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  • poiuy
    a répondu
    Bonjour, moi je ne suis pas assez pointu pour ça alors j'ai acheté TMV (20 years)

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  • Fxchaton
    a répondu
    Tiens, c'est amusant, aujourd'hui j'ai essayé quelque chose que je n'avais testé sur WHS, c'est un peu hors forex, c'est de shorter l'euribor échéance décembre, en fait je short le future euribor décembre 2011 via un CFD, plus le truc baisse plus le taux euribor grimpe, comme je pense que les taux vont continuer de grimper j'ai essayé ça sur le bidule, je suis short à 97,97, ça cote 1€ du centime, j'en ai shorté 3 donc 3€ par centime de variation.
    Max

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  • poiuy
    a répondu
    Treasury Bear 3X

    Qui se prépare au crack oblig ?
    Je voudrais travailler sur obligations longues US.

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  • WANTED_
    a répondu
    le bons sens
    http://blog.turgot.org/index.php?post/Madelin-impo...

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  • WANTED_
    a répondu
    bonjour la file.
    Je suis d'accord avec frcclair et partiellement en désaccord avec henryk3.

    1. Ce qui fait le tissu industriel ce n'est pas le cac40 (dont les bénéfices et les impôts sont majoritairement à l'international et non en Fr) because manque de compétitivité fiscale ,mais les pme (petites ET moyennes entreprises)surtaxées fiscalement en particulier sur transmissions.
    Or par rapport à l'europe du Nord la France est en déficit industriel (1 PME en FR pour 6 environ en Europe du Nord).

    2. Ce n'est pas le secteur des services qui réussira à prendre le relai, ni celui de l'innovation où nous sommes en retard qui vont prendre le relai car ces 2 secteurs vont se retrouver en compétition cette décennie avec la Chine et plus généralement l'Asie en l'Inde qui monte en puissance et en qualité ( le luxe sera aussi dans cette tourmente).Le seul bémol de la Chine est le risque social et politique.

    3. Cela prendra du temps et il faut un grand plan décennal mais qui a l'envergure politique suffisante pour l'introduire vu les échéances électorales prochaines ? Qui en parle ? ????? à gauche ? à droite ? au centre ? aux extrèmes ? On ne parle que d'immigration qui est un faux débat, l'europe aura besoin de l'immigration.

    à suivre...

    Je crains que ayant manqué la nécessaire restructuration des dettes en période de croissance la France ai manqué le TGV d e l'investissement.Faut pas rêver, faut se mettre au boulot dare dare.

    J'ajoute que les grandes industries (TGV, Airbus, SNCF, Nucléaire etc...) vont être en concurrence avec l'Asie qui monte en qualité et qui a appris (voir nbre de brevets déposés, voir accords industiels avec transfert de technologie etc...).


    Le timing sur 30 ans est hyperimportant. Idem pour les US (voir tous leurs indicateurs depuis 1980).Il ne fallait pas le rater. Le Canada l'avait bien compris qui a entrepris une politique dynamique depuis 1990 en particulier axée sur l'innovation.

    D'ailleurs entre 1980-2000 bcq de '' chinois thésards'' travaillaient dans les labos de recherche us (nuit et jour), depuis ils rentrent chez eux avec un tapis rouge.

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  • HENRYK3
    a répondu
    Citation de : frcclair (au 06-03-2011 21:25:03)

    oui mais l'"eurosud" n'a pas de petrole...ni de richesses minieres....compétitif pour exporter c'est bien, mais la france n'a pas le tissu de PME pour produire...exporter quoi?
    La France sera la grande perdante de ce scénario.



    Je ne partage pas ton point de vue. La France a beaucoup d'entrprises, il reste à les développer...il ne suffira pas de dévaluer, il faudra aussi une politique en rapport.
    Certes il y aura des problèmes. Une dévaluation de fait de l'Eurosud sera facteur d'inflation. Ca me parait plus facile à régler que la situation actuelle et surtout dans la perspective d'une série de restructurations qui pourraient bouleverser considérablement notre économie.

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  • frcclair
    a répondu
    oui mais l'"eurosud" n'a pas de petrole...ni de richesses minieres....compétitif pour exporter c'est bien, mais la france n'a pas le tissu de PME pour produire...exporter quoi?
    La France sera la grande perdante de ce scénario.

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  • HENRYK3
    a répondu
    Passons donc aux deux scénarios suivants...

    C.S-E : Le deuxième scénario -probabilité d’environ 80%- serait la poursuite de celui en cours, à savoir le scénario « sparadrap ». On règle les crises une par une, pays par pays. Mais on voit bien que ce scénario très probable ne pourrait pas faire face à une crise affectant l’Espagne, la France ou l’Italie. Le troisième scénario est celui de l’éclatement de la zone euro et dont la probabilité s’élève à environ 20%.

