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  • Crock
    a répondu
    Restructurer la dette grecque ?

    Il n’est pas possible d’échapper à ce débat.
    J’ouvre cette file pour démarrer une réflexion face à cette perspective :

    Pensez-vous cela inévitable ?
    Quelles conséquences pour les citoyens européens que nous sommes ?
    Quelles conséquences pour les banques qui détiennent cette dette ?
    Existe-t-il une alternative ?

    …à vous la parole

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  • Crock
    a répondu
    QE2 va mourir,quid d'un QE3 ?

    A la fin du mois de juin, il est "prévu" que la Fed cesse d'acheter des titres américains sur le marché.

    Quelles conséquences selon vous pour le dollar et les taux ?

    Alors que l'hypothèse d'un QE3 se profile déjà, que pensez-vous de ce scénario ?

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  • poiuy
    a répondu
    S tient bon il faudrait acheter mais je preferre acheter de l'argent métal aujourd'hui en repli

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  • HENRYK3
    a répondu
    Des conséquences négatives
    C'est l'obstacle le plus difficile à surmonter. Mais la mission n'est pas impossible à la condition que la récession soit stoppée. Même aujourd'hui, le marché obligataire n'est pas complètement fermé pour Athènes. Le gouvernement parvient encore à lever des capitaux au moyen de petites enchères de billets du Trésor à maturité courte. Outre ces considérations, une restructuration proche de la dette grecque aurait d'importantes conséquences négatives pour la zone euro. Premièrement, les probabilités de défauts en série des autres pays aux prises avec des budgets non maîtrisés s'accroîtraient. Le club des « triple A », leurs grands créanciers européens dont la dette est très bien notée, serait éclaboussé à son tour. Les prêts accordés via le Fonds européen de stabilité financière (FESF) n'ont pas un statut privilégié. L'industrie financière européenne en sortirait aussi déstabilisée au moment où elle doit relever ses standards prudentiels.

    Les banques de la zone euro détiennent 52 milliards d'euros de titres de la dette souveraine grecque, dont 20 milliards par des institutions allemandes et 16 milliards par des banques françaises, estime le think tank bruxellois Bruegel. Sans compter les coups indirects qu'elles recevraient par la crise des banques grecques qui s'ensuivrait. Enfin, un défaut rapide d'Athènes mettrait en difficulté la BCE, engagée dans un processus de resserrement de sa politique des taux pour combattre l'inflation.

    http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/a...

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  • egros
    a répondu
    La crise de la zone euro montre à l’évidence que les choix qui ont présidé à la construction européenne depuis l’Acte unique de 1986, proposé par Jacques Delors et accepté par Margaret Thatcher, ne définissaient pas un modèle européen soutenable. Libéralisation des flux de capitaux, mise en concurrence de modèles socio-productifs par ailleurs très hétérogènes – source de chocs asymétriques nombreux –, faible mobilité des travailleurs entre pays, refus obstiné de construire un budget européen significatif : si chacun de ces facteurs constituait un risque pour la monnaie unique, leur cumul ne pouvait guère déboucher à terme sur autre chose qu’une crise majeure. Il ne fallait pas être grand clerc ni Prix Nobel pour le prévoir, malgré l’europhorie qui a présidé au lancement de la monnaie unique. « Lorsqu’un choc économique affectera l’“Euroland”, la priorité accordée aux revenus financiers imposera de nouveaux sacrifices aux populations. Salaires et protection sociale seront à nouveau attaqués, au nom cette fois-ci de la sauvegarde de l’euro. L’éclatement du projet signifierait un échec grave qui renforcerait des dynamiques politiques populistes et nationalistes ».

    Thomas Coutrot 1999 Euro Carcan ou cocon.

    http://regulation.revues.org/index8978.html

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  • poiuy
    a répondu
    Jamais bon d'avoir raison trop tôt ...
    On casse le canal par le bas

    Mais le support du biseau tient

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  • HENRYK3
    a répondu
    Quelles conséquences? Une timide tentative de réponse :



    Le placement obligataire est l’un des plus défensif qu’il soit. Il est en effet rare qu’une grande entreprise, ne remplisse pas ses engagements financiers. C’est encore plus rare qu’un État se retrouve en défaut de paiement. Et pourtant, cela pourrait bientôt se produire, et pour plus d’un.

