en cash serait un peu ambitieuse, donc un mélange d'actions et de cash ferait du sens", estime Alexander Peterc, analyste chez Société générale CIB.

      Eutelsat a pour principal actionnaire Bpifrance avec 26,4% du capital, selon les données de Thomson Reuters.

      "Les synergies seraient minimes en raison de la nature du secteur des opérateurs satellites, même si un ensemble Eutelsat-Inmarsat semble un peu plus riche en synergies qu'un mariage EchoStar-Inmarsat", ajoute-t-il.

      Des analystes ont également cité l'américain ViaSat et le luxembourgeois SES comme de possibles prétendants pour Inmarsat.

      "La logique industrielle d'une offre d'Eutelsat pour Inmarsat est aussi limitée que celle d'EchoStar, mais n'a certainement pas la même ampleur qu'un attelage EchoStar/Inmarsat", commente de son côté Jefferies dans une note.



      (Cyril Altmeyer, avec Blandine Hénault, édité par Dominique Rodriguez)
      Valeurs citées dans l'article



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          nous en sommes au "+"

          tout espoir haussier n'est pas perdu (encore )

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          • Soitec






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            • BNP PARIBAS

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              • CREDIT AGRICOLE

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                • rien à faire ça passe pas


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                  • Cliquez sur l'image pour la voir en taille réelle   Nom : 		vendredi soir 29 juin.png  Affichages :	1  Taille :		68,7 Ko  ID : 			1824378

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                    • Préparez vos portefeuilles pour un été chaud
                      Rédigé par Alain Pitous, Directeur Général Associé de Talence Gestion, le 25 juin 2018.

                      L'été, en bourse, est souvent une période de volatilité importante. Il est donc raisonnable, avant la période estivale, de faire un petit tour d'horizon de ses positions et d'envisager la conduite à tenir en cas de tensions sur les marchés. Force est de constater que cette année, les perspectives à court-terme ne sont pas enthousiasmantes pour l'investissement.

                      Le schéma global est inchangé : la croissance mondiale est toujours présente, les taux bas, l'inflation sous contrôle et les résultats d'entreprises restent bons. En revanche les risques ont nettement progressé ces dernières semaines : la " guerre commerciale " inquiète, l'Italie fait naître des doutes sur la cohésion européenne, la dette reste globalement trop élevée et certains pays émergents sont proches de la crise. Enfin la hausse du pétrole pourrait provoquer une reprise de l'inflation.

                      A ce stade, les risques ne devraient pas faire dérailler durablement la machine économique mais sont suffisamment présents dans l'esprit des investisseurs pour perturber les marchés et provoquer un peu de volatilité.

                      Etant donné que nous ne sommes pas inquiets sur un horizon plus long, notre idée est plutôt de profiter des périodes de stress pour renforcer ou initier des positions. Pour cela, il est indispensable d'avoir les réserves nécessaires pour le faire et, si les doutes s'estompent rapidement, ne pas non plus être complètement liquide. Ceux qui ont été trop prudents n'ont pas profité de la bonne tenue des marchés ces dernières années.

                      Commençons par les taux : en Europe, la situation est, hélas pour les épargnants, toujours la même. Les taux sont bas et vont le rester jusqu'en 2019, au moins. Pas grand-chose à espérer en termes de rendement (d'autant plus que ce maigre rendement est rogné par une inflation en légère hausse) et des risques en cas de remontée des taux liés à la situation italienne : à éviter donc. Un client rencontré récemment nous disait son envie de chercher de "hauts rendements" pour améliorer ses revenus ; l'idée est intéressante mais il ne faut pas se faire d'illusion. En effet, les rendements hors norme reflètent le risque de liquidité du titre ou la faible qualité de l'émetteur. Prudence donc.

                      Faire des placements obligataires hors d'Europe est tentant mais la volatilité des devises en ce moment rend l'investissement particulièrement risqué pour des investisseurs particuliers qui n'auraient pas de vision claire sur les devises selon nous, et ce d'autant plus à court-terme que si l'été est effectivement chaud pour les marchés cela viendra probablement par les devises.

                      Sur les actions, la situation est plus simple : en effet, les risques sont présents mais le potentiel de gain est nettement plus fort que sur des obligations à horizon 5 ans.