    Tout de même, le scénario de l’éclatement est-il vraiment envisageable alors que les principaux dirigeants européens l’ont exclu formellement ? Est-ce vraiment sérieux ?

    C.S-E : Dans ce scénario, il faut distinguer des sous-scénarios. D’abord, celui de l’éclatement généralisé de la zone euro qui reviendrait à déclencher une catastrophe sur le plan politique et géostratégique. Le deuxième sous-scénario est, à mon sens, le plus intéressant : ce serait la sortie des pays « forts » de la zone euro...

    Vous plaidez pour la scission de la zone euro en deux ?

    C.S-E : Exactement. Un groupe de pays comprenant principalement l’Allemagne, les Pays-Bas et l’Autriche sortirait de l’euro et créerait sa propre zone monétaire, celle de l’euro fort. Cet « euro du Nord » -resterait à lui trouver une dénomination- pourrait vraisemblablement subir une réévaluation de 15 à 20% mais en contrepartie il ne serait plus tenu à la solidarité financière envers les autres membres de la zone euro.

    Dans ce scénario, la France resterait donc dans la zone de l’euro faible. Est-ce souhaitable ?

    C.S-E : Bien entendu car cela donnerait à la France un statut de « fort parmi les faibles ». Une dévaluation de 15 à 20% de cet euro « faible » permettrait à notre pays de regagner en compétitivité à l’exportation. Idem pour l’Irlande, l’Italie et l’Espagne qui pourraient relancer leur économie. Seule la Grèce échappera difficilement à une restructuration de sa dette même si elle profiterait aussi de la dévaluation de ce nouvel euro.

    Cette cassure en deux de la zone euro, si elle peut se justifier sur le plan économique, est-elle réaliste sur le plan politique ?

    C.S-E : C’est l’issue la plus souhaitable car il existe deux zones monétaires optimales (ZMO) en Europe. Pour autant, cela ne signifie pas la fin de la coopération entre ces deux zones. Le couple franco-allemand pourrait même retrouver une nouvelle vitalité. Ne pas partager la même monnaie n’implique pas forcément d’aboutir à un divorce politique, bien au contraire.

    Vous évoquiez la possibilité pour la France d’être attaquée par les marchés. Comment jugez-vous sa situation financière ?

    C.S-E : Très mauvaise. Notre déficit structurel atteint 6% du PIB. Cela pose un vrai problème et nous ne voyons toujours pas les prémices d’un remède. Dans ces conditions, nous n’échapperons probablement pas à une hausse des impôts, et en particulier à un relèvement de la CSG. Il faudrait également engager un plan drastique de réduction des dépenses de l’Etat mais la classe politique en a t-elle la volonté ? J’en doute et je crains malheureusement qu’une crise majeure des finances publiques ne se produise d’ici dix-huit mois.

    http://www.boursorama.com/votreinvite/interview.ph...

    Cette théorie me parait très valable. Une zone Europe Nord profiterait de la hausse de l'"EuroNord" pour avoir des matières premières à bon marché, une dette qui baisserait, un pouvoir d'achat en hausse.

    Les pays de l'"EuroSud" bénéfécierait d'un complément de compétitivité qui leur permettrait de rebatir leur industrie.

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  • HENRYK3
    a répondu
    Au chapitre des bonnes nouvelles – puisqu’il y en a quand même ! – Nouriel Roubini était aujourd’hui vendredi invité à un colloque à la Banque de France, où il a été droit au but. Énumérant les différentes options envisageables pour réduite le poids de la dette publique, il a écarté la croissance – dont les effets seront modérés du fait même des mesures d’ajustement budgétaires – ainsi que la hausse du taux d’épargne, qui ne pourrait que diminuer encore la croissance. Quant à l’inflation, il l’a également écartée, pour en venir à la solution qu’il préconise comme étant la meilleure : la restructuration de la dette. En précisant que cela devait concerner non seulement les Etats, mais également les banques et les ménages. Il a conclu en affirmant que « la restructuration de la dette des Etats est un sujet qui doit être mis sur la table ».