    Inéluctable depuis des mois selon les analystes les plus pessimistes, une restructuration de la dette souveraine grecque serait, selon les rumeurs, de plus en plus à l’ordre du jour.

    http://www.oblis.be/fr/restructuration-de-la-dette...

    Mais en cas de restructuration, que se passerait-il concrètement pour les détenteurs d’obligations grecques?

    Ce qui est certain, c’est que les prêteurs vont devoir assumer une perte. Plusieurs possibilités sont envisageables. La première est limpide, le gouvernement grec décide purement et simplement de ne pas rembourser ses créanciers. Peu probable. Une autre solution est la restructuration de la dette, comprenez "défaut de paiement"… A savoir, une partie seulement des dettes sera remboursée et l’échéance sera allongée significativement.

    On a encore en mémoire le cas argentin, où le défaut de paiement avait été décrété par le gouvernement en décembre 2001. Les créances pour lesquelles une cessation de paiement avait été déclarée avait alors été échangées contre de nouveaux titres, correspondant à environ 30% de la valeur nominale originelle, et dont l’échéance avait été prolongée à 30 ans.

    Quoiqu’il arrive, les détenteurs de ces bons d’État seront donc les dindons de la farce, mais quand on sait que les banques européennes détiennent plusieurs centaines de milliards d’euros d’obligations grecques, les conséquences pourraient être terribles pour celles-ci. N’oublions pas que ces dettes sont la plupart du temps comptabilisées à leur valeur de remboursement total, et non en fonction des prix en vigueur sur les marchés financiers.

    Sans oublier qu’une restructuration de la dette grecque aujourd’hui, de l’Irlande et d’autres demain, empêcherait ces pays de retourner à l’avenir sur les marchés financiers…

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  • HENRYK3
    a répondu
    L'hypothèse d'une restructuration prochaine de la dette grecque paraît de plus en plus plausible alors que plusieurs dirigeants politiques allemands se sont prononcés plus ou moins ouvertement en sa faveur.


    L'Allemagne se tient prête à une restructuration de la dette grecque
    De plus en plus redoutée par les investisseurs, la restructuration des dettes souveraines des pays périphériques de la zone euro, et notamment de la dette grecque, fait son apparition dans le débat politique. Et pour commencer en Allemagne, premier contributeur au budget de l'Union Européenne. La semaine dernière, le ministre allemand des finances, Wolfgang Schäuble, a évoqué la possibilité de recourir à d'« autres mesures » au cas où les réformes économiques mises en œuvre par la Grèce ne suffiraient pas à rétablir l'équilibre budgétaire.

    Vendredi 15 avril, le numéro deux du ministère des affaires étrangères allemand, Werner Hover, a été plus direct en déclarant qu'une restructuration volontaire ne « serait pas un désastre » et que l'Allemagne était prête à soutenir un plan de ce type.



    Les autorités grecques et la BCE redoutent un effet néfaste d'une restructuration sur le système bancaire européen
    Le premier pays concerné, la Grèce, est plus mitigé sur le sujet. Si l'ancien premier ministre grec, Costas Simitis, demande une restructuration de la dette grecque, l'actuel premier ministre Georges Papandreou et le ministre des finances Georges Papaconstantinou y sont formellement opposés. Ils considèrent qu'une telle solution mettrait en difficulté les banques locales, très exposées à la dette souveraine grecque, et compliquerait l'accès de la Grèce aux marchés financiers.

    Un point de vue partagé par la Banque Centrale Européenne, qui soutient qu'une restructuration de la dette grecque pourrait provoquer une crise au sein d'un système bancaire européen encore fragile.



    L'écart de taux entre dette allemande et dette grecque atteint des sommets
    Quoi qu'il en soit, les marchés financiers ont déjà anticipé une éventuelle restructuration. Du coup, vendredi dernier, l'écart de taux entre les obligations allemandes à 10 ans et les obligations grecques s'est élevé au record de 10 points.
    http://www.sicavonline.fr/index.cfm?action=m_actu&...


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  • HENRYK3
    a répondu
    La Grèce sur le point de restructurer? Un énorme échec pour la gouvernance de l'U.E.