                      La "guerre commerciale" et les perspectives de hausse des taux aux Etats-Unis entrainant une hausse du dollar, pèsent fortement sur les marchés émergents. A court-terme, il faut donc sans doute limiter les investissements sur ces pays, Chine inclus. Par contre, en cas d'été chahuté avec, par exemple, une baisse de 10-15% supplémentaires dans les prochaines semaines, il ne faudrait pas hésiter à monter le poids des émergents jusqu'à 10% dans les portefeuilles en fonction de votre profil d'investisseur et de votre appétit pour le risque. En effet, sur un horizon long, la croissance de ces pays devrait rester plus forte que partout ailleurs dans le monde.

                      En zone euro : les valeurs domestiques et donc les petites et moyennes valeurs sont vraisemblablement globalement moins exposées que les valeurs internationales vendant beaucoup en dollar. Quelques prises de bénéfices sur les valeurs de croissance ayant bien monté sont envisageables, sur le luxe par exemple.

                      Aux Etats-Unis : même schéma, il faut probablement prendre des bénéfices sur les valeurs exportatrices et internationales. Elles ont bien profité de la baisse du dollar jusqu'à une période récente. La situation s'inverse désormais. Un peu d'allègement sur les grandes valeurs de la technologie est envisageable.

                      Une attitude prudente est donc privilégiée pour cet été. Une partie du cash pourra être utilisée si les marchés se dégradent. Le bon indicateur pourrait être le dollar. Sous 1.10 contre euro, cela pourrait être un signal d'achat pour les valeurs européennes. Pour les émergents, l'indicateur à suivre est le marché chinois : une baisse de 10 à 15% pourrait être l'occasion de renforcer significativement les positions.

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                      • L'ANALYSE TECHNIQUE

                        Une correction peut en cacher une autre
                        Rédigé par Nicolas Chéron

                        Au mois de mai, nous vous alertions sur la proximité d'une zone de résistance long terme sur le CAC40 alors que ce dernier flirtait avec les 5500 points. Au mois de juin, nous avions mis en exergue la performance de 220% en 10 ans de notre indice national, dividendes réinvestis (CAC40 GR) et le risque accru de correction après l'un des marchés haussiers les plus longs de l'histoire boursière (période 2008 - 2018). Pour cet été, notre message est simple et résonne parfaitement avec l'analyse d'Alain Pitous : "Prudence est mère de sureté".

                        Tout comme le souligne Alain, l'été en bourse peut engendrer des corrections. Par manque de convictions, d'opérateurs, de volumes et/ou de tendances, les actions corrigent vers des supports de moyen terme avant que les gérants ne réalisent des achats à bon compte. J'acquiesce également avec son analyse de l'augmentation des risques à court terme (guerre commerciale, Chine, Brexit) et du fait qu'il faille se méfier des émergents et de la Chine et que les investisseurs pourraient prendre des bénéfices sur les valeurs du luxe qui sont pour certaines chèrement valorisées (Hermès se paie encore 35 fois ses bénéfices malgré son récent repli de 15%).

                        Notre avis diverge cependant sur un point qui mérite votre attention, le long terme. Alors qu'Alain considère qu'il faut profiter des périodes de stress pour renforcer des positions, ce qui a parfaitement fonctionné ces dernières années, je suis pour ma part de plus en plus sceptique sur la capacité des indices boursiers européens à continuer leur course haussière de long terme. Le DAX notamment présente de nombreuses caractéristiques d'un indice en cours de formation d'un potentiel top de long terme. La prochaine respiration de moyen terme pourrait donc se transformer en correction majeure de long terme. Seul manque le catalyseur.

                        En effet, n'oublions pas que les économistes s'accordent de plus en plus sur les risques de surchauffe économique aux USA et l'approche probable de la fin d'un cycle économique et boursier favorable coïncidant avec une remontée rapide des taux d'intérêt (comme le fait la Fed cette année avec 4 hausses prévues). Les résultats d'entreprises ont été excellents ces derniers mois mais une déception dans les trimestres à venir sonnerait le glas de l'éclaircie fondamentale. La géopolitique n'a jusqu'ici engendré que du "bruit" sur les indices mais les attaques répétées de Trump envers ses partenaires pourraient, à termes, avoir un impact non négligeable sur le commerce mondial et le moral des investisseurs. En d'autres termes, le risque d'un dérapage augmente avec le temps et il ne faudra pas non plus se précipiter à l'achat si une baisse de 10 à 15% prenait forme pendant la période estivale.

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