    Il n’est pas le seul à penser ainsi. Barry Eichengreen, professeur à l’université de Berkeley (Californie) a accordé une longue interview à Der Spiegel, intégralement reproduite en anglais ici. Un choix significatif pour les deux parties. Il estime que le plan A ayant échoué en Europe, il faut passer au plan B. « Le sauvetage en cours n’a jamais eu de sens. L’objectif poursuivi par l’Allemagne et la France est de protéger de l’effondrement leurs propres banques. On commence à réaliser que le rééchelonnement de la dette grecque ne mène nul part et qu’il faut impliquer les banques. Il n’y a qu’une seule solution : les renforcer ! » Il estime que 180 milliards d’euros devraient y être consacrés, rien que pour les banques allemandes et françaises, dans le cadre des restructurations de dette nécessaires. Mais il craint que cette voie ne soit pas choisie, que seules des demi-mesures soient prises, ne faisant que faire perdre du temps pour résoudre la crise.

    http://www.pauljorion.com/blog/?p=21708

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  • tloc
    a répondu
    Irlande : négociations pour une coalition et un allègement du plan d'aide


    Le chef du parti d'opposition Fine Gael Enda Kenny, le 26 février 2011 à Dublin
    © AFP Leon Neal

    Le leader de l'opposition irlandaise, Enda Kenny, a entamé dimanche les négociations en vue d'une coalition gouvernementale, après sa victoire sans majorité absolue aux législatives, tout en exigeant de Bruxelles une renégociation immédiate du plan de sauvetage de l'île.

    Sans attendre l'annonce des résultats définitifs, qui ne devrait pas intervenir avant lundi, Enda Kenny a dès samedi soir revendiqué la victoire, qu'il a qualifiée de "révolution démocratique", dans une allusion aux soulèvements dans le monde arabe.

    Selon des résultats partiels portant dimanche soir sur environ 90% des sièges, sa formation le Fine Gael (centre) a remporté plus de 36% des suffrages, humiliant le Fianna Fail, parti du Premier ministre sortant Brian Cowen, première victime de la crise de la dette en Europe.

    L'organisation centriste, qui dominait la vie politique irlandaise depuis 80 ans, fait les frais d'un scrutin en forme d'exutoire à la crise: avec seulement 17% des voix, elle devrait voir le nombre de ses sièges divisé par trois. Le vote confirme la fin de la carrière de Brian Cowen, qui ne se représentait pas et qui a totalement renoncé à la politique.

    Le Premier ministre irlandais Brian Cowen à Dublin, le 16 janvier 2011
    © AFP/Archives Peter Muhly

    Mais le raz-de-marée Fine Gael n'a pas été suffisant pour lui conférer une majorité absolue, contraignant Enda Kenny à rechercher une alliance avec le Labour, une formation de gauche avec qui le Fine Gael a déjà gouverné à plusieurs reprises et qui a recueilli près de 20% des voix.

    "Le Labour est prêt à s'asseoir à la table des discussions avec le Fine Gael", a indiqué dimanche le chef de file du Labour, Eamon Gilmore. "Aucun contact" n'a pour l'instant eu lieu, a-t-il cependant déclaré à la télévision RTE, estimant qu'il fallait agir rapidement: "nous devons former un gouvernement avant la rentrée parlementaire" du 9 mars, date de l'investiture officielle du nouveau Premier ministre.

    "Je ne veux pas que les choses traînent. Je vais décider très rapidement", avait déclaré samedi soir Enda Kenny, disant étudier "toutes les options".

    "La meilleure issue est une coalition" avec le Labour, plutôt qu'une alliance ponctuelle fragile avec des députés indépendants, a estimé dimanche le très influent Garrett FitzGerald, ancien leader du Fine Gael.

    Des "discussions nourries" vont être nécessaires pour former une coalition, souligne le Sunday Business Post, évoquant "le gouffre" qui sépare le Labour et le Fine Gael.

    Tandis que le Fine Gael, sorte de parti siamois du Fianna Fail, accepte globalement l'austérité décrétéé par le gouvernement sortant, le Labour exige un assouplissement, en repoussant de deux ans, à 2016 contre 2014, l'échéance que s'était fixé Brian Cowen pour ramener les déficits à 3% du produit intérieur brut, contre 32% en 2010.

    Résultats partiels de la chambre basse du Parlement irlandais, le Dail
    © AFP

    Le plan de sauvetage international de l'île, signé avec l'Union européenne et le Fonds monétaire international, accorde à Dublin jusqu'en 2015 pour juguler les déficits publics.

    Enda Kenny a rappelé dès samedi soir que la renégociation de ce plan représentait une priorité. "Nous allons agir là-dessus la semaine prochaine", a-t-il dit, soulignant l'urgence du calendrier tandis qu'approche le sommet européen de la fin mars.

    Durant la campagne, le futur Premier ministre a promis d'exiger une réduction du taux d'intérêt auquel l'UE prête à Dublin, dans le cadre du plan d'aide, et qu'il juge "punitif". Il entend également demander aux détenteurs d'obligation qu'ils supportent une partie des pertes.

    Négociations à Bruxelles sur le plan et à Dublin sur une coalition: Enda Kenny ne connaîtra "pas de lune de miel", avertit le Sunday Business Post.