    Le 23 avril 2010, la Grèce se résignait à demander l'aide de l'Europe et du Fonds monétaire international (FMI). Depuis novembre 2009, les marchés se méfiaient, avec raison, de la réalité de ses comptes publics, et exigeaient des rendements de plus en plus élevés pour financer l'État grec, jusqu'à 8,8 % pour une obligation à 10 ans. Un an plus tard, malgré les 110 milliards d'euros de prêts accordés par l'Union européenne et le FMI, malgré les efforts spectaculaires de réduction de son déficit budgétaire, la défiance des marchés s'est encore accrue : c'est désormais un rendement de 14,7 % à 10 ans qu'ils exigent, et même de 21,8 % à 2 ans ! En clair, ils jugent inévitable, et même quasi imminente, une restructuration de sa dette souveraine pour un tiers de sa valeur. Alors, tout ça pour rien ?

    http://www.latribune.fr/actualites/economie/intern...

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  • HENRYK3
    a répondu
    Expectations Grow for Greek Debt RestructuringBy LANDON THOMAS Jr.
    Published: April 18, 2011

    The Greeks reject a debt restructuring out of hand. The European Central Bank fears that such a move will spread financial panic. And, meanwhile, the European Union and the International Monetary Fund insist that their recipe of bailouts combined with sharp spending cuts makes restructurings unnecessary.
    Nevertheless, the notion keeps popping up that Greece, and perhaps even other weak European Union countries like Ireland and Portugal, will be forced to restructure.
    ...

    With 25 billion euros that Greece must raise from the public markets in 2012, the pressure is building on Athens to find a solution that somehow shares the pain more equally.

    “Greece is a symbol of the crisis,” said Mr. Pelagidis, the economist. “We don’t need another bailout — we need creditors to take a hit.”

    http://www.nytimes.com/2011/04/19/business/global/...

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  • HENRYK3
    a répondu
    Restructuring? It's child's play

    By Nick Malkoutzis

    Anyone who is a parent or has looked after a small child will be familiar with the dreaded moment when a toddler tells you, “I didn’t do anything.” Once you hear these words, it’s a sure bet that you will find food on the floor, toys smashed to pieces or crayon scrawls on the wall. But it’s not just kids that employ these naively transparent methods, politicians are pretty adept at using them too.

    It was, therefore, pretty easy to see through the government’s spin doctors this week as they insisted that the issue of debt restructuring did not come up at all during a meeting in Athens between Prime Minister George Papandreou and renowned financier George Soros. Visiting George did not mention the subject even once, government sources told journalists.

    ...
    However, with Greek debt expected to hit 153 percent of gross domestic product -- or 345 billion euros -- by the end of the year, the numbers appear to betray the belief that the restructuring bullet can be dodged. “Given the slow progress of reforms, default seems inevitable,” Dimitri Vayanos, a professor of finance at the London School of Economics, told Kathimerini English Edition. “So some form of debt restructuring will have to take place sooner or later.

    “Restructuring should be orderly, negotiated in close collaboration with the EU and the IMF and accompanied by a commitment by Greece for further reforms,” he added. “Ideally, restructuring should be done in a couple of years, once public finances have improved and the Greek economy can better stand on its feet. But if reforms continue at their disappointingly slow pace, the EU-IMF support might cease, and Greece might be forced into an early restructuring.”

    ...
    http://www.ekathimerini.com/4dcgi/_w_articles_wsit...

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  • Fxchaton
    a répondu
    Citation de : poiuy (au 16-03-2011 11:19:24)

    Le plus gros fonds d'investissement au monde Pimco a vendu tous ses bons du Trésor. La Fed est censée arrêter ses achats fin juin. Et aujourd'hui le Japon a de grandes chances de vendre ses bons du Trésor pour pouvoir financer sa reconstruction.


    Conclusion ? taux en hausse ?
    Ce matin l'euribor monte très légèrement.
    Max

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  • poiuy
    a répondu
    Le plus gros fonds d'investissement au monde Pimco a vendu tous ses bons du Trésor. La Fed est censée arrêter ses achats fin juin. Et aujourd'hui le Japon a de grandes chances de vendre ses bons du Trésor pour pouvoir financer sa reconstruction.

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  • poiuy
    a répondu
    Fausse sortie ?

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  • Fxchaton
    a répondu
    Et bien pour l'instant pas de chance, les taux baissent ma petit position EURIBOR me fait perdre 50€
    Patience Patience.

    Max

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