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  • HENRYK3
    a répondu
    Sans attendre le dessert, ils s’y sont mis à 189 pour mettre les pieds dans le plat ! C’est le nombre d’économistes allemands signataires d’un court manifeste publié par le Frankfurter Allgemeine Zeitung, le quotidien étendard des conservateurs allemands, qui balaye d’un revers tous les bricolages de stabilisation financière actuels, à propos desquels les discussions n’en finissent pas ; rendant de plus en plus incertain un accord européen d’ici au sommet européen de la fin mars.

    L’idée centrale défendue est de favoriser à toute autre solution une restructuration de la dette souveraine des Etats en difficulté et de confier au FMI la responsabilité d’en décider. C’est seulement dans ce contexte que des crédits pourraient être consentis, et pas avant. Les signataires préconisent en conséquence la mise au point d’un mécanisme de mise en faillite des Etats surendettés. Corrélativement, la BCE ne devrait pas selon eux continuer à effectuer sans limite des achats obligataires sur le marché secondaire.

    http://www.pauljorion.com/blog/?p=21505#more-21505

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  • HENRYK3
    a répondu
    Les coupes de budget et de salaires accentuent la crise, ce qui annule une partie de l’effet des plans d’austérité et ne permet pas de redresser les comptes. Bref, Athènes est prise dans un cercle vicieux et mois après mois, le poids de la dette est révisé à la hausse. A la fin de l’année, il approchera 160% du PIB alors qu’on parlait de 145% du PIB en 2013 il y a seulement six mois. Les potions amères imposées par Bruxelles et Washington tuent le malade.

    La plus grande confusion règne aujourd’hui puisque le FMI et l’Europe demandent une grande braderie du pays sous la forme de 50 milliards d’euros de privatisations, chiffre qui semble beaucoup trop élevé à moins de vendre l’ensemble des services publics du pays. Si la Grèce a accepté les plans d’austérité, sans doute du fait des bénéfices apportés par l’Europe jusqu’à présent, le point de rupture semble proche, d’où les rumeurs sur une restructuration.

    Ce dont a besoin la Grèce est assez simple : une forte dévaluation et une restructuration de sa dette. Mais la Troïka FMI-BCE-Commission refuse cette remise en cause de la monnaie unique. Elle pourrait donc soutenir une forme de restructuration pour sauver temporairement l’euro.


    http://www.marianne2.fr/Europe-et-si-comme-l-Islan...

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  • HENRYK3
    a répondu
    Les autorités européennes affirment, enfin, que des financements sont assurés pour les Etats fragiles jusqu'en 2013, date à partir de laquelle se mettra en place un mécanisme permanent de soutien et de résolution des crises. Or, ce dispositif pourrait prévoir le scénario extrême d'une restructuration de dette souveraine. Des clauses d'actions collectives (CAC) seraient ainsi ajoutées dans les contrats d'émissions de dette publique. Elles s'appliqueraient, dit l'AFT, "dans le cas inattendu où l'on ne serait pas dans une situation de crise de liquidité (mais de solvabilité) en dépit des aides" apportées par les organismes européens et le FMI. Drôle de signal pour les acheteurs de titres publics...

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/02/14/...

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  • HENRYK3
    a répondu
    Inévitable restructuration des dettes souveraines?

    De plus en plus de gens considèrent inévitable la restructuration des pays les plus touchés par une dette excessive ou des déficits incontrolables.
    Les gouvernements s'efforcent de retarder l'échéance (inévitable?) par des mécanismes qui constituent de la dette suppléméntaire et garantie par les pays les plus puissants de l'Europe.
    Où cela mène t'il?
    Les plans de rigueur consistent à tenter d'équilibrer les recettes et dépenses d'un pays mais ils sont source de récession qui empire les problèmes des pays plutôt que de les guérir.

    L'opinion qui parait de bons sens du premier ministre tchèque :
    Prague ne cache pas non plus ses critiques sur la gestion européenne de la crise de la dette souveraine. « Mieux vaut restructurer les dettes souveraines des pays en crise que de continuer à les financer », assène-t-il. « Le secteur privé doit être impliqué dans la restructuration. » Ceci est d'autant plus vrai en Irlande, en référence aux dettes des banques. Quant au renforcement du dispositif européen de stabilité financière, Petr Necas souligne que son pays aborde la question « avec beaucoup de précaution. Nous attendons de connaître les termes du pacte de compétitivité ». Il soutient « sans réserve toutes les mesures de discipline fiscale prises et à venir ». « Il faut en revenir à la lettre du Pacte de stabilité », ajoute-t-il.

    http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/ac...

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  • Crock
    a répondu
    Vu l'actualité du jour, le file mérité effectivement d'être réveillée

    Standard & Poor's abaisse de deux crans la note de l'Espagne La note de solvabilité financière de l'Espagne passe de A à BBB+.

    L'agence s'inquiète de la récession qui complique ses objectifs budgétaires.

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